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 Victime d'une victime? [Pv James Bewley]

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Jenna R. Larking
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Jenna R. Larking


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MessageSujet: Victime d'une victime? [Pv James Bewley]   Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Icon_minitimeMar 26 Jan - 6:33

[Privé premier message James Bewley. Bon niveau requis. ]

Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Jamesicone Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Jennaicone6

Victime d'une victime?


« Tel un ruisseau, le sang coule de son corps, telle une fontaine de sang. »
- Jenna R. Larking

    Ce fut comme une caresse, une caresse teintée d’une telle souffrance, d’une telle ironie que la terre avait semblée s’arrêter quelques fractions de secondes. Son corps ruisselets de gouttes bien chaude qui tombaient sur le sol, prêt de cette flaque, prêt de se corps inerte, sans vie. Le court instant de sa vie s’était arrêté si cruellement que cela ne toucha même pas l’être sans cœur que pouvait être le meurtrier, la meurtrière plutôt. Mais son être, sa personne elle-même, ni était pour rien : il s’était allé comme une fusée, à la recherche d’informations, mais dans ce cas-ci, de victimes. Elle aurait pu être une des leurs : une de celle qui fut tuées cruellement par un maniaque inassouvis de pulsions sexuelles. Il ne méritait pas la vie qui lui semblait être offerte comme sur un plateau d’argent remplis de fleurs roses magnifiques qui ne se fanent jamais. Mais aujourd’hui, elles ont fanées, elles sont mortes avec son possesseur et cela est mérité. C’était une bonne action, du moins, cela l’aurait été, si quelqu’un ne l’aurait pas découvert…

    Quelques heures plutôt.
    Le soleil s’assombrissait derrière une épaisse couche de nuages sombres qui ensevelissaient rapidement la nuit. Les rues étaient éclairées par les filaments de lumières artificielles de la ville qui laissaient place, malgré cela, à des noirceurs à certains endroits. Les rues désertes laissaient place au silence lorsque le soleil avait osé prendre son congé de la journée. Le calme était répandu dans tout New York et il n’y avait que les plus courageux qui osaient rodés à l’extérieur la nuit, surtout les femmes, car c’était depuis quelques temps que plusieurs femmes, tous étaient dans la vingtaine furent retrouvées mortes, découpées de tous leurs membres, de tous leur être. Un meurtrier semblaient rodés dans le coin et même les hommes n’osaient pas trop sortir, même accompagnés, ayant peur de se faire agresser, il ne s’agit qu’une seule fois pour que cela commence et ne s’arrête plus. La lune était à son plein zénith et les étoiles n’étaient pas assez fortes pour éclairer les rues de la grande ville, l’éclairage artificiel ne suffisait pas. Sur le sol fébrile ressentirent des pas résonner, une forte vibration aurait pu teinter l’oreille d’un mutant ayant la capacité d’une ouïe très fine.

    Absorbée par la nuit, une jeune femme contemple amoureusement le paysage. Ses yeux d’un vert émeraude semblable à des diamants ruisselets d’une tendresse évanouissantes, séduisantes, quiconque aurait été séduit par une telle beauté fracassante. Le léger vent faisait vagué sa longue tignasse doré aux reflets noirs corbeau presque ébouriffées qui lui donnait presque l’allure rebelle. De magnifiques traits sur son visage se laissait paraître, tandis que son corps élancé et mince ne laissait apercevoir que la forme de poitrine. Son revêtement n’était point d’une allure chaude. Elle était vêtue d’une robe à mi-genou aussi sombre que le reflet de ses cheveux. Une veste en cuivre par-dessus celle-ci et des talons aiguilles de la même couleur.

    Ses pas teintaient dans la nuit, rompant le merveilleux silence de l’obscurité, perçant le calme comme si rien ne lui faisait peur, car elle la créait, la peur. D’où le regard enchanteur de cette enjôleuse si unique se traduisait un émoi d’excitation, une fixation indéterminable de créer un sentiment de panique chez l’autrui. Ses pensées ne pensaient plus qu’à ensorceler une nouvelle victime, une victime froide, sans cœur et inhumain. Un meurtrier, peut-être ferait-il l’affaire d’une nouvelle expérience froide et sanguinaire? Sa perte ne pourrait se résoudre à frôler la terre d’une seconde extase. Personne n’allait se souvenir de lui, personne n’allait être attristé par sa perte, par sa mort. Personne, pas même sa tendre famille qui l’avait sans doute abandonnée, où, allait l’abandonnée lorsqu’ils sauraient que le coupable, c’est lui.

    La nuit triste et frisquette laissait place à l’angoisse et l’amertume, la ruelle où marchait cette jeune femme en était parfumée. Cela se sentait à des milliers à la ronde, sans pour autant que l’effet soit plus volumineux, au contraire. C’était comme si une vieille madame se parfumait de son merveilleux parfum aux odeurs de lilas : On la sent de très proche, mais de très loin, ce n’est qu’un soupçon d’odeur forte et exubérante sans pour autant distinguer l’odeur émise. Les gros nuages épais d’un noir de braise laissaient place à un épais smog dans la venelle où sombrait plus profondément dans la nuit, cette jeune femme dont la peur semblait inexistante. Connaissait-elle ce que c’était la peur? Elle la sentait chez l’autrui, elle humait la peur, la tranquillisait et, si parfois, elle est trop grande, elle se débattait et ressortait.


    « Je ne suis qu’une parcelle de fine excuse pour l’homme afin de se huer vers moi. »


    La voix murmurée s’étendit dans un écho foudroyant, la voix si douce, si sublime, si mélodieuse qu’on aurait dit qu’elle chantait, qu’elle dansait à travers la brume aux couleurs de charbon. Mais pourtant, cette voix n’était adressée à personne. Avait-elle dit cela afin d’attirer l’homme? Afin de l’emprisonner comme l’araignée emprisonne sa proie dans sa toile afin de se nourrir? Dans ce cas-ci, elle ne se nourrissait pas de chair humaine, certes, elle était comme tout le monde, sauf avec un don en plus. Un don de mutation qui n’est pas donné à tous.

    Derrière les quelques mèches qui cachaient le joli regard de la femme blonde, un sourire se formait. Derrière elle, elle avait entendu quelqu’un s’approchait d’elle à une vitesse folle. Il se tenait droit, à l’écoute de tout. Elle avait bien deviné, il avait l’oreille fine, il l’avait attendu, mais il ne s’attendait sûrement pas à la suite. Elle restait cloîtrée de dos à lui, il ne tenterait rien, aussi longtemps qu’elle ne se serait pas retournée face à face. Elle reniflait l’émoi qui l’ensevelissait en lui, une aura si intense qui semblait ouvrir des plaies cicatrisées sur son avant bras. S’était-elle mutilée? Jamais, mais la pression des sentiments si intense lui laissaient des souvenirs, des souvenirs cicatrisés qui disparaissaient si bien après quelques temps. La peur n’y était pas, ce sentiment créé par elle, était comme immunisée sur lui. Aurait-elle sous-estimée ces capacités? Serait-ce la dernière heure de Jenna Rose Larking?

    Elle se retourna vivement face à lui, un sourire indépendant sur son visage. Le regard de l’homme qui se cachait derrière elle fut surpris de voir une telle résistance. Il comprit vite le guet-apens, mais il était trop tard, il s’était prit lui-même au piège en suivant son instinct de chasseur. Son sourire semblait le perturbé plus que de lui créer la peur. Il n’aimait pas de telle résistance, s’en était fou, il allait finir par attaquer, si elle continuait par être arrogante. Mais c’était son plan et lorsqu’il serait assez proche, il serait à sa merci afin d’en finir avec un meurtrier. Elle ne faisait pas cela simplement afin d’assouvir son envie de meurtre, mais elle rendrait un fier service à la population, on lui revaudrait sans doute ce coup.

    De son regard d’ensorceleuse, elle l’observa de haut en bas. Il portait une veste de jean sans manches avec plusieurs graffitis et d’autocollants que portent certains motards du coin. Il portait des gants de cuivres noirs où laissait paraître ses doigts assombris d’une couche épaisse de sables. Il portait de grosses et lourdes bottes que portent les travailleurs dans la construction afin de ne pas se blesser. Accrochée sur sa ceinture, il y avait une petite pochette en cuirette brun foncé. Elle n’y porta pas son attention là-dessus. Son pantalon en jean était déchiré où les genoux. L’homme portait une barbe grise et semblait assez vieux. Il dégageait une saleté d’odeur nauséabonde qui retroussait les narines de la jeune séductrice. Il l’observait maintenant de son sourire mortel.


      Homme : « C’est dangereux pour une jolie femme comme toi de marcher toute seule, la nuit, quand un meurtrier rode dans les rues. »

      Jenna « Oh, vous savez, je sais très bien me défendre. »


    Sa voix ne laissait présager aucun signe de peur, tandis que l’homme l’observait avec tracas suite à sa réponse si bien échappée. Ayant décelé tout cela, un sourire plus narquois se formait sur les jolies lèvres rosées de la jeune dame devant le perfide.

      Jenna : « Oh! Mais serait-ce de la contrariété qui se lit sur votre visage, monsieur? »


    Répondit-elle d’une voix qui sonnait si faux aux oreilles fines de l’homme. Mais cela la mutante s’en fichait, elle était dans son plan, elle voulait s’amuser. Elle fit un pas sur le côté, bousculant par ailleurs l’émotion présente du meurtrier. Elle fit un second pas et ce ne fut pas long que se dernier recula d’une enjambée également. Elle s’approchait, elle s’aiguisait, elle s’amusait à créer une émotion de crainte chez l’homme afin de pouvoir l’enivrer de son pouvoir, afin de pouvoir être ses yeux. Car elle avait le don de la manipulation. Lorsque sa victime rencontre la peur, il est possible pour la mutante de devenir ses yeux, son âme et celui-ci fera tous ce qu’elle voudra.

    Jenna continuait de faire des petits pas nonchalants quand elle s’arrêta net, car celui-ci tendit un coutelas de sa poche en cuirette brun foncé. Elle fronça les sourcils, presque surprise, mais toujours pas effrayé, ce qui perturbait davantage l’homme devant elle. Elle égaya de son plus beau sourire ravageur avant de pouvoir mettre son plan en œuvre. Elle s’approchait de lui, tandis que l’homme resta fixe et ne bougeait plus, on aurait même cru qu’il avait arrêté de respirer. Il la fixait comme s’il fixait quelque chose qui risquerait de disparaître à tout moment, mais dans ce cas-ci, ce qui disparaîtrait, ce ne serait pas elle, mais lui. Elle s’arrêta nette devant lui, approchant ses lèvres vers ses fines oreilles pointues, il ne bougeait pu, sa respiration devint haletante, les battements de son cœur se mirent à battre davantage, il avait peur de la froideur de la femme, de sa force.


      Jenna : « Mais je jurerais que vous avez jamais vu de femmes aller jusque là. Qu’en pensez-vous, monsieur….? » Murmura-t-elle dans l’oreille de l’homme qui frissonnait de plaisirs et de peurs en même temps. « Vous ne vous sentez pas excité? Excité d’un tel affrontement? D’une telle cruauté que vous avez commis, où que vous oserez commettre encore et encore si personne ne fait rien? Certes, moi je vais oser. Oser mettre un terme à une cruauté pareille, car oui je sais qui tu es et cela me dégoûte, cela me dégoûte de voir que vous profitez ainsi de jeunes femmes en leur brisant ce qui peut être le plus cher pour elle, leur virginité, leur vie. Mais moi, je n’ai pas peur de vous. J’ai ressenti tous les émois dont les jeunes femmes ont eus envers vous, toutes les peurs, les haines qui vous sont destinés rodent à vos alentours, vous en empester. » Dit-elle en s’était éloignée de lui lorsqu’elle lui avait montrer son dégoût. « Maintenant, il est l’heure, vous voyez, lorsque les douze coups de minuits sonnera, vous serez plus de ce monde… Oh… Mais quelle heure est-il? » Elle regarde vers l’horloge et affiche un sourire. « 11h57. Bientôt, bientôt! Un mot à dire? »

    Devant ce long monologue, l’homme ne bougeait plus, la peur l’avait pétrifié et Jenna s’était emparé de son esprit, c’était comme si l’homme était remplacé par l’âme de Jenna, mais pour un certain temps.

      Jenna : « Vous voyez monsieur, que vos crimes devraient être punis de la peine de morts et c’est maintenant que l’heure est arrivée. Après tout, un jour où l’autre, on paie de son crime et vous, c’est aujourd’hui, enfin maintenant… »


    Le premier coup de l’horloge sonna. L’homme reprenait peu à peu ses esprits, car Jenna ne pouvait rester trop longtemps dans l’âme d’une victime qui s’apprêtait à mourir. Elle était impuissante à cela et elle pourrait rester à l’intérieur de son corps, emprisonner avec la mauvaise âme et mourir avec celle-ci. Elle s’éloigna de lui à reculons, elle le fixa de son regard séducteur, un sourire sur ses lèvres pulpeuses. Puis tout d’un coup, sans comment cela ne se remarque, l’homme se mit à hurler de toutes ses forces, si fort qu’il aurait pu réveiller le quartier en entier. Jenna était la seule qui voyait ce qui se passait, elle sentait les peurs des pauvres victimes du meurtrier le hanté. Celui-ci s’était infligé son propre couteau dans le cou, sous les ordres de Jenna et il agonisait sous les âmes émotionnelles qui l’entouraient de ses victimes. Quelques secondes suffirent, après que les douze coups soient sonnés que l’homme s’écroula sur le sol, vide de son sang, mort.

    Mais ce n’était pas de tout repos, car la mutante était beaucoup épuisée, car ses pouvoirs se limitait, elle ne pouvait se servir de se genre de manipulation trop régulièrement sans l’affectée. Elle s’écroula sur le sol prêt du corps sans vie du meurtrier. Du long de ses bras, on pouvait voir un coulis de sang derrière sa veste de cuivre... Ses cicatrices s'étaient réouvertes telles une plaies indécessantes. Une personne passant par là n’y verra rien de ce qui s’était passé. Simplement un vieux et maniaque homme essayant d’agresser une jolie femme sans défense et celle-ci s’était défendu en lui enlevant son couteau et en lui plantant dans le coup. Voilà ce qu’elle dirait si on lui posait la question…
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James Bewley

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MessageSujet: Re: Victime d'une victime? [Pv James Bewley]   Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Icon_minitimeMer 27 Jan - 19:00

    Le passé , toujours passé … Comment passer à autre chose quand il semblait toujours là , quand il semblait le poursuivre,…Toute les heures , tout les jours , impossible de ce débarrasser de ces souvenirs… il aurait pourtant tout donner pour oublier , et pourtant ce n’était pas si simple , plus il essayer d’effacer tout ça plus sa mémoire ressurgissait…Ses seuls moments de répit n’était que lorsqu’il se trouvait devant un mutant , son travail était la seule échappatoire …Du moins normalement , mais plus le temps passée , et plus cette méthode devenait inefficace , il fallait qu’il trouve autre chose.

    Encore une fois, il s’était retrouvé à déambuler dans les rues, sans but précis, cela commençait à devenir une mauvaise habitude. Dès lors qu’il n’avait plus rien pour l’occuper, il errer comme une âme en peine, complètement perdu. Et lorsqu’il revenait à lui, il se retrouvé souvent au milieu de nulle part …Un peu comme ce soir d’ailleurs. Autour de lui, le peu de passant se presser, le lieu n’était pas un dès plus fréquentable. Il le comprenait d’une certaine manière, se retrouver dans de tels endroits n’étaient jamais plaisant. Surtout que dernièrement cet endroit avait été mis en avant par de sombres événements, plusieurs meurtres avaient été perpétrés.

    Toujours dans cette zone, les journaux en faisaient déjà leurs unes, et commencer même à nommer ce criminelle « le nouveau Jack l’éventreur. »
    Pour James ce n’était qu’un simple malade, qui tuait sans aucun but. Il ne comprenait pas comment un homme pouvait ainsi tuer pour le plaisir … il savait bien pourtant que les mutants n’étaient pas les seuls individus dangereux, les humains n’étaient pas toujours mieux … les guerres, les génocides, les meurtres, il y en avait tous les jours et n’étaient pas tous le fait de mutants…c’était donc aux humains d’arrêter les humains, même si pour le moment ils ne semblaient pas arriver à l’attraper.
    Jusqu’ici il n’avait rien et ne ferais rien pour arrêter ce criminel de seconde zone , ce n’était pas pour lui … Il n’était pas un héros loin de là …le rôle du méchant lui correspondait bien plus … bien sur il y avait une raison à tous ça …Et quoi qu’il arrive , il continuerai sur cet voix , du moins jusqu’à ce qu’il rattrape le responsable de sa vie actuel … après ça …James secoua la tête pour chasser ses pensées , il verrait bien à ce moment là …
    Oui, c’était bien ça, le rôle du méchant, pouvait t’il en être autrement … vu les vies qu’ils avaient arrêtées, vu le malheur qu’il avait répandu à travers son travail … était t’il vraiment si différent de ce maniaque ?

    Tournant à l’angle d’une rue, le mutant se retrouva seul, peur ? Non, plus depuis longtemps, ce sentiment l’avait déserté. Comment avoir peur pour lui, alors que la mort semblait le fuir, alors qu’il ne demandait que ça … comment avoir peur pour les autres, alors que plus personnes ne lui tenait vraiment à cœur, non il n’était plus rien ; Et lorsqu’on à plus rien, on à plus peur, car on à plus rien à perdre…
    De plus en raisonnant de manière logique, il savait qu’il n’avait plus rien à craindre, cet homme recherché ne s’était attaqué jusqu’ici qu’à des femmes, du moins selon les journaux …et il était bien placé pour savoir que la vérité n’était pas toujours au rendez-vous. Si jamais il lui tombait dessus par hasard, il était certain qu’il agirait, mais ce n’était pas son but, il n’était pas venu ici pour ça …

    Ce n’est que lorsqu’il tourna encore une fois, que James réalisa qu’il avait oublié un détail … Son sens de l’orientation …était une catastrophe. Il soupira , à croire que cette journée n’était qu’une suite d’événements qui ne faisait que s’empirer de minutes en minutes , et cela durer déjà depuis plusieurs jours … Au moins il fallait faire la part des choses , il ne voyait pas comment cela aurait put être pire … A peine avait t’il eut cette pensée , qu’une goutte d’eau lui atterrit sur le visage , suivit par une multitude d’autres. James leva la tête vers le ciel, quelqu’un s’acharnait t’il sur lui de là haut ? À croire que plus rien de bon ne pouvait encore lui arrivait …

    La pluie tombant de plus en plu fort, ne le gênait pas vraiment, mais il accéléra comme même le pas, espérant trouver son chemin. Seulement ce n’est pas sur son chemin qu’il tomba, mais plutôt sur une étrange scène. James jeta à peine un regard sur le cadavre, il n’en fallait pas plus pour se rendre compte qu’il était bel et bien mort, et apparemment d’un suicide … non, ce qui l’intéressée plus c’était la jeune femme qui elle semblait bien vivante, même si blessée. En quelques secondes il fut auprès d’elle, Ses blessures arrêtèrent un instant le mutant, il y avait quelques choses qui clochait…Le sang semblait provenir de derrière sa veste, et pourtant celle-ci n’était pas abimé, comme si celles-ci n’avaient aucun rapport avec la scène … il n’eut pas le temps de s’intéresser plus intensément à ce problème que la jeune victime semblait revenir à elle.


    « Vous allez bien ? »

    Vu son état, la question semblait mal placée, mais il valait mieux voir si elle pouvait répondre à une question simple. Était t’elle en état de choc ? Peut être avait t’elle du tuer l’agresseur elle-même, ou s’était t’il suicider à cause du remord, James n’aurait put le dire, pas plus qu’il ne pouvait être certain qu’il s’agissait du « nouveau Jack l’Eventreur «, sa photo n’étant jamais parvenu à quiconque.

    « Mais que c’est t'il passé»

    Cette question n’était pas directement adressée à la victime, qu’il pensait encore trop faible pour réagir. Il se posait plutôt la question à lui, son esprit de déduction, cherchant des détails qui auraient put lui en apprendre plus. Mais tout semblait montrer que le criminel avait payé le prix de son agression … et vu l’expression sur le visage de celui -ci, il ne devait pas s’y attendre …ce qui enlever l’hypothèse du suicide … cette jeune femme avait donc du se défendre, la proie avait donc gagnée sur le prédateur , grace à la force que donnait la peur ou à autre chose ?


[Désolé c'est pas aussi grand que toi ^^']
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Jenna R. Larking
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MessageSujet: Re: Victime d'une victime? [Pv James Bewley]   Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Icon_minitimeJeu 28 Jan - 7:42

« Un doux songe est le fruit d’une passion, un songe amer est le fruit d’une action. »
- Jenna R. Larking

    Telle une endormie dans un conte de fée était cette femme près d’un corps sans vie. Sa respiration était haletante et forte, elle sombrait dans un profond sommeil comme la belle au bois dormant. Enfermés dans un tel songe, elle se réveillait dans un vaste terrain remplis de vieux arbres tout rabougris dont les végétaux perdaient leurs feuilles jaune automne. Au loin, le ciel s’était assombri dans des reflets rouge vif aux reflets de feu jaune et orange. Cela ressemblait à l’enfer. Était-elle morte durant son agression? Un vent violent se fit pressentir et firent virevolté la tignasse dorée de la jeune dame. Elle se cacha du vent à l’aide de ses mains. Sans poser de questions, elle s’avança dans la brume qui s’installait, elle était silencieuse afin de ne pas se faire voir, si jamais cet endroit renfermait quelques individus.

    Ce ne fut qu’une pensée de trop qu’elle vit surgir de loin, de nulle part, un groupe de chevalier courir avec leur cheval portant chacun une armure grisâtre. Elle avait l’impression d’être au Moyen-Âge, sauf que les chevaliers n’étaient pas vêtus d’armure, comme pensait-elle avoir aperçut, mais d’une toge noire. Par delà cet endroit, elle ne pressentait rien de bon, aucun des membres du groupe ressentaient une émotion banal, c’était comme s’ils étaient tous dénudés d’un quelconque sentiment ce qui réussi à effrayer la jeune mutante. Elle se sentait perturber par cet instant qui semblait invraisemblable. Mais le calme finit par l’emporter. Les affreux chevaliers coururent en formant un rond perpétuel. Elle s’approcha d’eux jusqu’au temps qu’elle finit par être encerclé, par de là, ils l’ignoraient toujours.

      Jenna : « Excusez-moi… »


    Aucun ne semblait l’avoir entendu ce qui fâcha la mutante. Elle se rapprocha et se mit entre deux chevaliers, ceux-ci s’arrêtaient.

      Chevaliers : « Qui ose perturber notre entraînement? » Dire les chevaliers en chœur

      Jenna : « Vous parlez de cela un entraînement? Courir à vous en étouffer? Voyons! ».

      Chevaliers : « Nous n’acceptons plus de partisans en Enfer. Il faudra être esclave. Ici, vos dons ne vous servirons plus à rien Mutante. Ici, vous êtes un humain comme les autres, une simple humaine. Vous en avez toujours rêvé, n’est-ce pas, Jenna? »


    Répondirent encore en chœur le groupe de Chevaliers. La jeune femme fit une moue. Elle n’avait jamais vraiment rêvé d’être comme les autres, d’être une humaine sans pouvoir subliminal, elle aimait être comme ça, elle aimait être une mutante, une mesquine, voilà la raison de son changement de camps. L’Institut Charles Xavier lui offrait la manière de se cacher des humains et de s’accepter comme il est, mais que malgré tout, il reste un monstre. Tandis que dans la confrérie des Mutants, ils apprenaient à détester les humains, à ne pas avoir peur de ceux-ci. Est-ce normal, si l’humain est son pire ennemi?

      Jenna : « Mais que dites-vous! Moi rêver d’être une simple et misérable humaine? Non, mais, vous vous prenez pour qui? Moi être mutante, c’est ma vie, mon don est sublime, je ressens tout, je crée tout, je SUIS tout. Je suis les sentiments, je les appelle, ils viennent à moi et cela m’est un honneur de pouvoir avoir ce don, c’est le bonheur, même si cela apporte des conséquences. C’est ça être mutant, c’est ça être un vrai mutant, s’accepter comme suit, comme on est, et moi je m’accepte, je m’adore. »


    Dit-elle dans un discours si captivant, sa voix paraissait d’une telle émotivité incroyable, elle semblait être amoureuse de son dos. Les chevaliers l’observaient, leurs visages dissimuler derrière un masque ne pouvait pas distinguer s’ils ne souriaient où pas. Jenna les observait sans mot dire, quand une goutte atterris sur elle, puis suivis d’une autre et encore une autre. Les chevaliers, quant à eux, ne semblaient rien voir de cela, ils restaient secs. Une voix non familière se fit entendre de nulle part, elle semblait venir du ciel.

      James : « Vous allez bien ? »

      Chevaliers : « On vous attend, Jenna Rose Larking. Continuez votre travail, vous êtes sur la bonne voix. »


    ***


      James : « Vous allez bien ? »


    Les gouttes de pluies tombaient de plus en plus abondamment, ce du être la cause du réveil de la jeune mutante. Ses paupières étaient lourdes, elle se sentait comme si elle avait reçu un coup de poing sur la figure avec le mal qu’elle prenait à ouvrir ses yeux. Ses bras lui faisaient douloureusement mal, mais le sang qui avait déjà coulé avait disparut avec la flaque d’eau qui se rendait vers les égouts. La jeune blonde était tout trempée, cela devait faire quelques minutes que la pluie avait commencées. Ce fut à ce moment qu’elle remarqua qu’elle sentait la chaleur humaine d’un corps. Elle commençait à reprendre ses esprits, la pluie la réveillait. Puis elle distingua par la suite qu’il s’agissait d’un homme, par la simple senteur de son aura. Les femmes et les hommes dégageaient une aura différente. L’homme qui la réfugiait dans ses bras était inquiet de son état, n’importe qui aurait pu le deviner avec la question qui tue : « Vous allez bien? ». Elle était encore sous le choc d’une emprise émotionnelle dont sa voix ne se contenait plus. Elle aurait voulu lui répondre, mais elle était prise d’une fatigue inimaginable.

      Jenna : « Vous ne la trouvez pas mal placée? »


    Dit-elle, sans vraiment vouloir dire ce qu’elle pensait, de sa voix la plus faible, cela lui avait tout bonnement échappé, sans doute du à son harassement. Elle avait réussi à rouvrir ses paupières qui laissaient découvrir un regard émeraude charmeur. Sans même le vouloir, sans même le savoir, elle aurait pu le charmer dans un temps soit peu. Malgré sa faiblesse, son allure si sublime était restée. Sa tignasse trempé jusqu’au coup lui donnait une bonne allure, malgré sa pâleur extrême. Quelques minutes suffiraient afin de retrouver une bonne couleur. Elle prit une grande respiration afin de redonner l’air à ses neurones afin de dire qu’elle devait reprendre ses esprits. Elle bougea en direction de ses bras qui lui brûlait. Les dernières émotions de l’homme s’étaient enfouies dans ceux-ci, c’était comme une prison qui renfermait toute sorte de réserve émotionnelle.

      James : « Mais que c’est-il passé? »


    Dit encore la voix qui la retenait, il semblait se murmurer à lui-même. Mais comme une poussée d’adrénaline, Jenna ressentait le besoin d’en parler, de dire réellement ce qui s’est produit. Elle avait besoin de se confier, de tout dévoiler. Elle avait besoin de dire qu’elle l’avait tué parce qu’il avait osé commettre un crime terrible, qu’il avait osé prendre comme victime sa meilleure amie. S’en était la cause de ce meurtre, elle voulait lui faire payer le crime qu’il avait commis d’assassiner une pauvre femme sans défense, même si elle était capable de présager l’avenir, elle ne l’avait pas vu venir…

    La pluie s’arrêta. Les lampadaires ruisselaient de grosses gouttes d’eau suite à cet évènement. Quelques chats errant sortirent des poubelles tombées sur le sol afin de lécher l’eau souillée du sang mêlé du meurtrier et de Jenna. La ruelle fut redevenue calme, la mélodie de la pluie s’était enfin arrêtée, il ne pleuvait pas avant le meurtre, mais elle en avait deviné ainsi avec les gros épais nuages. Ceux-ci avaient disparut et on apercevait maintenant quelques étoiles en plus. La Grande ourse y était présente, la lune était plus grande et moins encombrée, elle était magnifique dans cette nuit étoilée.

    Pour Jenna, la nuit était un moment de réflexion, de calme et de paix. C’était le moment où l’âme, lorsque l’être humain dort, pouvait se réfugier hors de son corps afin de pouvoir se cultiver, de par de là les songes receler d’une sombre passion. C’était le moment pour lui, de se reposer de l’humain parfois compliqué et sans but précis. C’était le moment pour Jenna de se refaire d’une journée si fracassante, si épuisante, si exubérante, mais si inutile. C’était son moment à elle, le moment où elle ne ressentait aucune autre émotion, pas celle de son voisin de chambre où son compagnons d’une nuit. C’était d’un tendre silence. Qui ne rêve pas de ses moments a lui?

    Elle revint à ses esprits. Cette fois-ci, elle reprit du mieux, la couleur lui revenait peu à peu. Elle se sentait bien au contact de quelqu’un, car son pouvoir ne faisait pas totalement effet encore. Elle ressentait quelques émois, mais il ne suffisait pas assez afin de le trouver repoussant. Elle regarda en direction de ses vêtements. Sa robe aux genoux était trempée et Jenna avait froid, ses talons hauts étaient plus lourds que d’habitude, de l’eau s’étant infiltré et puis sa veste de cuivre qui restait intacte, car elle était imperméable. Elle releva les yeux vers l’homme qui la fixait et attendait toujours une réponse.

      Jenna : « Je… Il… En faite… Par où commencer? »


    Dit-elle d’une voix confuse et ne sachant pas par où commencer. Elle allait mentir, car elle ne devait pas dire la vérité, il fallait garder cela secret. Mais elle avait un énorme besoin intense de parler, c’était plus fort qu’elle et…. Agaçant. Surtout que l’homme devant elle était quand même mignon. Un sourire béa apparut sur le visage de la blondinette.

      Jenna : « Ah, vous êtes craquant comme ça! »


    S’échappa-t-elle en une fraction de seconde, elle resta muette et gêner de s’être échappé. Elle ne comprenait pas pourquoi, elle avait dit cela et détournait maintenant le regard. Puis elle se décida de le regarder et de défier son propre regard. Ses yeux émeraude plongeaient dans ceux amandes de l’homme, essayant de l’ensorceler, ce pouvoir-ci, n’était pas limité. Il s’agissait simplement de créer une certaine attirance, vers celle-ci. Comme elle l’avait fait avec William. Ah, ce bon vieux William!

      Jenna : « Sinon pour répondre à votre question… Je l’ai tué! »


    Répondit-elle enfin à sa réponse d’une voix presque satisfaite.
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James Bewley

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MessageSujet: Re: Victime d'une victime? [Pv James Bewley]   Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Icon_minitimeVen 29 Jan - 19:36

La jeune femme revenait doucement à elle, sa réponse ne fusa pas directement après sa question, mais vu son état James trouva cela totalement logique.

« Vous ne la trouvez pas mal placée? »

Il allait quand meme s’inquiéter lorsqu’elle finit par répondre, la réponse en question le soulagea, pour répondre ainsi son état n’était pas désespéré, ou du moins il y avait une certaine force de caractère la dessous. Si son état avait été critique, pouvoir ou non la jeune femme n’aurait pas put répondre, mais seul sa voix trahissait une faiblesse, les mots eux montré bien que tout n’allais pas si mal.

La tête baissé vers l‘inconnue, il sentait la pluie se déversait dans son col et descendre le long de son dos, il était trempé jusqu’au os, la pluie n’avait jamais été son amie, mais pour le moment il s’en fichait. La seul raison qui le poussait à vouloir que ce temps s’arrête c’était pour la victime, le froid accompagné souvent la pluie, et vu sa faiblesse actuelle, ce temps humide n’était pas vraiment une bonne chose pour qu’elle récupère. Il enleva rapidement sa veste pour la placer sur la jeune femme , qu’elle idée de sortir si peu habillée avec un temps pareil … il secoua la tête , non mais qu’Est-ce qu’il raconter , on aurait crut entendre un vieux retraité. Il aurait mieux fait de s’occuper de sa propre tenue .Sa chemise blanche n’était absolument pas étanche et d’avoir enlevé sa veste n’arrangeait pas les choses. Le peu de tissu qui jusque là n’avait pas été touchée par la pluie, se retrouva aussitôt trempés

Il n’avait pas l’impression qu’elle soit mourante, mais vu le sens elle ne semblait pas non plus en état de faire un marathon. Il savait qu’il aurait surement dut appeler les urgences ou au moins la police, mais il ne l’avait pas fait pour deux raisons … la première c’était que depuis qu’il travailler dans l’armée, il fuyait les téléphones portables comme la peste. Dire qu’avant il n’aurait jamais pu s’en passer, mais avec il se sentait traquer, comme si en l’ayant Styker savait tout de ses mouvements, de plus à part celui-ci personne n’aurait pu l’appeler, les amis il n’en avait plus depuis longtemps … Un sourire triste passa sur son visage, il se rappelait encore très bien comment pour qu’il s’en passe, ne serait ce que quelques heures, sa femme était obligée de batailler dur. Maintenant rien que l’idée d’avoir ce genre de téléphone le révulsait, il préférait vivre seul, la communication perdait peut de l’importance à ses yeux… pourquoi s’attacher à certaines personnes alors qu’à tout moment on risquait de les perdre ? Non, vraiment il n’en voyait plus l’intérêt.
L’autre raison qui, même s’il en avait eu un, de ne pas appeler la police, était sa discrétion naturel, il n’avait aucune envie d’être embarquer dans ce genre d’histoire, il n’avait pas le temps, et ne voulais en aucun cas sortir de l’ombre.

James perdit le fil de ses pensées au moment ou il sentit les gouttes d’eau diminuaient jusqu’à complètement disparaitre, au moins un de ses vœux auraient été exaucée aujourd’hui… Il concentra à nouveau sur la jeune femme qui semblait peu à peu reprendre des forces.


« Je… Il… En faite… Par où commencer? »

Elle ne semblait pas savoir comment réagir, James mettait cela sur ce qu’elle venait de vivre. Ce genre de situation ne devait pas être agréable loin de là, il était donc normale qu’elle soit en état de choc, le mutant allait justement lui dire qu’elle n’était pas obligée de répondre mais il fut coupé avant d’avoir ouvert la bouche.

« Ah, vous êtes craquant comme ça! »

Cette simple phrase l’arrêta un instant, il ne s’y attendait absolument pas. Une légère rougeur apparut sur ses joues, elle s’était débrouillée en quelque mot à le prendre totalement au dépourvu.
C’était tellement hors sujet, qu’il ne trouva rien à dire, de plus qu’aurait t’il put répondre … étrangement plus il regardait l’inconnue plus il la trouvait attirante, était ce le compliment qu’il l’avait mis dans cet état …le mutant n’en savait rien … il ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Le mutant n’avait pas regardé une femme ainsi depuis bien longtemps.


« Sinon pour répondre à votre question… Je l’ai tué! »

Il redescendit sur terre … Vu la situation on aurait pu penser qu’elle voulait dire qu’elle l’avait tué en se défendant, de la légitime défense donc … mais sans savoir pourquoi James, l’intonation dans la voix de la jeune femme peut être, n’avait pas l’impression qu’il s’agissait de ça. Suspicieux, il fronça les sourcils.

« Vous l’avez tué en vous défendant n’est-ce pas ? »

Il détestait soutirer des informations à l’aide de son pouvoir, mais il ne pouvait s’en empêcher, il n’avait aucun contrôle sur celui-ci, tout question amenaient une vérité, qu’elle soit bonne ou non à entendre…

« Comment avez-vous fait ?» demanda t'il d'un ton inquisiteur

L’inconvénient avec son pouvoir, c’est qu’à la première question, si elle n’avait que répondu par un oui ou par un non, il n’aurait jamais put savoir la suite. Selon la tournure des questions qu’il posait, les réponses n’étaient pas toujours à son gout. Il espérait c’être trompée, et que tout ça ne soit qu’un accident, au pire il n’aurai qu’à s’excusai de sa méfiance …
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Jenna R. Larking
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MessageSujet: Re: Victime d'une victime? [Pv James Bewley]   Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Icon_minitimeSam 30 Jan - 19:19

« Vengeance, douce vengeance, quand tu nous tiens, tu n’es que des douces représailles, un savoureux châtiment, une délicieuse action. »
- Jenna R. Larking

    Les dernières fines gouttes de la courte et silencieuse pluie s’étaient totalement arrêtées. Le ciel noirâtre et grisâtre de ses nuages avait complètement disparu lui aussi, laissant derrière eux, des étoiles avides de lumière. La lune, totalement à son zénith, était d’une beauté extrême, on aurait pu apercevoir un visage sur celle-ci, on aurait dit un sourire. Par cette nuit noire, le paysage était dénué de toutes couleurs ambiantes, de toutes formes exubérantes, de toutes âmes vagabondes. La jeune femme reprenait peu à peu ses esprits et son pouvoir de séduction semblait revenir en elle comme un souvenir du passé. Elle se sentait peu à peu s’alléger d’une telle émotivité, elle semblait la partager ainsi, par le contact de l’homme, de son sentiment, d’un souvenir émotionnel.

    Sans rien dire, sans émettre un tel frisson, l’homme dont elle ne connaissait pas encore le nom, s’ôta sa veste afin de la recouvrir pour qu’elle soit au chaud. Cela ne pouvait mieux l’aider, malgré la bonne intention d’un jeune homme, c’était des jambes qu’elle avait froid, des pieds, là où l’eau de la pluie avait été plus en contact. Tandis que le haut de son corps avait froid, mais pas glacé comme plus bas. Mais c’était d’une bonne intention, mais d’où allait-elle?

    Ce fut un signe où elle comprit que ses pouvoirs avaient repris sa forme habituelle. Elle ressentait maintenant ce que celui-ci qui la retenait ressentait. Elle présageait un souvenir triste qu’il eût dû se souvenir. La sensation d’une telle émotivité mélangée d’un souvenir était si différente que quelqu’un, triste d’une rupture amoureuse. Dans ce cas-ci, il semblait se soucier davantage d’un passé où il avait été délaissé, où plutôt, avait délaissé quelqu’un, une femme peut-être, des amis? Il était beaucoup plus âgé qu’elle, il devait être proche d’une vingtaine avancée, tandis que la jeune femme était dans son début. Elle n’avait pas la capacité de savoir l’âge des autres, mais elle trouvait que l’homme se préservait bien.

      Jenna : « Votre chagrin me perturbe, serait-ce le fruit d’un passé douloureux? Où serait-ce un sentiment de solitude? Où bien les deux mélangées par le fruit d’une action du passé. Pourquoi? »


    Dit la jeune femme d’une voix maintenant redevenue à la normale. Elle avait dit ses paroles d’une manière si certaine que l’homme aurait pu être perturbé d’en savoir autant de ses propres émotions. Elle lisait en lui comme un livre ouvert, il n’avait plus de secrets pour elle, tous les sentiments dont il aurait en acquisition seraient en possession de Jenna. Elle pourrait lui créer toute sorte d’émotions si elle le voulait, passant de l’angoisse à la peur, de la tristesse à la joie, de l’amour à la haine, de la proie à la victime. Mais il était d’une bonne intention qu’elle n’y ferait rien, il voulait l’aider, il voulait savoir ce qui s’était passé et de plus, elle le trouvait craquant. C’était déjà un bon point. Elle aimait séduire, elle séduisait ce qu’elle trouvait leur âme si limpide, si amère, si tordue, mais celui-ci renfermait dans ses émois quelque chose de si différent des autres humains… Un humain? Non, sans doute pas. Il était plus que cela : un mutant.

    De par de là les auras, leurs émotions et leurs actions, tous étaient différents. Les mutants dégageaient quelque chose de plus intense qu’un simple humain. Certains mutants leurs émotions n’étaient moins provocantes, voyantes qu’elle ne pouvait y distinguer, car cela y allait avec leur passé. Si un mutant avait eu un beau passé, ces émotions ne seraient pas si intenses qu’un mutant, ayant eu beaucoup d’épreuves et d’obstacles, dont les émois lui en empestaient. Plus le mutant avait subi des épreuves, mettant en scène ces émotions, pas nécessairement amoureuses, car toutes épreuves nécessitent d’un quelconque sentiment, plus il dégageait un aura détectable et différent des autres mutants. Cela ne voulait pas dire qu’elle avait raison sur le point que l’homme qui la retenait était un mutant, loin de là. Tout simplement, il aurait pu être en compagnie d’un mutant, par inadvertance dont l’aura de ce dernier s’était répandue, qui, ce dernier, aurait subis une enfance émotionnelle terrible. Cela aurait pu être la deuxième option. Mais elle était encore trop faible afin de pouvoirs déterminer si ce dernier était un mutant où non. Elle y verrait par la suite.

    Lorsqu’elle lui avoua qu’elle le trouva mignon, elle le vit rougir, elle le sentit gêné. Il ne semblait pu savoir où se mettre, il avait été pris au dépourvu. Il ne semblait plus quoi répondre, mais cela n’était qu’un détail parmi tans d’autre, elle décida de ne pas en faire une situation longue. Son but premier étant de retourner à sa décapotable rouge (car oui, sa quatrième famille d’adoption était riche et avaient eut un accident, ces derniers étant morts sur le coup, son demi-frère étant avez eux lors de l’accident, mais n’ayant jamais été retrouvé sur les décombres, comme s’il s’était téléporté… Suite à cet incident, elle avait hérité de leur fortune, mais elle ne s’en servait jamais.). Lorsqu’elle serait de retour à sa voiture, elle pourrait se changer de vêtements, sa valise en étant pleine, elle se cherchait un appartement dans le coin et ne l’avait pas encore trouvé. Elle allait peut-être demander à Gregory s’il pouvait l’héberger pendant un moment qu’elle se trouve un appartement.

    Dès lors, personne ne savait encore que Jenna avait rejoint la confrérie, elle était restée dans l’ombre et n’allait probablement pas le crier sur tous les toits, voulant son intimité et sa paix. Elle n’allait pas faire des meurtres sans aucun but précis, peut-être juste vengé le monde des mauvaises personnes, commençant par le gouvernement. Ce qu’elle ne savait pas, c’était que l’homme devant elle en faisait partie, mais cela est un autre détail, pour le moment, il ne lui avait rien fait, il l’aidait, il serait sans doute protégé de son action. Lorsqu’elle lui dévoila, d’une voix si satisfaite, si étrange par la situation, l’homme semblait être surpris.

      James : « Vous l’avez tué en vous défendant n’est-ce pas ? »

      Jenna : « Hmm. Cela dépend des circonstances, en faite. Pour moi, j’ai vengé l’honneur d’Alicia, ma meilleure amie dont ce minable, maniaque et agresseur dont il l’a violé et ensuite tué. C’est horrible et maintenant je voulais lui faire payer la monnaie de sa poche. C’est bien réussi, non? Sinon, pour quelqu’un comme vous, cela peut être un meurtre si vous ne connaissez pas l’existence de ce meurtrier. »


    Son discours en disait long sur ces intentions, elle n’avait pas fait cela afin d’apaiser son manque de meurtres, en faite, Jenna n’était pas comme cela. Il devait y avoir un motif pour qu’elle commette une telle action. Elle se permettait souvent de jouer avec les sentiments des autres, en commettant quelques petits blâmes, mais rarement, elle n’irait tuer un innocent qui ne lui a rien fait. C’était fou et étrange comment la jeune blonde pouvait se confier à un homme qu’elle venait à peine de rencontrer et de même, sans connaître son prénom et son passé. Elle n’avait rien vécu avec celui-ci, aucune peine, aucune joie, aucune relation amoureuse, aucun souvenir, tout simplement, parce qu’il ne faisait pas partie de son existence avant aujourd’hui. Que serait-il demain? Un ami peut-être? Un ennemi? Où bien une simple connaissance qu’elle ne reverra plus jamais? Seul l’avenir lui dira, et Alicia qui n’était plus là pour lui dire ce qui allait arriver.

    Elle soupira à la suite de ses propres souvenirs. Elle se revoyait avec Alicia, lorsqu’elle avait seize ans, se préparant à sortir, dès lors, elle paraissait déjà à l’âge majeur où elle pourrait sortir dans les discothèques. Et même là, Jenna utilisait ses pouvoirs contre les portiers afin de les laissées rentrer, cela marchait si bien. Elle se revoyait encore avec sa meilleure amie, leur première dispute. Lorsque son amie lui dévoila être amoureuse d’un gars et qu’elle avait demandé à Jenna de savoir si ce dernier s’intéressait à elle. Jenna avait été sans doute la seule à savoir ce qu’il pensait réellement avant que celle-ci l’ensorcelle pour qu’il tombe en amour avec Alicia. C’était tricher, car ils ne s’étaient pas destinés, il était destiné à une autre et cela avait déformé le cours du destin. Jenna regrettait de lui avoir caché son secret d’avoir ensorcelé Thomas pour qu’il en tombe amoureux. Mais cela, Jenna le savait si bien qu’il ne l’aimait pas malgré lui, il était sous l’emprise du pouvoir, mais elle sentait son âme être malheureuse, coincée dans une bulle invincible. Lorsqu’il apprit qu’Alicia fut tuée, son âme était enfin libérée d’une telle altercation et il errait maintenant, comme une âme en peine, lui ayant brisé une partie de sa vie où il aurait pu être avec son âme sœur. Mais comme le cours des choses avait été déplacé, son âme sœur réelle avait trouvé une autre personne. C’était une des raisons qui l’avait poussé à quitter l’institut, étant donné qu’elle le croisait tous les jours depuis la mort d’Alicia et qu’il se sentait triste, mais pas triste pour elle, pour son âme. C’était comment gâcher la vie d’un innocent pour rendre heureuse une autre. C’était pour cette raison que Jenna ne forçait personne avec son pouvoir de tomber en amour avec elle. Elle ne voulait pas encore une fois, détourner son destin. Elle avait un cœur, malgré tout, lorsqu’il s’agissait de personnes chères à son cœur.

    Elle fut réveillée de ses songes lorsque James (elle ne sait pas encore son prénom) lui posa une question.

      James : « Comment avez-vous fait?»

      Jenna : « Comment ai-je fait? Cela est très complexe, monsieur….?? En faite, je vais vous l’expliquer autrement. Autour de vous, autour de votre âme se dégage l’aura de vos émotions. La tristesse dont vous ressentez, la haine dont vous avez, la peur et la joie, tout ça ont une âme différente, une aura comme une odeur de repas différents, sauf que ceux-ci, ne se mangent pas. Tout ça, tous vos sentiments, tout votre être peuvent en être contrôlés par ceci. Car les émotions sont la clef de l’âme. Elle m’ouvre la porte afin de m’en servir, afin de pouvoir faire ce que j’en veux. Je peux vous ingérer la peur si vous voulez, la haine où l’amour si vous le souhaitez. Regarder cela. »


    Dit-elle en le fixant dans les yeux. Son regard émeraude sombrait dans celui de l’homme. Lui faisant ressentir quelques émois ensevelissant son esprit. Elle lui fit pressentir la peur de la situation, la haine envers le meurtrier et l’amour envers la jeune femme. Elle était comme la belle au bois dormant et que lui était le prince qui allait la libérer. Elle savait faire tout cela en un clin d’œil, façon de parler. Il était sous son emprise, mais elle le relâcha, c’était que pour lui montrer un avant-goût de son pouvoir.

      Jenna : « Vous ne trouvez pas cela passionnant? Vous vouliez savoir comment je m’y suis prise pour le tuer? Tout simplement, l’aura de ses victimes a été absorbée lorsqu’il les assassina. C’était comme s’il avait pris une parcelle de leur vie, de leurs émotions, de leurs peurs. Et tout ça, il en empeste, tout ça, je peux m’en servir contre lui, je peux être lui, dans son âme et il en a été ainsi tué par ces propres sentiments. Il s’est tout simplement suicidé. Voilà, comment j’ai fait! Moi je n'y suis pour rien! »


    Pour éviter le danger, pour éviter que ce dernier panique, elle le fixa de nouveau dans les yeux, son immense regard le séduisit, afin que ce dernier trouve cela normal qu’elle est fait cela. Qu’il soit pris d’une grande admiration… Tout simplement pour éviter les ennemis…
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James Bewley

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MessageSujet: Re: Victime d'une victime? [Pv James Bewley]   Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Icon_minitimeLun 1 Fév - 21:37

    Il ne comprenait pas comment il venait à la soupçonner, cela paraissait tellement absurde. Une jeune femme tuant son agresseur, cela ferait un bon titre d’article, mais quelque chose clochait, comment était t’elle venu à bout d’un homme bien plus costaud qu’elle, qui plus est armé … Dans les faits tout aurait pu la faire innocente, légitime défense oblige, pourtant elle n’avait pas avouée sur le ton de quelqu’un qui n’as fait que se défendre …
    Peu à peu, elle semblait reprendre des forces. Il pourrait bientôt la laisser si son état redevenait normale … du moins c’est qu’il aurait voulut, mais avoir le fin mot de cette histoire


    « Votre chagrin me perturbe, serait-ce le fruit d’un passé douloureux? Où serait-ce un sentiment de solitude? Où bien les deux mélangées par le fruit d’une action du passé. Pourquoi? »

    Encore une fois elle le surprenait par un changement de sujet, un sujet qu’il n’aurait jamais crut entendre … Comment savait t’elle tous ça, toutes ses paroles trouvaient un écho en James … elle avait tout juste, la solitude, le chagrin, il ne connaissait que trop bien… Mais comment ?? Il n’avait rien dit, et même si son visage ne respirais pas la joie de vivre, le mutant n’avait pas l’impression d’avoir son passé marqué sur son visage. Et surtout pourquoi disait t’elle être perturbait, en quoi ses propres sentiments pouvaient t’ils influer sur elle …

    « Je ne suis pas sur de bien comprendre … »

    Ou plutôt, il n’avait aucune envie de comprendre, la seule solution pour qu’elle puisse ainsi savoir ses émotions aurait été qu’elle soit une mutante … Mais James n’en avait aucune envie, pourquoi fallait t’il que les mutants soient partout … bien que méfiant, il préférait penser qu’un autre facteur lui avait permit de savoir cela.

    « Hmm. Cela dépend des circonstances, en faite. Pour moi, j’ai vengé l’honneur d’Alicia, ma meilleure amie dont ce minable, maniaque et agresseur dont il l’a violé et ensuite tué. C’est horrible et maintenant je voulais lui faire payer la monnaie de sa poche. C’est bien réussi, non? Sinon, pour quelqu’un comme vous, cela peut être un meurtre si vous ne connaissez pas l’existence de ce meurtrier. »

    Des émotions étranges se mêlèrent en James … A ses yeux, c’était bien un meurtre …mais pouvait t’il juger ce crime lui qui ne souhaitait qu’une chose similaire… ne cherchait t’il pas la vengeance lui aussi … Il n’aimait pas tuer mais il savait déjà que lorsqu’il l’aurait retrouvé sa mort serait loin d’être douce …Bien au contraire… Mais pour ça , il aurais fallut qu’il est le moindre petit indice , il ne connaissait ni le nom , ni même le visage de celui qu’il recherchait avec temps de haine … Bien sur , James aurait pu abandonner , avec si peu d’indice , aurait t’il la chance de retrouver ce mutant qui avait si sauvagement assassiner sa famille … Mais en abandonnant , il enlevait le seul but qui lui restait … Que pouvait t’il donc répondre devant les actes de la jeune femme ?
    Oubliant un instant son désir de vengeance, il écouta la seconde réponse de l’inconnue.



    « Comment ai-je fait? Cela est très complexe, monsieur….?? En faite, je vais vous l’expliquer autrement. Autour de vous, autour de votre âme se dégage l’aura de vos émotions. La tristesse dont vous ressentez, la haine dont vous avez, la peur et la joie, tout ça ont une âme différente, une aura comme une odeur de repas différents, sauf que ceux-ci, ne se mangent pas. Tout ça, tous vos sentiments, tout votre être peuvent en être contrôlé par ceci. Car les émotions sont la clef de l’âme. Elle m’ouvre la porte afin de m’en servir, afin de pouvoir faire ce que j’en veux. Je peux vous ingérer la peur si vous voulez, la haine où l’amour si vous le souhaitez. Regarder cela. »

    Ainsi, c’était donc bien une mutante, à croire que New York n’était peuplé que par eux. Pendant un instant, il hésita entre s’éloigner le plus loin possible ne gardant en mémoire que se sublime regarde émeraude et d’un autre des informations sur son pouvoir aurait put être utile à Stryker. Mais il n’eut même pas à choisir entre ses deux choix … Une succession d’émotion l’assaillirent, il ressenti différents sentiments qu’il n’avait pas ressentit depuis bien longtemps comme la peur et l’amour. La haine qu’elle lui insuffla ne fit que grossir celle qui sommeillait déjà en lui … mais tout cela ne dura pas … Il secoua la tête comme s’il voulait enlever ses diverses émotions qui n’était pas réellement les siennes


    « Vous ne trouvez pas cela passionnant? Vous vouliez savoir comment je m’y suis prise pour le tuer? Tout simplement, l’aura de ses victimes a été absorbée lorsqu’il les assassina. C’était comme s’il avait pris une parcelle de leur vie, de leurs émotions, de leurs peurs. Et tout ça, il en empeste, tout ça, je peux m’en servir contre lui, je peux être lui, dans son âme et il en a été ainsi tué par ces propres sentiments. Il s’est tout simplement suicidé. Voilà, comment j’ai fait! Moi je n'y suis pour rien! »


    James eut un sentiment d’admiration pour cette tactique, ainsi la jeune femme ne risquait rien, aucune preuve ne serait reconnu contre elle. Il n’arrivait pas à savoir si cette admiration venait de la jeune femme ou si elle venait directement de lui … après tout son pouvoir à elle était un moyen d’attaquer sans pour autant à devoir se salir els mains … pouvait t’il en dire autant … son pouvoir lui semblait bien pale en comparaison … Mais un détail le chiffonner…

    « Et cela ne vous dérange pas d’influencer ainsi sur les autres, ça ne vous submerge jamais toutes ses émotions ?» demanda-t-il avec une voix ou perçait la curiosité ."

    N’était ce pas désagréable de ressentir ce que els autres éprouvaient, savait t’elle toujours ou était la limite entre ses propres sentiments et ceux des autres, après tout elle avait bien dit que son chagrin la perturbait ?
    Mais ce qui dérangeait surtout James, c’était d’imaginer qu’on puisse apprécier être devant des personnes qui n’étaient pas sincère, elle semblait aimer son pouvoir mais aimer t’elle aussi ce coté là … mais après tout, il pouvait imaginer tout et n’importe quoi sur ce pouvoir qu’il ne connaissait pas…


    " Est ce à cause de votre pouvoir que vous etes dans cet état ?"

    Si la réponse était oui , le détail qu'il avait remarqué plus tot prenait tout son sens.
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Jenna R. Larking
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MessageSujet: Re: Victime d'une victime? [Pv James Bewley]   Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Icon_minitimeLun 1 Fév - 23:17

    Si Jenna savait combien de temps avait-elle été dans un profond sommeil du à l’excès de son pouvoir, elle aurait su depuis combien de temps elle y était. La nuit paraissait très avancée pour que cela soit hier, mais plutôt un nouveau matin parmi tant d’autre. Le silence y était dans la ruelle, d’où quelques chats gris errants miaulaient de faim et restaient autour des deux personnes espérant que ceux-ci les nourrissent. Sans que ceux-ci reçoivent leurs dû, des jappements de chien leurs arrivèrent aux oreilles et ceux-ci se mit à fuir. La peur qui, rodait il y a un moment, disparurent avec les chats. La mutante était même capable de déduire les sentiments des animaux, mais elle ne pouvait les contrôler, il fallait qu’il soit un être humain, pas un animal. Son pouvoir avait des limites.

    Plus qu’elle regardait l’homme devant elle, plus elle remarquait sa chape. Sur le torse, il portait une chemise blanche dont la pluie l’avait trempée. Ses cheveux bruns foncés dégouttaient les dernières gouttes avant de complètement se sécher. Il dégageait une odeur, une aura si intrigante que la mutante espérait qu’il ne partirait pas bientôt, la laissant seule à sa misérable existence. Elle aussi en avait vécu des traumatismes. Elle qui n’avait pas connu sa famille, car elle fut tuée lorsqu’elle venait de naître. Elle avait eut quatre familles d’adoptions, à croire que Jenna portait malheur. Son seul vrai amour avait été un fiasco, il avait une haine si cruelle, si abondante et si trop existante que sans même vraiment le savoir, il lui faisait des cicatrices. Sa haine n’était pas envers elle, mais elle n’avait jamais trouvé la source de ce mécontentement. Hors, elle avait dû le quitter pour sa survie. Oui les sentiments trop forts des autres pouvaient l’affaiblir. C’était peut-être un moyen de la tuer?

    Lorsqu’elle lui dit ce que lui ressentait, il fit mine, comme tous ceux avec qui elle pouvait parler de cela, de ne pas comprendre. Elle souriait de son sourire charmeur et ravageur. Elle le regardait de son regard émeraude si brillant.

      James : « « Je ne suis pas sur de bien comprendre … »

      Jenna : « Oui, je m’attendais à ce genre de réponse, en faite. Je connais si bien cette routine que je pourrais deviner votre crainte d’être découvert. Mais ne vous en faite pas, votre peur est bien gardée avec moi. Je ne m’en servirais pas contre vous. Vous êtes si… touchant… »


    Dit-elle d’une voix qui prônait presque la sensualité. Voilà pourquoi on l’a surnommait Sensation. Car il ne s’agissait pas simplement de connaître tous les émois des autres, mais elle savait comment parler. En faite son nom de mutant n’y avait pas été donné pour sa sensualité, mais plus parce que chaque émois est une sensation étrange. La peur est un frémissement doux, la haine un frisson taquin, l’amour, son cœur semblait se débattre, la tristesse, elle sentait cette boule dans la gorge qui nous fait manquer notre respiration. Un nouveau sourire apparut sur le visage de la jeune femme lorsqu’elle sentit une haine intense se propager en lui.

      Jenna : « Êtes-vous avide d’une vengeance, mon cher jeune homme? Si puis-je vous appeler ainsi, car je ne connais pas encore votre prénom. »


    Après qu’elle eut dit son crime, l’homme devant elle semblait éprouver de l’admiration. Elle ne l’aurait pas pu dire si cela provenait d’elle où de lui. Lui aussi d’ailleurs semblaient être perdu, car cette femme savait comment créer tous les sentiments, certains mieux que d’autres. Elle savait qu’elle l’intriguait, il l’observait comme si elle était un pion sur une pièce de jeu d’échec, tôt ou tard, il mettrait son roi en échec, s’il continuait à trop poser de question, Jenna serait forcé de dire la vérité. Mais trop de vérité, tue la vérité. Pourquoi se sentait-elle obligé de tous lui dévoiler? À un pur inconnu? Ce n’était pas le fait qu’il était très mignon, loin de cela, Jenna savait comment garder son calme, mais lui, il y avait une force si obscure, qui l’envahissait.

      James : « « Et cela ne vous dérange pas d’influencer ainsi sur les autres, ça ne vous submerge jamais toutes ses émotions ?»

      Jenna : « Il est évident, mon Chéri, que tous les émois d’autrui viennent en ma possession. En faite, cela est parfois si cruel pour moi de rester dans les parages de trop de personnes ayant une quelconque émotion dangereuse. Comme trop de colère, tue la colère. Mais je ne comprends pas comment je pourrais regretter d’influencer les autres. Oh, une fois, peut-être, j’ai dû utilisé mon pouvoir de séduction afin de rendre Thomas amoureux d’Alicia, mais il ne l’aimait pas, je le savais, même s’il était sous mon charme de séduction pour l’attirer ainsi vers elle, son âme ne lui était pas destiné. Et ils ont été quoi, quatre ans ensemble? Et Thomas se sentait comme un pion. Là, je m’étais sentis coupable, en faite, parce que celle qu’il aimait, l’aimait également et qu’elle est partie lorsqu’elle a vu qu’il était maintenant avec Alicia. Leurs destins furent brisés. Vous savez que si on ose changer le destin par le biais d’un pouvoir, ben le destin de tous ceux autour est changé. Par seulement celui d’Alicia et de Thomas, le mien aussi, le vôtre également, celui de tel et tel personne. Le monde change à partir d’un changement du destin. Notre vie n’est plus pareil. Mais combien de fois que le destin à dû se changer? Plusieurs, sans doute non? On ne peut rien y faire, ça je le sais, mais je me suis venger d’un meurtrier, il le méritait, c’était peut-être pas son destin à lui, mais maintenant il est changé et nous sommes libérés, cela ne fera pas de mal à personne. Et le vôtre, monsieur, votre destin changerait-il si vous en finissiez avec cette haine et que vous agissiez? »


    Son long discours avait parut durer des heures, mais il en était passionnant. Elle avait l’impression de donner un cours sur la leçon de vie, mais tout cela, l’homme devait déjà le savoir.

      James :« « Est ce à cause de votre pouvoir que vous êtes dans cet état ? »

      Jenna : « Mais dit donc, derrière votre esprit ne se cache pas seulement d’une beauté, mais aussi de l’intelligence, c’est rare pour un homme! J’en ai vu beaucoup qui ont rien derrière le crâne, mais vous, vous êtes si… Désolé… »


    Elle rougit, elle ne voulait pas dire ce qu’elle venait de dire, mais c’était ce qu’elle pensait et la vérité. Elle lui avait quand même cerné d’un compliment, en espérant qu’il le prenne ainsi bien.

      Jenna : « Mais sinon pour répondre à votre question. Oui, mon pouvoir est limité et j’en ai dépassé les limites. Cela me laisse même des cicatrices. Regarder! »


    Elle souleva la veste de l’homme et remonta sa manche pour y montrer ces cicatrices. Mais releva vite la tête vers la ruelle. Elle fit un soubresaut. Elle se leva si vite et entraîna l’homme, par le bras, plus loin de la ruelle derrière des poubelles, c’était la seule place pour se cacher. Il aurait sans doute demandé ce qui se passe, mais elle lui fit un signe de se taire et de ne pas bouger. Elle avait repéré deux hommes, par le biais de leurs émois, ils se dirigèrent vers le cadavre, la pluie avait tout dégoûté son sang. Les deux hommes, très horriblement vêtu se penchèrent vers le cadavre.

      Homme 1 : « Merde, Paul, regarde c’est qui, c’est Travis, il s’est fait tué où plutôt, on dirait un suicide. Merde, merde, merde, qu’est-ce qu’on va lui dire? Qu’on a perdu notre meilleur? »

      Paul : « Faudrait peut-être caché son cadavre. »

      Homme 1 : « On va chercher du renfort. Aller vient, il pèse une tonne, on va se tuer si on le soulève. »


    Un des chats errants était revenu où les poubelles et miaulaient maintenant les deux personnes cachées. C’était raté si les deux hommes les remarquaient. Jenna fit un signe de la main au chat de partir, mais ceci pourrait alerter les deux hommes, qui maintenant, étaient déjà rendu trop loin.

      Jenna : « Faut trouver un moyen de se sortir de là. Je suis encore trop faible pour réutiliser mes pouvoirs. Il y en a plusieurs, ils ne sont pas loin, je les ressens, ça fait mal… Je…Faut vite aller où ma voiture.»


    Lui chuchota-t-elle en tenant sa propre tête.
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James Bewley

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MessageSujet: Re: Victime d'une victime? [Pv James Bewley]   Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Icon_minitimeSam 27 Fév - 20:41

    Cette inconnue était surprenante, à chaque fois qu’elle ouvrait la bouche, c’était toujours pour dire quelque chose à laquelle il ne s’attendait pas … c’était déstabilisant de se faire surprendre ainsi par une femme plus jeune…
    Dire qu’il n’avait eu que pour but de rentrer chez lui, et voila qu’il se retrouver entrainer dans une sacré affaire … une affaire qui aurait pu le passionné … mais à part son travail, il n’avait plus vraiment d’attrait pour autre chose … du moins c’Est-ce qu’il essayé de se persuader. Tout ça lui semblait terriblement intéressant, s’il n’avait pas été dans l’optique de garder tout ça secret, ses informations auraient pu lui faire un scoop d’enfer…


    « Oui, je m’attendais à ce genre de réponse, en faite. Je connais si bien cette routine que je pourrais deviner votre crainte d’être découvert. Mais ne vous en faite pas, votre peur est bien gardée avec moi. Je ne m’en servirais pas contre vous. Vous êtes si… touchant… »

    Découvert ? De la crainte ? Bien qu’il se cache d’être un mutant ce n’était pas par peur des humains… ce n’était que pour faciliter son travail , et pour ne pas voir ce qu’il était sur le visage des autres … et puis on ne pouvait pas vraiment parler de crainte … non , il n’avait plus rien a perdre , donc plus de peur … Du moins c’Est-ce qu’il croyait pour le moment.

    Pourquoi s’en serait t’elle servi contre lui … mais même après cette semi-promesse, cela ne restait pas dès plus rassurant. Il avait bien ressenti la puissance de son pouvoir, et n’espérait pas en faire un ennemie, mais cela plairait surement à Stryker, un pouvoir de cette ampleur pouvait être un atout formidable pour eux … ce qui ne ferait pourtant qu’engendrer qu’encore plus de mort … mais vu que ce n’était que des mutants quel importance ??

    Touchant !! ?? Et voila qu’en encore une fois il était surpris par ses propos, à nouveau la jeune femme l’avait tiré de sa réflexion avec un terme qu’il trouvait totalement hors contexte … il détester être pris au dépourvu mais apparemment ce n’était pas terminer. De plus il ne voyait pas vraiment en quoi il était « touchant » … cependant James se passa de commentaire.


    « Êtes-vous avide d’une vengeance, mon cher jeune homme? Si puis-je vous appeler ainsi, car je ne connais pas encore votre prénom. »

    James haussa les sourcils …c’était tout de même désagréable d’avoir l’impression d’être sondé , de ne pas pouvoir cacher certaines choses …des choses qu’il aurait déjà aimer se cacher à lui-même … mais si en plus il devait en parler avec une inconnue … ça ne plaisait absolument pas … mais sa colère s’effaça rapidement en entendant la suite , et ne pu retenir un sourire , « jeune homme « ? Entendre cela de la bouche d’une demoiselle plus jeune que lui paraissait si étrange … Et puis à part sa grand-mère lorsqu’il avait 10 ans, personne ne l’avait appelé comme ça.

    « James… James Bewley » répondit t’il finalement « Et vous ? »

    Pour peu il aurait répondu Bond, mais ce n’était pas vraiment le moment de faire de l’humour surtout dans cette situation, alors qu’il y avait encore le cadavre d’un homme non loin. Curiosité quand tu nous tiens … évidemment son nom serait bien pratique s’il devait la retrouver pour Stryker, mais c’était aussi une question de politesse, lorsqu’il donnait son nom le mutant apprécié d’avoir celui de son interlocuteur.


    « Il est évident, mon Chéri, que tous les émois d’autrui viennent en ma possession. En faite, cela est parfois si cruel pour moi de rester dans les parages de trop de personnes ayant une quelconque émotion dangereuse. Comme trop de colère, tue la colère. Mais je ne comprends pas comment je pourrais regretter d’influencer les autres. Oh, une fois, peut-être, j’ai dû utiliser mon pouvoir de séduction afin de rendre Thomas amoureux d’Alicia, mais il ne l’aimait pas, je le savais, même s’il était sous mon charme de séduction pour l’attirer ainsi vers elle, son âme ne lui était pas destiné. Et ils ont été quoi, quatre ans ensemble? Et Thomas se sentait comme un pion. Là, je m’étais sentis coupable, en faite, parce que celle qu’il aimait, l’aimait également et qu’elle est partie lorsqu’elle a vu qu’il était maintenant avec Alicia. Leurs destins furent brisés. Vous savez que si on ose changer le destin par le biais d’un pouvoir, ben le destin de tous ceux autour est changé. Par seulement celui d’Alicia et de Thomas, le mien aussi, le vôtre également, celui de tel et tel personne. Le monde change à partir d’un changement du destin. Notre vie n’est plus pareil. Mais combien de fois que le destin à dû se changer? Plusieurs, sans doute non? On ne peut rien y faire, ça je le sais, mais je me suis venger d’un meurtrier, il le méritait, c’était peut-être pas son destin à lui, mais maintenant il est changé et nous sommes libérés, cela ne fera pas de mal à personne. Et le vôtre, monsieur, votre destin changerait-il si vous en finissiez avec cette haine et que vous agissiez? »

    Des noms, Thomas ? Alicia ? S’il comprenait les idées, il n’avait pas la moindre idée de qui étaient ses personnes … Et même si cela ne correspondait pas vraiment à sa question, la jeune femme continua sur sa lancé… lui qui croyait pourtant contrôler son pouvoir avait encore quelques problèmes de se genre… Connaitre la vie privée des gens n’était pas vraiment ce qu’il préférait, surtout quand ce n’était pas des sujets très joyeux Le Destin ? Elle croyait à ce genre de chose ? James eut un sourire en coin … pour lui rien n’était écrit, tout était à faire … a moins que … s’il avait été au courant avant … s’il avait sut ce qui allait arriver, aurait t’il pu changer son destin ? Cela paraissait tellement improbable.

    Pouvait’ il dire que ce meurtrier ne méritait pas une fin pareil ? Pouvait-il dire que la vengeance ne résolvait rien ? Non … James n’avait pas son mot à dire. De plus vu l’efficacité de la police dans le coin, il aurait pu tuer pendant encore longtemps …n’était ce donc pas un mal pour un bien … Son avis restait tout de même indécis

    Finir avec la haine ? Une ombre passa dans son regard … impossible … c’était sans doute la seule chose qui le maintenant en vie, sans elle, il n’existait plus. Sans but, impossible de continuer d’avancer, il n’avait donc pas le choix… et pourtant qu’Est-ce qu’il n’aurait pas donné pour ne plus ressentir cette colère sourde, pour ne plus rien ressentir du tout …


    « Qui sait « répondit t’il malgré lui

    Ce fut tout ce qu’il trouva à répondre … Une réponse sans un réel impacte, mais qu’aurait t’il pu dire d’autre …

    « Mais dit donc, derrière votre esprit ne se cache pas seulement d’une beauté, mais aussi de l’intelligence, c’est rare pour un homme! J’en ai vu beaucoup qui n’ont rien derrière le crâne, mais vous, vous êtes si… Désolé… »

    Comment prendre ça pour une insulte, un sourire triste se dessina sur le visage de James, sa réflexion précédente lui avait enlevé l’envie d’un vrai sourire, mais ses paroles n’en restait pas moins amusante à ses yeux … c’était intéressant comment elle alterner les sujets sérieux et les compliments … et le rouge sur le visage de la jeune femme ne donner pas l’impression qu’elle est voulu l’insulter.

    « Je crois pouvoir dire que c'est une bonne chose non ? »


    « Mais sinon pour répondre à votre question. Oui, mon pouvoir est limité et j’en ai dépassé les limites. Cela me laisse même des cicatrices. Regarder! »

    Il était limité donc, une information que James n’était pas prêt d’oublier. Le sursaut qu’elle eu surprit James, qui se retrouva entrainé avant de comprendre. Il ne comprit qu’en entendant des voix… Il comprenait mieux maintenant … la police n’avait recherché qu’un seul homme … C’était bien trouvé pour des malfrats de si bas-étage, il y avait quelques choses de pas net là-dessous. L’attention de James fut détournée par un félin qui ne trouva pas mieux que d’essayer de se faire remarquer.

    « Faut trouver un moyen de se sortir de là. Je suis encore trop faible pour réutiliser mes pouvoirs. Il y en a plusieurs, ils ne sont pas loin, je les ressens, ça fait mal… Je…Faut vite aller où ma voiture.»

    Oui , c’était certain qu’ils ne devaient pas rester ici … James s’en voulait d’être venu a pied … enfin il n’avait pas prévu tout ça. Et la présence du groupe ne semblait pas être agréable à la jeune femme … trouver sa voiture ?? Cela semblait une bonne idée, mais pour ça il aurait fallut qu’il sache ou elle se trouve et a quoi elle ressemblait, le mutant ne lisait pas dans les pensées après tout.


[Désolé pour le retard ... et pour ce post qui ne nous avance pas beaucoup ^^'']
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Jenna R. Larking
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MessageSujet: Re: Victime d'une victime? [Pv James Bewley]   Victime d'une victime? [Pv James Bewley] Icon_minitimeSam 27 Fév - 22:49

« Si loin le silence règne, si loin, il tue. »
- Jenna R. Larking

    Avant l’intervention des bandits.
    Imprévisible soit-elle, la jeune mutante blonde regarde l’homme devant elle. Le silence régnait dans la ruelle et cela faisait plus d’une minute. Le cadavre commençait à sentir mauvais et Jenna haussa le sourcil. Ce n’était pas de tout repos les meurtres. Elle se sentait fatiguée et espérait bientôt retrouver le confort de son lit. Elle n’avait jamais eut autant de mal à utiliser son pouvoir, à croire qu’on l’avait affaiblis avant. La tête semblait lui tournée, elle s’étourdissait et croyait même que ses yeux tourbillonnaient. Mais elle n’était qu’en train de penser et elle avait eut le regard embrouillé un moment. La nuit se faisait tard, la lune était ensevelie de nuages et on ne la voyait presque plus, seul des rayons lumineux faisaient faces sur le paysage. La nuit s’avançait de plus en plus et décidément Jenna avait vraiment perdu le fil du temps et ignorait totalement l’heure de la nuit. Elle savait juste qu’elle avait envie de retrouver le confort d’un lit et de se reposer, mais elle ne pouvait pas, pas présentement. Le ciel s’alourdissait de beaucoup de nuages, trop même, la nuit semblait plus sombre qu’à son habitude, plus longue. Il semblait avoir passé une éternité depuis que James avait fait son apparition, tel un feu follet apparaissant la nuit à la recherche d’ami, ce qui n’était sans doute pas son but. Mais que faisait-il à cet endroit quand Jenna avait fait ce meurtre, l’avait-il vu? Cette ruelle était pourtant si vide à son arrivé et elle n’avait pourtant pas détectée d’autres émois, mais que faisait-il là à ce moment là?

    Soudainement, elle s’émergea d’une curiosité incroyable, mais qu’en faite ce n’était pas la sienne, il était évident, mais sans doute que c’était celui de son interlocuteur. Elle devenait de plus en plus méfiante, mais de plus en plus naïve d’être présente avec un inconnu si charmant soit-il. Elle se demandait maintenant d’où il provenait, cet homme dégageait quelque chose de différent des humains, elle en était certaine qu’il était un mutant, il ne manquait plus le temps qu’il le dise enfin. Elle aurait voulu lui demander, mais elle craignait que celui-ci lui mente, elle n’aimait pas les menteurs, même si elle pouvait l’être pour se justifier lors de situation plutôt désagréable. Jenna avait du en avoir affaire longtemps, avec ce genre de mensonges.

      James: « James… James Bewley. Et vous? »


    Elle aurait pu mentir si elle aurait pu, mais l’homme devant elle semblait lui faire du charme, où je ne sais quoi. Il était là, tout innocent soit-il, venu l’aider. Et pourtant, Jenna ne se doutait de rien. Parfois, il faudrait se méfier, mais elle semblait déjà lui faire confiance, comme si elle le connaissait depuis plusieurs années. Cela l’importunait de penser ainsi, mais que ce passait-il dans la tête de Jenna Rose Larking? À l’entente de son nom, elle lui sourit de son sourire qui charmait les hommes, sans même se rendre compte, elle utilisait son pouvoir un instant afin juste qu’il la trouve irrésistible et attirante. Cela était naturel chez la mutante, impossible de s’en départir de ce sourire qui faisait tomber tout le monde. Il lui avait demandé son nom, cela était normal après tout, puisqu’il s’était présenté. Elle ignorait en faite, s’il lui avait mentit, peut-être avait-il prit un autre nom afin de passer inaperçu, cachait-il quelque chose?

      Jenna : « Enchantée James, moi c’est Jenna Larking. Jenna Rose pour mieux dire, mais mes amis m’appelle Sensation, on ne se demande pas pourquoi, n’est-ce pas James?


    S’exclama-t-elle d’une voix presque mielleuse et en le regardant du même regard qu’un instant. Après son discours de son passé quelque peu privé, désormais. Elle avait rarement douté ainsi, elle le considérait étrangement, lui confiait même ses plus sombres secrets, sa mésaventure avec son amie Alicia et son amant Thomas. Et puis Madison qui détestait sans doute Jenna de toute la haine possible dans le monde, cela ne se pouvait tellement pas comment celle-ci la détestait. Et lorsqu’elle s’était rencontrée sur la route, près d’un café, Madison la fusillait du regard.

      James : « Qui sait »


    Jenna ne répondit pas à ce commentaire, elle aurait pu continuer à parler, mais elle pensait trop en avoir dit. Il y avait tout de même une limite à déblatérer. Suite à son commentaire sur son intelligence, elle se sentait un peu ridicule. Elle n’avait jamais autant dit ce qu’elle pensait de sa vie. Même à ses amis, elle cachait ce qu’elle voulait dire, ayant peur que cela les vexe. Mais pourtant avec James, elle n’avait pas peur de lui dire la vérité et cela était plutôt anormale.

      James : « Je crois pouvoir dire que c'est une bonne chose non ? »


      Jenna : « Effectivement, j’aime bien les personnes de ton genre… Désolé, je parle beaucoup n’est-ce pas…? »


    Après l’intervention.
    De retour derrière le mur où les poubelles, le chat y fouillait, cherchant de la nourriture à manger. Jenna eut un moment de dégoût, ayant peur de ce faire découvrir. Elle ne présageait rien de bon et trouvait cette situation très étrange. Il y avait sûrement quelque chose à cacher. Les hommes partirent plus loin dans la ruelle se posant toujours des questions. Leurs émois étaient rendus à la curiosité et la crainte, la peur les désavantageaient. Leur disciple était mort et il ignorait comment.

      Jenna : « Ma voiture est au central park, juste à 2 kilomètre d’ici. Mais il ne faut pas se faire voir. Attend, ne bouge pas. »


    Dit-elle en fermant les yeux, tout en prenant le bras de James pour le garder proche de lui, elle s’était rapprochée sans même se rendre compte, mais cela n’était pas dans le but d’avoir un contact physique. Ce n’était plus dans le but, qu’il ne bouge pas et qu’il reste à côté d’elle. Elle se concentrait à pressentir les autres émois, mais avec James qui interférait dans ceux de la ruelle c’était plutôt dure, mais elle y arriverait, elle pouvait être forte. Elle finit par rouvrir les yeux.

      Jenna : « As-tu une arme sur toi? »


    Demanda-t-elle sans rien dire de plus. Sa main toujours sur son bras lui fit un mouvement de bouger un peu, toujours en le tenant par le bras. Ils sortirent de la ruelle et le chat qui fouillait dans les poubelles les suivait de loin¸caché dans l’ombre. Jenna s’arrêta et comprit tout de suite. Elle regarda James et il devait sans doute comprendre ce qu’elle pensait. Elle s’approcha de lui davantage et lui souffla dans l’oreille.

      Jenna : « Le chat. C’est une mutante, elle nous suit. »


    Elle se retourna vers l’endroit où se trouvait le chat, mais celui-ci avait disparut. Jenna entraîna de nouveaux James et finirent enfin à sortir de la ruelle. Il ne manquait plus qu’à retrouver la voiture de la jeune mutante. Une belle décapotable M3 rouge, presque neuve. Un héritage de sa quatrième famille. Ils continuèrent à marcher, Jenna était sur ses gardes, recherchant les émois de d’autres personnes errantes. Il semblait bien n’y avoir personne. Elle regarda James avec un sourire charmeur, comme pour lui dire qu’il était hors de danger. Elle enleva sa main de son bras, l’ayant peut-être un peu serré.

      Jenna : « Oups, désolé, je t’ai serré fort? Ça va? J’aimerais bien savoir pour qui ils travaillent ceux-ci. »


    Elle eut un frisson. Il commençait à faire de plus en plus froid, elle avait toujours la veste de James qui lui avait prêté pour éviter d’avoir froid. Il était plutôt gentil cet homme, sous cette apparence, mais peut-être n’était t’il pas comment cela en vrai? De ce pas, elle trouvait que les émotions de ceux-ci avaient changé.

      Jenna : « Que ce passe-t-il, ça va? »


    Dit-elle en s’approchant de lui à nouveau tout en le fixant dans les yeux de son regard si séduisant, peut-être était-elle encore en train de l’hypnotisé. À son égard, elle lui transmettait un genre de compassion, une animosité qui se dissipait qui se transformait peut-être en amitié. Lui donnant presque un envie de rapprochement…

    [Désolé, je ne suis pas fière de mon poste ><]
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