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 Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James

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Raphaëlla M. Feliciano

Raphaëlla M. Feliciano


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MessageSujet: Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James   Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James Icon_minitimeSam 27 Fév - 23:53

Raphaëlla Michele Feliciano Feat James Bewley


    Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James Iconmeganfoxm3 Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James Iconpeterfacinelli2

    Depuis maintenant huit ans qu’elle sert pour le gouvernement en secret. Pas même sa famille Italienne le savent, pas même ses amies du Lycée. Depuis que Diego l’avait amené ici, emprisonné dans ses tas de barres de fers que représentaient ses prisons, Raphaëlla n’avait plus jamais été la même. Après deux ans de captivité, elle réussit, lors d’une visite de son tendre traître Diego, de sortir de cet endroit, lui faisant croire qu’elle voulait servir Stryker et pourtant, c’était le cas. Elle ne connaissait pas ces véritables ambitions, simplement parce qu’il ne disait rien. Mais elle restait là parce qu’il savait se trouver confiant par moment et qu’elle était quand même une perle dans le gouvernement. Son pouvoir savait se rendre utile, c’était en quoi Stryker appréciait le plus en elle. Et il était convenu que personne ne saurait qu’elle soit une mutante, cela était prescrit et ne devait être dévoilé à quiconque.

    Lors de son arrêt gouvernemental, elle retourna en Italie, où elle fit une traductrice pour un journaliste. Elle s’y plaisait bien, il était gentil ce James Bewley, elle ignorait qu’il faisait partit du même gouvernement qu’elle. Étant donné qu’il devait avoir rentré peu de temps son absence. Elle lui fit découvrir les plus belles places de Torino, tout en lui donnant des informations qu’elle entrevoyait par le biais de ses propres visions, au contact d’une quelconques personnes. Elle ne lui avait jamais dévoilé ça, James pourrait si bien le prendre comme si elle connaissait le coin et que cela était normal d’avoir ses informations là. Elle ne su jamais véritablement pourquoi il était venu en Italie, elle savait que c’était simplement pour affaire. Mais il gardait cela si secret. Malgré son pouvoir, aucune interférence ne semblait se produire avec celui de James, dont elle ignorait totalement l’existence. Et c’est ainsi, qu’elle eut une grande surprise à son retour en Amérique de revoir James dans les laboratoires de la base de Stryker, comprenant ainsi pourquoi toutes ses informations cachées. Il dû avoir autant de surprise en la voyant arriver, dans son habit de mission, des longues bottes hautes à talon de cuire noir, ses pantalons serrés où on voyait presque toutes les formes de ses jambes si parfaites et sa veste à zipper, zippé jusqu’à son cou où on voyait également ses formes, car il était très serré sur sa peau et ainsi, muni de sa longue tignasse détaché sur ses épaules, ondulant et frisant par bout. Elle était très sexy dans cette tenue et personne ne pouvait y résister, semblerait-il. James ne l’avait sans doute jamais vu dans cette idéologie, étant toujours vêtu d’une veste de coton et d’une jupe et des souliers aiguilles qui lui donnais l’allure professionnelle. Depuis, à chaque fois qu’elle le rencontre dans les couleurs, elle s’arrête et discute avec lui.

    Hors, un jour, où elle marchait dans le laboratoire, finissant d’analyser des molécules d’un produit qu’elle avait réussi à trouver lors d’une mission. Elle n’était pas une scientifique, mais elle se débrouillait du mieux qu’elle pouvait, ayant demandé des conseils aux scientifiques qui lui avaient prêté un bouquin dont elle avala au bout d’une nuit. Elle comprenait tout maintenant, même si elle était faillible dans ses recherches. Munie de sa veste blanche qu’elle avait acheté dans un magasin où vendait des vêtements de pharmacien, de scientifique et de travailleurs. Après une recherche intense, elle finit par se lasser et décida de prendre un petit repos. Elle ramassa ses affaires et les déposa dans une case verrouiller non loin de sa table de travail. Nettoyant le microscope puis sortant du domaine de laboratoire. Elle se lassait vite de ses histoires de trouver un moyen de rendre un certain virus incurable. Elle cherchait et cherchait. Parmi ses missions, elle ne trouvait jamais un bon antidote à rendre ce virus indestructible. Elle finirait bien vite, sans doute, à trouver. Où se serait quelqu’un d’autres qui le trouve. Elle ne faisait pas ça pour la gloire, simplement parce qu’elle aimait ça, faire les recherches, mais surtout faire les missions et de se servir de son pouvoir.

    Tête baissée, livres dans les mains, elle ne regardait pas trop où elle allait, marchant dans la pénombre des lumières de certaines portes, réfléchissant à travers les fenêtres. Elle faisait du bruit avec ces talons aiguilles et n’importe qui aurait pu entendre son arrivée. Elle voyait par l’intermédiaire des fenêtres, les vraies scientifiques en train d’essayer de trouver la solution au virus. Elle sourit et retourna la tête lorsque, tangiblement, elle persécuta, sans le vouloir, James. Entre autre, elle n’avait rien vue venir et elle n’eut pas la plaisance d’avoir une vision, heureusement. Par contre, ses livres et ses dossiers tombèrent en s’éparpillant sur le sol.

    Raphaëlla M. Feliciano :
      « Afflitto, afflitto. »
      Traduction :
      « Désolé, désolé. »


    James était sans doute un des seuls à connaître quelques mots en Italien, car Raphaëlla lui en avait apprit quelques uns. Entre autre « afflitto » qui signifiait désolé et « buongiorno » qui signifiait bonjour. Quelques mots italiens ressemblaient beaucoup au français, ce qui avait facilité la tâche de Raphaëlla à apprendre cette langue.

    Raphaëlla M. Feliciano :
      « Désolé, je n’ai pas regardé où je marchais, j’étais préoccupée. Sinon ça va toi? »


    S’exclama-t-elle de son accent qui rendait ses phrases presque charmant, ressemblant davantage à une mélodie.
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James Bewley

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MessageSujet: Re: Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James   Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James Icon_minitimeDim 28 Fév - 22:39

    James se massa un instant les tempes, une douleur sourde se répandait sous son crane. Il était fatigué, depuis combien de temps n’avait t’il pas dormi normalement, sans tous ses cauchemars …
    Pendant un moment, ils s’étaient estompés, ses missions ne lui laissant plus le temps de penser, et ne lui laisser même plus la force de rêver. Mais cela n’avait pas duré longtemps … dernièrement tout était revenu, avec plus de force que jamais. Peut être que ce qu’il faisait ne suffisez plus, comme si il s’était habitué a cette façon de vivre, il fallait autre chose pour ne plus y penser … pour oublier …

    Mais avait-il le droit d’oublier … Non. De plus comment le pourrait t’il, c’était impossible. James rouvrit les yeux … comme si c’était le moment de penser à cela … il avait d’autre chose à faire, il fallait a tout pris qu’il trouve de quoi s’occuper… pour ne pas y penser.

    A son plus grand malheur ses dernières missions n’avaient été que des échecs, et même si ce n’était que de sa faute, il s’en voulait, laisser partir des mutants qui étaient potentiellement dangereux n’était pas une bonne chose loin de là… si ses pouvoirs avaient été plus offensif, il aurait certainement eut plus de facilité, et se servir de son arme en pleine foule New-Yorkaise n’était pas non plus des plus recommandé.

    Secouant la tête, comme pour enlever ses pensées moroses, James reprit son chemin à travers les couloirs du QG. Sans savoir comment , il se retrouva dans la zones réservées au scientifiques … il faut dire que James essayait de rester le moins possible dans ce quartier général , il n’aimait l’ambiance de l’endroit, de plus comme partout … il avait tendance à se perdre très …très facilement … un trait de son caractère qu’il détestait , s’il avait eu un peu plus de sens de l’orientation , cela aurait été bien plus pratique.

    Il s’arrêta un instant devant de large vitre qui ouvrait sur une foule de scientifiques qui travaillaient tel des fourmis. James n’avait pas la moindre idée de ce qu’était leurs recherches … et pour tout dire, il préférait l’ignorer, Stryker avait toujours eut des projets qui lui déplaisait …moins il en savait mieux c’était pour eux deux.

    Des bruits résonnèrent dans le couloir, mais James n’y fit pas attention … jusqu’à ce que la responsable de ses bruits lui rentrer dedans. Pendant un instant, le mutant ne compris pas qui et comment on avait pu ne pas le voir. Il ne comprit qu’en voyant les dossiers Se rependre sur le sol. Il n’avait aucune raison de se plaindre, la jeune femme qui l’avait bousculé n’était pas une championne de catch et il n’avait quasiment rien sentit … de plus il la connaissait.


    « Afflitto, afflitto. »
    Traduction :
    « Désolé, désolé. »


    Oui, vu la langue utilisait ça ne pouvait être que Raphaella. Il n’était pas bilingue, et ne connaissait que quelques mots d’italiens, qu’il tenait d’elle d’ailleurs. Lorsqu’il l’avait rencontré James n’était pas encore un militaire …
    A l’époque, James avait été envoyé en Italie pour un article … sur le coup l’idée du voyage ne l’avait pas mis en joie, certes il n’était jamais allé là bas, mais laisser Selena seul aux Etats-Unis alors que leur fille venait à peine de naitre … mais le journalisme était aussi sa passion, aussi il avait donc finalement pris sur lui et s’était tout de même rendu en Italie. Une fois sur place, James s’était vite rendu compte que sans une personne pour lui traduire, il n’arriverait à rien … et cette personne s’était retrouvé être la jeune femme actuellement en face de lui.
    Si jamais on lui avait dit qu’il la reverrait au gouvernent jamais il ne l’aurait crut. Mais a présent James s’était fait à cette idée.


    « Désolé, je n’ai pas regardé où je marchais, j’étais préoccupée. Sinon ça va toi? »

    Ça il l’avait bien compris … mais comment lui en vouloir, dernièrement lui aussi avait tendance à foncer dans les gens. La jeune fille qu’il avait rencontré avait d’ailleurs eu la malchance de se trouver sur son chemin alors qu’il avait était complètement dans ses pensées.

    « Oui tout va bien « répondit t’il avec un esquisse de sourire

    Allait bien ? Il avait perdu l'accès a cette état depuis dèja longtemps , mais pour le moment à part son mal de crane rien n'était pire que d'habitude.
    Rare était les personnes avec lequel il arrivait encore à parler, James évitait les mutants du QG comme la peste … heureusement qu’elle n’en était pas une…


    « Et toi ? Ça n’as pas l’air de tout repos ici « continua t'il jetant un nouveau coup d'oeil à la vitre
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Raphaëlla M. Feliciano

Raphaëlla M. Feliciano


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MessageSujet: Re: Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James   Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James Icon_minitimeLun 1 Mar - 4:41

    Dix huit heures passées, les scientifiques continuaient leurs recherches insensées. Les quelques lumières présentes dans le couloir faisaient face à des reflets sur le sol de marbre. On entendait aucun bruit dans les salles où provenait la lumière, parfois, on attendait quelqu’un tousser, mais rien de plus. Aucuns scientifiques ne semblaient se parler entre eux. Il y en eut un qui sortit de la salle avec une tonne de dossier, mais personne ne semblait avoir remarqué qu’il quittait la salle, sauf Raphaëlla qui se retournait vers lui. Ses pilles de feuilles sur le sol, Raphaëlla se penchant afin de les ramasser, ses dossiers étaient tout mêlé et les expériences du type A4 était mêlé avec ceux du B3 et du C9. Elle passerait une nuit entière à démêler toute cette pagaille. Mais elle ne pouvait en vouloir à James, c’était de sa propre faute si elle l’avait bousculé, elle ne l’avait pas vu venir. Elle se releva aussitôt penché, n’ayant reprit aucun dossier.

    Malgré le fait qu’elle est des visions, la belle Raphaëlla ne pouvait pas toujours les avoirs sur commande. La plupart du temps, cela se produisait lors d’un contact physique avec la personne. Hors, parfois, il ne se déclenchait pas et cela ne l’attristait pas. Son autre pouvoir, qui se trouve être de contrôler le temps n’était pas de tout repos. À dire vrai, de temps à autre, elle lui arriverait de confondre son autre pouvoir de contrôler le temps à avoir des visions. Dès la première fois qu’elle découvrit ce pouvoir. Elle resta emprisonné dans le Moyen-Âge sans même savoir comment y ressortir. Même dans cette époque-ci, les mutants existaient déjà et elle se demandait entre autre depuis combien de temps existaient-ils. Trois mois avaient-elle vécu dans une époque qui n’était pas la sienne, elle comprenait maintenant pourquoi elle aimait son époque et sa situation. Car dans leur époque, pour les femmes, cela était plutôt difficile. Elle eut une mauvaise expérience à cette époque. Elle se sentait comme Jeanne D’Arc sur le bouché lorsque les humains avaient découvert qu’elle était une mutante. Elle aurait pu brûler vive, mais son pouvoir de contrôler le temps lui permettait aussi de l’arrêter, mais ayant comme condition que seulement une minute se limitait-il. Mais c’était amplement suffisant pour qu’elle puisse s’y détacher par le biais de son minime pouvoir de télékinésie afin de détacher les cordes. Cela paraissait gros, tout ses pouvoirs. Mais chacun était limité et Raphaëlla ne se spécialisait pas dans la télékinésie, en faite, elle s’en servait que très rarement. Elle préférait plus son pouvoir de vision.

    James Bewley :
      « Oui tout va bien. »


    Ceci fit esquissé un sourire chez l’Italienne. James était pour elle bien plus qu’un simple compagnon de travail. Elle avait pu dire qu’elle eut vécu une partie de sa vie, en sa compagnie lorsqu’il avait son article de travail à écrire. Elle avait beaucoup aimer passer du temps avec lui, même si elle ne connaissait peu sur lui. Avait-elle était chanceuse de n’avoir jamais eut de vision à son égard? Pas même d’avenir où du passé. Mais cela n’était sans doute parce qu’elle n’en voulait pas. Si James devait lui parler de son passé où d’un moment en particulier, elle aimerait avoir la surprise et ne pas avoir un pressentiment de déjà vue.


    James Bewley :
      « Et toi ? Ça n’a pas l’air de tout repos ici. »


    Il se détourna de nouveau vers la fenêtre où, quelques instants plus tôt, Raphaëlla avait observer les scientifiques travailler comme des fourmis acharnés. Mais à quoi traînait-il toutes ses expériences? Elle n’en avait pourtant aucune idée, si simplement qu’elle faisait des recherches pour Stryker. Elle avait bientôt huit ans d’anciennetés et malgré cela, il demeurait distant avec elle, en faite, avec tout les mutants.

    Raphaëlla M. Feliciano :
      « Ça peut aller, si ce n’est cette tonne de fiches à remettre en ordre. »


    Elle lança un petit coup d’œil vers ses fiches sur le sol, esquissant un nouveau sourire charmant vers son interlocuteur. Elle riait d’une drôle de manière esquisse qui la rendait peut-être très enfantine. Ses pupilles d’une clarté bleu ciel observaient de nouveau la fenêtre où, deux scientifiques sortirent de la salle et parlèrent tout bas. En voyant les deux adultes à l’extérieur, ceux-ci se turent et continuèrent à marcher en les observant du coin de l’œil. Raphaëlla reporta donc son regard vers son bel ami James.

    Raphaëlla M. Feliciano :
      « Puis-je vous offrir un café, James? Il y a longtemps que nous n’avons pas discuté autre chose que travail. »


    Elle s’exclamait si bien en français qu’il paraissait si simple de croire qu’elle était d’origine française où américaine et non Italienne. Mais elle devait cela à son professeur de langue qui lui apprit l’anglais pour commencer et ensuite le français un an plus tard. Elle avait peut-être l’ambition d’apprendre une quatrième langue, mais cela ferait partit d’un passé futur.
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MessageSujet: Re: Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James   Dans la pénombre, marche-t-elle. Pv James Icon_minitime

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