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 Spellbound? [Gambit]

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Mystique

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MessageSujet: Spellbound? [Gambit]   Spellbound? [Gambit] Icon_minitimeJeu 25 Fév - 18:45

“Tell me who you are, I am spellbound.
You cannot have this control on me”
{Lacuna Coil}


    Salem… Ville dégoûtante, dégoulinante de normalité et suant le banal à plein nez. Ironique, n’est-ce pas, quand on sait que cette ville est proche de l’Institut pour jeune Surdoué de Charles Xavier, qui s’avère être une école accueillant des mutants. Normalité versus pathétique. Pour l’instant, il semblerait que les deux partis soient en égalité parfaite, l’un ne s’étalant pas sur les plat-de-bandes de l’autre. Les jeunes mutants ne détruisaient pas les jardins fleuris des ménagères, les familles heureuses continuaient de partager le repas de Thanksgiving dans la joie et la bonne humeur, les pères de famille partaient au travail après un bon café, et l’Institut n’était pas dérangé par les gens du coin. Ce compromis inavoué faisait parti de la routine ennuyante de Salem. Jusque là, tout est donc parfaitement calme et ordonné.

    Après tout, n’est-ce pas le propre d’une banlieue américaine, comme on en voit si souvent dans les séries télévisées passant aux heures de grandes écoutes sur des chaînes nationales ? Si les gens n’étaient pas heureux et souriants, vivant dans des maisons et appartements parfait, avec une famille parfaite, et connaissant tout leur voisins, alors il n’y aurait plus aucun contrôle, plus aucun calme, et les habitants de la banlieue, livrés à eux-mêmes, devraient faire face et…improvisé. Pour les gens vivant dans ces banlieues aux maisons parfaites et peintes dans des couleurs pastelles dignes de Barbie, il n’y a rien de pire que l’improvisation. Cette cynique pensée étira un sourire sur les lèvres de la jeune femme. Les gens ne voulaient pas réellement savoir, bien qu’ils aiment se prélassés dans ce qu’ils croient injustement et naïvement être la vérité. Le savoir, savoir que leur existence n’est qu’un mensonge et qu’ils ne sont que des ratés par rapport à l’évolution et à la chaîne alimentaire, n’était pas leur priorité, tant qu’il y avait des apparences, des maisons couleur pastelles et des barbecues le dimanche midi.


      « C’est fou, la suffisance de ces homo-sapiens… Pas un capable de rattrapé les autres… »


    A cette pensée peu habituelle, pour la petite ville de Salem, le sourire de la femme s’élargit d’un cran. Si elle avait pût, elle aurait craché par terre, et souillé ce sol qui empestait la banalité et la faiblesse.

    Un gamin de quatre ans, qui semblait-il l’avait entendu, la regardait fixement avec des yeux rond, et un air similaire à celui d’un poisson. Il ne fallut que quelques secondes à la femme pour se tourner vers lui et lui lancer un regard noir, une lueur jaune passant dans ses yeux :


      « Quoi ? Tu veux ma photo? »


    Les yeux du gosse s’agrandirent encore plus, si c’était humainement possible, et il tourna les talons. La femme espérait lui avoir fait peur, bien qu’elle en doutait fortement. Au pire, il ferait un cauchemar ce soir, rêverait d’yeux jaunes au regard flippant, et puis il retomberait dans la normalité. Les bambins n’étaient pas mieux que les adultes, ni pire d’ailleurs, ils avaient juste leur propre façon d’être ennuyant et pathétique à en vomir.

      « Misérable petit insect. »


    Bien sûr, les insultes, cela ne l’avancerait à rien, elle le savait. Mystique était là pour une toute autre chose : Un bio-kinésiste. Elle avait entendu dire qu’il y en avait un qui traînait dans les environs et, avouons-le, un bio-kinésiste a toujours son utilité, surtout s’il est bon. La jeune femme avait donc décidée d’aller voir par elle-même de quoi il était question et, pour tout vous dire, elle espérait ne pas s’être déplacée pour rien. D’accord, il lui fallait regonfler les rangs de la Confrérie, mais elle aurait admit sans peine qu’elle aurait bien aimé passer la journée enfermée dans le manoir Lehnsherr, quitte à faire le ménage, la cuisine, ou à devoir suer corps-et-âme en s’entraînant. Enfin, il en avait été décidé autrement. Et puis, de toute manière, il valait mieux que ce soit elle qui se charge de la partie ‘recrutement’. Après tout, ce n’était pas tellement la tasse de thé de Juggernaut, Callisto n’avait pas le style vestimentaire de l’emplois, et Pyro… Le désavantage majeur de Pyro était qu’il était un homme, et que généralement, les gens sont toujours plus réceptifs à une jeune femme souriante qu’à un adolescent.

    Comment ça, c’était de la triche ? D’accord, le don de la jeune femme lui donnait une longueur d’avance sur les autres : Elle passait inaperçu dans une bourgade comme Salem comme dans les mauvais quartiers de New-York, et elle était exactement ce qui quiconque espérait voir et avoir en face de soi, même si ses intentions étaient on ne peut plus intéressée. Et puis, les mutants obéissaient, malheureusement, aux mêmes règles que les humains, et il était donc plus agréable d’être abordé comme il se doit que par une armoire-à-glace.

    Toute fois, cela n’empêchait pas la mutante de montrer son mécontentement. Ce n’était pas le jour des humains qui croiseraient sa route. Après tout, ils n’avaient qu’à pas être là.

    Espérant de tout cœur ne pas s’être déplacée pour rien, sinon elle serait d’une humeur encore plus mauvaise qu’à présent, la jeune femme s’engagea dans le parc. Aujourd’hui, elle avait donc revêtue une apparence tout à fait normale, ennuyeuse, et propre à Salem, se réservant tout de même le droit de faire dans la provocation… Après tout, pour repéré des mutants, elle pouvait aussi bien être belle que moche, mais il vallait quand même mieux être belle, non ?

    Elle marchait donc tranquillement dans le parc, une bouteille de bière à la main (certainement la seule chose peut conventionnelle à Salem qu’elle tenait). Heureusement pour elle, il faisait beau aujourd’hui… Certainement un temps parfait pour qu’un bio-kinésiste aille chercher les ennuis.
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Rémy Etienne Lebeau
Modérateur - Papy Rémy
Rémy Etienne Lebeau


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Âge du personnage: indéterminé grâces aux diverses manipulations du Dieu Stryker.
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MessageSujet: Re: Spellbound? [Gambit]   Spellbound? [Gambit] Icon_minitimeDim 7 Mar - 17:17

Dans la ville de Salem, toujours cette même ville poisseuse à l'odeur du renfermé et de la sueur laborieuse, vivait des êtres humains ordinaires à la fois et des mutants. Les plus vils et sournois mutants qu'il n'y aurait pu jamais avoir en Amérique. En effet, ici vivait le nid de ceux que l'on appelait « confrériste. »

à l'appel de son nom, Rémy frémissait. Même si de nombreuses mutantes le connaissait, lui ne semblait pas se rappeler ou se remémorer de celles ci. À la fois déstabilisé par autant de célébrité et amadoué, il ne faisait pas plus de deux pas avant de tourner de rue et de respirer un coups.
Salem ,'était vraiment pas la ville qu'il préférait. Non, loin de là. Le boucan des bidonvilles, les véhicules qui circulaient à contre sens quand cela l'arrangeait ou, les hommes hystériques et jaloux de son coups de main au pocker lui procurait un sensation d'angoisse et de désastre.
Et comme un Gland, Rémy avait encore une fois oublié la bécane de Scott dans un endroit improbable: le parc.

Il devait y avoir cinq minutes à tout casser de sa cachette au parc. Il sortait dorénavant son nez de la rue des Embrumes, observait méticuleusement l grande artère qui menait à sa destination finale... une ou deux jeunes filles à l'allure pressée et élégante s'affaissaient sur le trottoir de gauche, personne d'autre.
Il prit une grande respiration... ses muscles gonflés à bloc, sa force mise en avant, il sortit son bâton en acier, appuyait sur l'extrémité de façon à ce que ce dernier se déplie et atteigne un, bon mètre.
Il sortit alors en trombe de sa cachette tel un athlète après la détente de son starter. Cheveux épaix volant dans tous les sens, son mentau suivait le même mouvement rapide allant droite à gauche.
Il fut presque arrivé à la barrière qu'il se retourna, ayant un mauvais pressentiment, en effet, deux hommes le suivait de la même manière, le talonnant presque, en injuriant Gambit d'une manière peu ordinaire, crachant des «  salopard, j'aurais ta peau! » à « tu vas payer du con! ».
Tout en courant, Gambit se demandait s'il ne s'agissait pas d'homme enragé par les conquêtes qu'il gagnait de temps en temps les soirs, en charmant les femelles excitées par le jeu et le sexe.

Il souriait face à cette idée. Sans blague! Pourquoi n'attachaient ils pas leurs femmes? Ainsi, Gambit n'aurait pas à se battre, il n'aurait même pas à courir.
Le mur du Parc se dressait face à lui, il n'ey pas de mal à la sauter, charger son bâton d'énergie cinétique, à le poser sur le mur rapidement de façon à sauter ces deux mètres aisément. Il atterrissait de l'autre coté non sans mal, caressait la surface de son arme, se rétractant en réponse de son possesseur, Gambit le fit tourner tel un pistolet et le rangea dans un même geste précis dans l'intérieur de son blouson, poussant le coté droit de sa veste pour l'atteindre.

Entendant les gars de l'autre coté, il se résigna à courir. Il devrait bien les affronter un jour ou l'autre non? Tout en regardant les fleurs, le arc en lui même il observait une certaine jovialité chez les personnes qui y étaient; les enfants jouaient dans les « araignées » au cochon pendu, d'autres à « trappe trappe »... il était dommage de gêner tout ce bon monde et cette atmosphère agréable pensait il...
Il repérait deux trois jeunes adolescents, des mutants? Il n'osa pas s'approcher d'eux de peur que ceux là le nuise ou s'effraient à sa vue.
Il observait un arbre cerisier au milieu du parc. Il se rappela que son scooter était garé là. Il y avançait promptement. Peut être arriverait il à les semer? Qui sait?
Il approcha de l'arbre, le scooter n'y était pas. prenant un air désespéré, il se disait qu'il devait y avoir au moins plus d'une dizaine de cerisiers... Il leva la tête et en effet, remarquait que le parc en grouillait. Posant la main sur sa face, la caressant d'un air abattu, il entendait les gars:

"  Le Voilà!!! Attrapons-le! "

il eu le temps de ressortir son bâton, l'activer, se mettre dos au cerisier, mettant son corps et sa prestance au profit des deux autres. Il mit une main dans sa poche, sortant son chapeau en feutre noir, le secouait et le mit sur sa tête.

" je suis un boulet in-dé-cro-table! "

il avançait en marchant, peut être avaient ils compris que Rémy ne se déroberait pas. En effet, l'un avait sortit un couteau de sa poche, l'autre un pistolet... Rémy Lebeau souriait. C'était donc ça, les humains... cherchant la mort des mutants constamment, tel un beau complexe d'infériorité, il reprenait les mutants de façon à ce que ces bas « humains » se sentent plus à l'aise...
Rémy ne voulait pas entendre ce cas. Il avait sa fièreté et ne pouvait se résoudre à se laisser faire.
Il attaquait en premier, chargeant son bâton, jusqu'à ce que ses mains en deviennent rouge sang, ses yeux dans son état d'intense concentration devinrent par la même occasion du même rouge.

Il marchait, le bâton en avant, atteignit le pistolet, le chargea ar la même occasion avec le contacte de son bâton, le transportant dans sa main droite... une fois dans sa main, et sans scier le regard du jeune homme, il transmit une bonne centaine de force cinétique à l'objet, le forçant à devenir rougeoillant et de le rendre à l'état de masse informe, le laissant tomber par terre, il reprenait sa couleur noir. Son possesseur dans cri de rage sauta sur Gambit, qui dans un mouvement de bâton très élégant, fit voler le jeune et le projeta contre un autre arbre ou des enfants jouaient à « un deux trois soleil »... et couraient en poussant des cris de terreur.

L'autre... se rua sur Rémy, le couteau à découvert, le pointant dans le bras de cet autre qui se lança sur le coté, donnant un coups de poing dans le nez de l'attaquant. Il lâcha son arme avec rage, rassemblant ses mains sur son nez. Gambit ne fut pas surpris ni clément. Il ramassa un cailloux, recula, le caillou prit une couleur rouge qu'il lança sans compassions sur l'autre qui fit un long trajet jusqu'à s'éclater sur le mur lus loin à environs dix mètres.... là ou Gambit avait franchit ce même mur un petit quart d'heure avant l'incident...

Il souffla, se mit contre l'arbre, épuisé. Mais sur le qui vive, les humains ayant été spectateur de l'affrontement, ils pouvaient l'attaquer à n'importe quel moment pour se venger.
Dans le flou de la fatigue, il vit une femme, un très charmante femme au loin. Il se remit tant bien que mal debout, se calant à l'arbre de façon à ne pas tomber. Il devait tout de même rester présentable au cas ou...
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