X-men: Come Back
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 Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]

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Mask

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MessageSujet: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeSam 23 Jan - 14:32

    Les lumières étaient éteintes. Seuls les éclairages de la ville qui ne dort jamais donnent dans le salon. Dos à la fenêtre, assise dans un canapé qui constituait une partie du décor de l'appartement, fixant la porte d'entrée et le moment où il rentrerait. Calme, sereine, elle attend telle l'ombre sous les pieds de son propriétaire.

    Muette. Plus que quelques minutes et il serait face à elle. Les pas dans le couloir ne trompent pas. Lentement, elle décroise les jambes en lâchant un petit soupire. Impatiente? Non, du tout. C'est lui qui se fait désirer. Et puis.. Le petit déclic métallique dans la serrure suivit d'un léger grincement de la part des chambranles. Le voilà.

    Le voilà qui baigne la pièce dans une vive lumière un bref instant aveuglante. Les clés sont posées sur le petit meuble à l'entrée. Il traverse l'entrée et… Elle, elle se redresse en silence. Un léger sourire vient étirer les lippes pleines de son supérieur. Oui, cette fois-ci, il peut voir ses lèvres. Pleine, délicates, gourmandes. Un masque aux couleurs d'or et de bronze lui fait fièrement face et une fois de plus, sans aucune expression particulière. Ce soir, ce n'est pas la petite blonde de la base qui lui fait face mais une jeune femme aux longs cheveux d'un roux flamboyant et aux pupilles d'un vert jade.

    Le silence est omniprésent dans le salon.. Il n'est que couper par les bruits incessants de la ville derrière eux. Elle le toise, l'observe avant de faire quelques pas dans la pièce et.. d'enfin, couper ce silence presque pesant.

      _ Tu mets plus lent que je ne croyais à rentrer chez toi.



    Elle glisse une main sur un meuble avant de reposer les yeux sur l'androïde face à elle. Elle penche un petit moment la tête sur le côté pour ensuite se remettre légèrement en mouvement. Elle gagne le canapé, s'y rassoie.


      _ Tu as ce que je t'ai demandé?



    Avec flegme mais élégance, elle croisera les jambes. Son regard ne quitte pas le jeune "homme" face à elle. Elle en sourirait presque. Presque seulement. Mask n'est pas la reine de la démonstration de ses sentiments. Et puis... Il n'y en a pas vraiment à en avoir.

    Voilà que les prunelles de Jade quitte l'androïde pour observer un instant le salon où elle a pris place. C'est... différent de chez elle. Elle plisse vaguement les yeux avant de se redresser à nouveau et d'aller se poster près de la fenêtre pour observer la vue. Haute. C'est bien ça le problème en Amérique, tout est grand, tout est haut. Tout est sur-dimensionné. Mais c'est ce qui fait à la fois la réussite à la fragilité de ce pays. Elle reste un petit moment postée là avant d'en revenir à son espion.

    Est-ce sa vrai couleur de cheveux? Est-ce ses yeux? Le saura-t-il vraiment un jour? Et... Comment savait-elle où le trouver..? Comment est-elle entrée? Sur la porte, il n'y avait aucune trace d'infraction ni d'effraction. Mask... Qui est-elle au juste?



Dernière édition par Mask le Dim 7 Fév - 18:49, édité 1 fois
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Marcus Wright
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeDim 24 Jan - 2:30

La nuit était déjà là.
Imperturbable de part sa noirceur, et ce malgré les quelques faibles lampadaires du quartier. Malgré l'heure, il y avait quelques personnes dans les rues, comme bravant la nuit elle même. Pour essayer de devenir important, sans nul doute. Pour essayer d'exister. Au fond, nous sommes tous pareils. Ce que l'on souhaite le plus au fond de nous, c'est de ne pas être oublié. Soit, la nuit était sombre, mais étrangement dégagée. La lune à son sommet était pleine. C'était l'ambiance qui était sombre. Comme figée, éteinte. Sans vie. Les quelques rares passants se dissipaient, voulant trouver un foyer avant de disparaitre eux aussi dans ce calme lugubre. N.Y. se faisait vaincre quelque fois. Même si de nombreux quartiers étaient encore en pleine effervescence, la rue qui logeait l'immeuble "Nelson Mandela" était comme morte. Pas un chat, pas un homme, personne. Personne, sauf un.
Marcus Wright, agent secret s'il en est un, rentrait chez lui. A pied, bien évidemment. Les mains dans les poches, il marchait au milieu de la rue faiblement éclairée. Il aimait bien la nuit, et surtout cette sensation d'obscurité. Lui qui était la lumière, lui qui était une étoile. Dans le noir le plus complet, Marcus émettrait une faible lueur qui éclairait les environs malgré lui. Bien entendu, la nuit seule ne suffisait pas pour que cela fusse visible, il fallait un noir total. Là, seul sur le béton, il avait l'air on ne peut plus normal. Les mains enfoncées dans son grand manteau militaire, il marchait à un pas lent. Ses épaules tombaient, et son bassin dansait avec élégance. La tête haute, ses yeux bleus guettaient le sombre avec délice. Son visage était serein, chose rare. Il tourna à droite, et s'enfonça dans l'immeuble qui portait le nom d'un des héros de la paix mondiale.

Pourquoi N.Y.? C'est une bonne question. Marcus ne le savait pas vraiment lui même. Après tout, c'est Stryker qui gère, et l'Armée qui paie. Il n'allait pas commencer à chipoter sur l'endroit, alors que par dessus le marché il ne connaissait nul part ailleurs. Il se souvenait bien évidemment de sa ville natale, en Californie, de sa prison dans l'Iowa. Mais tout ces lieux avaient bien changés depuis le temps. Et Marcus ne connaissait pas ce nouveau monde. Ce monde - disons le - assez triste. Partout régnait la terreur. Cette saloperie de virus faisait un carnage. D'ailleurs, il songea que s'il était mutant, il pourrait être contaminé. Ce serait le comble tient, un agent informateur battu par son information. Mais cela ne l'inquiétait pas trop. Va savoir pourquoi, au fond de lui, il n'y croyait pas. a l'idée d'être contaminé. Non.
Le voila qui longeait un couloir aux couleurs ternes, plutôt verdâtre. Il fit un salut au concierge, et celui ici le lui rendit volontiers. Il s'appelait Franck, et avait un talent particulier pour ce qui était des discussions. C'était spectaculaire de voir comment même avec les personnes les plus réticentes, il tenait une conversation aisée. Marcus parlait aussi pour son cas personnel. Ce gosse lui était sympathique sans qu'il ne sache pourquoi. Et lui ne lui faisait pas du tout penser à son frère. Le concierge était blond, aux cheveux mi longs et aux yeux presque noirs. Il avait cette technique lorsqu'il vous regardait, comme s'il lisait en vous. C'était un pro de l'informatique, qui devait avoir dans la 20e, pas plus. Il était très efféminé, et Marcus aurait parié qu'il se tapait d'autres mecs. Homo et geek, vive le tableau. D'un sens, ca ne dérangerait pas l'androïde de tomber dans son lit. Si tenté qu'il soit bâillonné.

    - Aloors, comment va le boulot, Marquis?


L'interpelé poussa un soupir. Le gamin l'appelait toujours marquis, en lui expliquant qu'il y avait quelque chose dans son allure qui faisait penser à un Aristocrate. Marcus n'aimait pas trop li'dée, mais il le laissait faire. Après tout, ca avait quelque chose de jouissif que d'être gradé verbalement. Tout l'immeuble était à l'Armée 'unité spéciale' , et Franck lui même était formé pour défendre les gens qu'il abritait. Marcus pensait qu'avec l'heure, Franck se serait abstenu de taper la discute. Certes, il l'aimait beaucoup, mais les journées passées à l'institut étaient psychologiquement éreintantes. Devoir constamment veiller à bien répondre au nom de Liam, pas de Marcus, était dur. C'était comme réapprendre à un gosse à marcher après lui avoir casser les deux jambes. Ensuite, passer ses journées à enregistrer des données précises avec les différentes personnes qu'il rencontrait vidait ses batteries. Notre androïde étonnement sociable se retourna, et fit quelques pas vers la loge du concierge.

    - Rien de neuf, Francky.
    - Ahah! Ca viendra sa majesté! Rien ne peut te résister!
    - Dis pas de conneries gamin.
    - Attends, tu veux qu'on reparle de la porte que t'as pétée sous un prétexte obscur?!
    - Puta.... Je te l'ai déjà dis, ce connard n'avait qu'a pas venir toquer trois fois à ma porte à 5h du mat.
    - Il s'était trompé, marquis. Sa femme l'appelait en pleur dans la chambre d'à côté.
    - M'en fous, elle avait qu'a pleurer sans bruits. Et sans mari.
    - T'es dur! Mais rien ne te résiste. Moi, je ne te résiste pas~
    - ... Ravale tes œstrogènes jeune fille, et va te coucher.
    - Tu as rougis!


Franck éclata d'un doux rire cristallin tandis que Marcus haussait les épaules, blasé. Il secoua la tête en faisant tss tss, et lui tourna le dos. Il se dirigea vers l'ascenseur, appuya sur le bouton, en entra dedans. Alors que les portes se refermaient, le p'tit Concierge hurla de son aquarium: "Tu me dois un baiser, Marquis, pour service rendu à autrui!". Marcus poussa un long soupir de lassitude. Ce gamin était bourré de pensées perverses, et pour ainsi dire, notre robot se forçait à ne pas l'être lui-même. Il n'était en aucun cas rationnel de fantasmer sur un gamin de 10ans de moins, shooté 24h sur 24h. La dernière fois il lui avait d'ailleurs sauvé la vie, car ce crétin avait fait une overdose. Et malgré sa promesse de ne plus y retoucher, Marcus savait qu'il nageait encore dedans. Le voila arrivé au 27e étage. Le dernier, celui qui surplombait presque N.Y. L'ascenseur émit un joyeux bip, et les portes se refermèrent derrière lui. Le couloir n'était plus éclairé. Sans doute les plombs du couloir avaient pétés. Il poussa un autre soupir, ce n'était décidément pas son jour. Un faible halo l'enveloppa tandis qu'il marchait. Alors qu'il arrivait devant sa porte, Chambre 351, il se stoppa.
Quelqu'un était chez lui. Qui, il n'en savait foutrement rien. Mais .... Il le savait. Il le sentait. La lumière s'intensifia, jusqu'à devenir presque éblouissante. Il observa la serrure, qui ne présentait pas une trace d'infraction. Lentement, il glissa la clé et tourna. Le déclic habituel retenti gaiement, et la porte s'ouvrit sans un bruit. Le robot leva les yeux, et observa alors à l'intérieur. Une ombre sur le sofa. Mask. Qui d'autre? Il fit un sourire, presque imperceptible, et referma la porte. Il fit baisser l'intensité de son halo, avant d'allumer la lumière. Celle ci était faible, mais au moins parfaitement humaine. Il déposa ses clé sur le meuble de l'entrée, prévu à cet effet, puis jeta son manteau sur un fauteuil (qui n'était lui pas prévu pour ça, mais la science du rangement est assez obscure chez le robot). Il était habillé en dessous d'un simple gilet gris, ouvert légèrement sur torse musclé. Son pantalon était un habituel jean, usé, troué par endroit, avec une ceinture en cuir à la boucle métallique travaillée. L'Ouroboros. Le serpent se mangeant la queue. Ses chaussures étaient d'habituelles boots de cuir usées. Il se retourna alors et observa l'intrus, aussi à l'aise chez les autres que derrière son bureau.

Dieu soit maudit pour avoir osé créer cette humaine.
Cette femme est une déesse. Sa beauté est presque stupéfiante. Cette fois ci, elle portait un masque mi visage, qui permettait à l'androïde de voir un menton raffiné au tracé délicat, et des lèvres à la perfection presque insultante. Cette femme devait être béni de dieu. Rousse elle était aujourd'hui, et ses yeux étaient verts. Et, sans rire, Marcus était persuadé que c'était son vrai visage. Peut être cela était il du au fait qu'il adorait les rousses, et était fasciné par les yeux émeraudes. Quoiqu'il en soit, elle était plus chaude ici que la dernière fois, si sobre derrière son bureau. Son parfum - celui de la femme parfaite - trônait dans l'air en maitre. Marcus huma, un sourire naissant aux lèvres. Et la voila qui parla. Il ne la quitta pas des yeux. Elle effleure un buffet, et retourne se rassoir.
Lorsqu'elle recommença à parler, Marcus sorti de sa torpeur. Il fit un petit rire, ferma les yeux et baissa la tête. Alors, il se mit pied nu, et retira son gilet. Ce qu'il y avait de bon avec son pouvoir, c'est qu'il ne coutait pas cher en électricité. Bon, certes, il allumait la lumière par convenance. Mais niveau chauffage, c'était nickel. La température était aux alentour des 22°c. Il reporta alors son attention sur la jeune femme. Évidemment, celle ci n'était venu le voir que par intérêt. Comment avait elle trouvée la chambre? Et même l'endroit? Bah, après tout, si elle était son patron il devait être normal qu'elle sache où il habitait. Mais qu'elle ai les clés, et qu'elle l'attende à l'heure où il rentrait ... "Ne te creuse pas avec ca Marcus" se dit il à pour lui même. Mask était sans nul doute le genre femme fatale. Fallait mieux pas l'agacer avec des questions existentielles. De plus, ce ne serait sans doute pas la dernière visite inopinée qu'il aurait. Mieux valait il qu'il s'y habitue. La sauterie avec Franck se ferait donc chez lui, dommage car il adorait son lit pour ce genre d'exercices. Marcus se remit les idées en place à coup de claques mentales féroces, et déambula vers la cuisine - torse nu donc. Sa démarche était glissante, discrète. Son jean bas tombait sur ses hanches, laissant apercevoir un boxer noir. Son bassin dansait avec grâce alors qu'il tournait vers la pièce bénie.

    - Tu veux un truc à boire?


Il ouvra le frigo. Si Marcus à entendu la question? Bien entendu. S'il fait exprès de pas répondre? Bien entendu! Ce n'était pas par abus de pouvoir, ou pour énerver l'invité, mais juste par ordre de priorités. Il avait besoin de se détendre un peu, alors d'abord il s'installait, et après ils papoteraient. Il constata avec un certain dépit qu'il n'avait pas encore eu le temps de faire les courses de manière convenable. Il sortit donc deux canettes, et en décapsula une avec une habitude effarante, rien qu'avec un pouce.

    - Y'a bière ou bière. Au choix.

Après cette déclaration pleine de sentiments, il alla prendre place aux côtés de son boss adoré. Il s'assit - non - il se vautra à ses côtés, porta la canette à ses lèvres et bu presque la moitié. Il posa ensuite les deux bières sur la table basse devant le sofa, installa ses pieds sur ladite table, et poussa un profond soupir de satisfaction. Bon. Maintenant qu'il était enfin détendu, à l'aise dans sa tanière, il lui fallait répondre. Mais que dire?
Techniquement, non, il n'avait rien. Rien a dire. Rien de nouveau. Xavier étant absent, ca n'aidait en rien ses recherches. Même s'il apprenait des tas de choses, c'était plutot pour son accomplissement personnel. Et certains des X-Mens n'arrivaient pas à le supporter. Surtout un gringalet aux lunettes kitsch, Cyclope. Quel nom idiot. Ils ne pouvaient pas se voir, et pourtant ils s'étaient à peine parlés. Enfin le moment n'était pas à la mélancolie. Mask attendait des réponses, et malheureusement, il ne pouvait lui en apporter.

    - Xavier est absent. Personne ne sait où il est. Quant au virus, j'en sais surement désormais autant que vous. Mais rien sur un possible remède.


Marcus ne considérait pas exactement cela comme un échec, vu qu'il n'avait pas encore eu la chance de croiser Charles Xavier. Et puis, après tout, il avait encore le temps. Mask était impatiente. Il croisa les bras derrière sa tête et ferma les yeux. Son ventre se levait et se baissait à rythme lent. Dans sa poitrine, un cœur d'une puissance extraordinaire battait. Le son de la vie, qui tentait de garder le dessus malgré l'étrange circonstance de son anatomie. Après deux jours non stop d'entrainement, Marcus n'avait qu'une envie: Celle de prendre une douche. Mais pour cela, il attendrait au moins une réaction de la superbe femme à ses côtés.
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeDim 24 Jan - 12:05


    Red? Yes. Green? Maybe.


    Aucune réponse à sa question. Mais à la place, elle a droit à une mini striptease de la part de l'androïde. D'abord les pieds et ensuite le torse. Une chance qu'il ne voit pas tout de son visage parce qu'elle hausse un sourcil à la vue de ce torse... pratiquement parfait. Elle se serait bien pincée les lèvres mais ça serait montrer trop de surprise et.. d'intérêt? Elle se contente de le suivre des yeux. Il quitte le salon pour gagner la cuisine. Elle serait tentée de lâcher un soupire. De la bière. De la pisse de chat, oui. Elle se redresse pour la peine. Et.. Il lui dit "tu" ? Elle tique un peu? Non. Disons simplement qu'ils ne sont plus à la base et.. qu'elle sera plus.. indulgente et réceptive à ce genre de comportement puisque c'est elle qui s'est introduite chez lui et non l'inverse.

    Il revient, elle quitte se place pour faire à nouveau quelques pas dans la pièce. Elle glisse ses mains dans les poches arrière de son pantalon. Noir. Sa tenue... Oui, on ne la pas encore passée en revue. Elle porte un pantalon noir. Pas en cuir, trop inconfortable et trop vulgaire. Un simple pantalon noir. Droit. Des hautes bottes noirs -sans talon-, elles en cuir. Et contrairement aux boots de Marcus, elles sont dans un état impeccable. Le dessus maintenant? Une sorte de tunique dans les mêmes tons que son masque. Bronze doré et d'un style chinois. Quelques broderies noires. Des oiseaux, des symboles. En soie? Bien sur. La qualité se paie. Et une longue veste trois-quart noir. Cintrée à la taille et évasée vers le fessier. Dans un style un peu plus.. napoléonien. Deux style profondément différent mais qui s'accordent étrangement bien.

    Quant à son apparence physique... Ses cheveux sont longs, légèrement bouclés. Soyeux, brillants. Mais pas avec cette sensation de plastique comme pour ses cheveux blonds. Rousse au naturel? Sans nul doute. Le diaphane de sa peau peut le prouver de toute manière. Quant aux yeux... A bien y regarder, ils ne sont pas entièrement vert. Une pointe de gris vient à pâlir son regard et à le rendre un peu plus... étrange peut-être. Mais il n'y a pas cet espèce de petit halo transparent comme avec ses yeux bleus. Lentilles de meilleure qualité ou tout simplement ses yeux normaux?

      _ Non merci.


    Pour la bière. Elle ne comprend pas comment on peut boire une bière quand on a du vin à disposition, hm? De la pisse de chat en bouteille ou un grand cru? Son choix est vite fait. De plus, la bière laisse une odeur épouvantable dans la bouche de son buveur. Une haleine digne des plus grands ivrognes qui bordent les rues du Bronx ou de Central Park à cette heure-ci de la nuit. Elle hoche un peu la tête. Mais bon, rien de bien étonnant. Après tout même s'il n'est pas vraiment humain, Marcus a des gènes d'homme. Elle n'est donc pas vraiment surprise par le type de boisson qu'il peut ingurgiter.

    Elle retire les mains de ses poches pour se diriger à son tour dans le coin cuisine. Cela fait depuis son arrivée qu'elle fait comme chez elle alors pourquoi changer cette attitude? Aucune raison. D'autant plus qu'il a autre chose à boire à proposer: de l'eau. Tout simplement. Elle ouvre un placard pour attraper un verre, ouvrir le robinet, laisser un petit peu l'eau s'écouler -le calcaire- et ensuite de remplir son verre. Le robinet refermé et verre plein, elle revient s'assoir près de lui. Elle dépose le verre avant de croiser les jambes puis de tourner la tête vers lui.

    Xavier n'est pas là? Tiens donc. Fait curieux. Aurait-il laissé ses protégés livrés à eux-même? Non. Bien sur que non. Son "élite" doit être sur place. Comme ce Summers ou encore la mutante rousse, Jean Grey. Elle reste un instant silencieuse. Où pourrait-il bien se trouver. Quant au virus. Elle ne recherche pas le remède. Non. Elle hoche négativement la tête. Elle pensait qu'il aurait au moins compris ça. Visiblement pas.

      _ Sais-tu pourquoi il n'est pas là? Ou bien où peut-il se trouver en ce moment?


    Elle repose son attention sur son verre avant de s'en saisir pour y boire une gorgée. Pour quelle raison Xavier aurait-il laisser ses précieux élèves? Elle repose le récipient en silence. Elle se pince un peu les lèvres. Et ce... mutant qui était au sénat..

      _ Hank McCoy est présent à l'institut?


    Facilement repérable, lui. Une peluche toute bleue. Le big foot en bleu. Elle pianote légèrement sur son genou. Si Hank n'est pas là, c'est qu'il doit être avec Xavier. Ils sont un peu comme cul et chemise. Ou presque. Xavier aime l'esprit d'analyse et scientifique de l'animal. Hank est quelqu'un d'intelligent. Mais pas encore assez. Il est brillant mais pas suffisamment. S'ils sont partis ensembles, c'est sans doute pour trouver et comprendre ce virus. Il va falloir se montrer patient. Qu'à cela ne tienne. Elle le sera.

      _ Je vois que tu n'as pas vraiment saisi le fond de ce que je voulais pour ce remède. Ce n'est pas bien grave. Si remède il y a, je veux bien l'avoir aussi. Mais ce qui m'intéresse vraiment est son origine. Savoir par qui ou quoi il a été créé et dans quel but.


    Elle repose son attention sur Marcus. Il n'y a pas à dire, c'est vraiment une magnifique création que Stryker a réalisé. Si elle ne savait pas, elle en serait sans doute dupée. Il a tout d'un humain.. Ou mutant. Il respire, peut manger, boire. Bien que ses gouts peuvent être discutable. Mais il fait tout comme.. n'importe quel habitant de cette maudite planète. De plus, il a un physique tout à fait.. plaisant. Grand, brun, yeux incroyables et une chaleur dégagée non négligeable. Sa peau doit être.. unique à sentir. Si elle ne se retenait pas, elle lui aurait déjà mis une main sur l'avant-bras pour savoir ce que cela fait. Avant-bras ou.. torse même. Il est sculpté merveilleusement. Musclé mais pas de trop. Bien bâti sans pour autant paraitre surfait. Attractif. Oui, c'est ça. Marcus a quelque chose de magnétique, d'attractif. Elle en sourit même légèrement en coin.

      _ Si Xavier n'est pas là, tu as sans doute du voir son chien de garde. Le Mutant surnommé absurdement Cyclope. Ou Scott Summers. Un peu arrogant sur les bords, sur de lui et pas vraiment un bon leader puisque légèrement .. impulsif.


    A croire qu'elle a déjà mis les pieds à l'institut pour connaitre autant de monde. Non. Mais Mask aime savoir où elle met les pieds.. Ou les pieds d'un de ses subalternes. C'est une question de principe. Ne pas lâcher un de ses hommes dans un lieu qui est totalement inconnu. C'est mieux pour tout le monde. D'autant plus que la petite virée il n'y a pas si longtemps que ça au Manoir Xavier lui a permis de repérer de nouveaux élèves.. qu'elle doit encore ficher et connaitre un peu plus.

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Marcus Wright
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeLun 25 Jan - 1:53

S'il y avait de nombreux mystères non résolus sur cette foutue planète, les femmes était le principale. Jamais on ne les comprenait, jamais on ne les cernait vraiment. C'était fou, d'ailleurs, de voir autant de différences par l'unique changement de sexe. De mâle à femelle, beaucoup de change se transformaient. Déjà, les dames n'appréciaient pas la Bière. Pas l'horreur industrialisée, non!! Non, la vraie bière. Celle qui fraiche désaltère mieux que l'eau. Qui évoque au goût des prairies parfumées. Oui ... La vraie bière avait quelque chose de si intense pour un connaisseur, rien à voir avec les heineken, kronenbourg et autres fientes de poule. Bon certes l'orge qu'il proposait chez lui était l'une de ces deux marques tristement connue. Mais quand bien même, le robot avait bien perçus ce dégout évident à l'idée de boire cette boisson. Les autres différences c'étaient l'obsession du rangement.

Même si Marcus n'était pas le pire des hommes, il restait un célibataire vivant seul dans un appartement sale. La cuisine était nickel, n'ayant pas beaucoup servi. Le frigo était vide, comme à son habitude. La couleur principale de l'appart' était gris. Le canapé était noir, et la table basse était en verre. Sur celle ci gisait des traces d'assiettes, de verres ayant dégouliné. La télé - éteinte - était un écran plat accroché au mur. Petit caprice de l'androïde. Bah. La chambre était au fond du salon, dans des teintes bleu foncées. Des fringues étaient vautrées épars un peu partout dans l'appart'. Heureusement pour lui, Franck venait régulièrement aérer et faire la poussière. Ainsi ca n'avait pas l'air aussi miteux que cela devait l'être. La salle de bain - qui donnait elle aussi sur le salon - était dans des teintes bleu clair. Pas de rideaux, en revanche, Marcus l'avait jeté. Ca pourrissait trop vite, et puis c'était inutile pour quelqu'un vivant seul. En faite, l'appartement était en étoile. Le centre était le salon, la plus grande pièce. Un petit couloir en bas était l'entrée. En haut la chambre. A droite la cuisine - sans mur de séparation. A gauche la salle de bain. Tout tournait autour du salon.

Soit, la princesse assise à ses côtés refusait donc de boire de la bière. Cool, ca lui en ferait plus pour lui, et la visite de la mademoiselle lui couterait moins cher. Une pierre de coup pour un gain non négligeable. Après tout, merde quoi, Marcus était chez lui. Il avait d'ailleurs largement fait comprendre que chez lui, il n'y avait plus de respect des apparences à tenir. Il faisait ce qu'il voulait, lui parlait comme il voulait. Ce n'était pas une question de chef/ adjudant. Non, c'était juste que chez lui Marcus avait besoin de ce détendre en oubliant quelques minutes qui il était, ce qu'il faisait, son job... Mask est debout, alors que notre androïde est toujours vautré, de son air légèrement arrogant sans vouloir l'être. Il termine sa bière, la pose sur la table, et ouvre celle amenée pour la jeune femme. Celle ci part vers la cuisine, fouille un peu, et revient avec un verre d'eau. Ralala, les femmes. Elles ne savent pas ce qui est bon. Mais pour celle ci, il était près à lui pardonner. Il pardonnait toujours aux rousses. Et a elle encore plus. Elle revient donc s'assoir, sous le regard amusé du robot. Elle était rigolote, sans aucunes animosités aucunes. Juste, la voir aussi stricte avec son verre d'eau comme preuve, assisse sur un canapé confortable par son usure dans cet appartement miteux. Elle si chic et propre sur elle a côté de Marcus vautré, presque nu, avec pour appuyer le stéréotype la bière entre les mains. Oui, Mask faisait défaut sur son tableau alors qu'il faisait lui aussi défaut sur le sien. Comme quoi.

Bon, arrête de penser à rien et concentre toi encore quelques minutes avant de penser à dormir, se motiva l'agent Wright. Il n'avait aucune idée d'où pouvait être Xavier. Les X-Men étaient très fermés sur ce sujet, et les élèves trop peu curieux. Poser des questions sur ce sujet était très mal vu. Ensuite .. McCoy... Ce nom il le connaissait, et il se souvenait effectivement d'avoir vu un nounours bleu se promener dans l'institut. Ce type était tout à fait fascinant. N'importe qui serait plus facilement politicien mutant que lui, mais malgré son physique très différent il a réussit à convaincre tout le monde. Ou presque tout le monde. Peut être était ce aussi cette flagrante différente qui renforçait l'idée chez les humains qu'un mutant se trouve facilement dans la masse. Oui, ce devait être ça. C'était stupide, c'était humain. Bref, rien d'improbable. Le regard bleu azure de robot avait malgré lui glissé sur la nuque pâle entourée de boucles brunes. Sur une poitrine généreuse mise en valeur par un tissu léger. Sur une taille fine, rehaussée par la légère transparence de la soie. Ensuite sur une paire de jambe longiligne, parfaite. Jambes croisées, sur laquelle pianotait par tic une main pleine de jolis doigts. CONCENTRE TOI MARCUS! Décidément, il avait vraiment besoin d'une douche. Et plutot froide.
    - Ils sont très secret pour ce qui est de Xavier. J'essayerais d'approfondir dans les jours qui viennent.

La peluche maintenant ... Quant l'avait il vu pour la dernière fois ? Ou? La télé, sans aucuns doutes. Mais il se souvient aussi l'avoir vu en vrai, sans qu'il soit vraiment là... Raaah où était ce? Il porta la canette à ses lèvres et bu quelques gorgée évasives avant de la poser sur la table.
    - Le schtroumpf poilu n'est pas à l'institut depuis que j'y suis mais ...

Mais quoi ? Pourquoi était il aussi sur de rater quelque chose? Il se redressa, posant ses coudes sur ses jambes, ses mains venant près de sa bouche. Il réfléchissait. Ses yeux n'avaient plus rien de rieur. Ses sourcils déjà très en avant l'étaient encore plus, froissé d'anxiété. Son cerveau androïde repassait toute sa mémoire à l'institut en se concentrant sur Hank. Cela prendrait seulement quelques minutes pour avoir un scan total parfait. Quelques minutes seulement ....
Voila, le détail lui revenait. Infime. Un être humain normal l'aurait raté, a moins d'avoir un sens de l'observation sans pareil. Un simple papier posé sur le bureau de Xavier, signé McKoy. Que cela pouvait il être? Une lettre qui demandait de l'aide? Des renseignements sur pourquoi Xavier avait quitté le navire? Ou peut être rien. Peut être rien.
    - Sur le bureau de Xavier, il y avait une lettre. Signée par l'ogre. J'ai aucune idée de ce qu'elle contient, mes les X ont trop de respect pour aller fouiller. J'irais.

Marcus sortit de sa profonde réflexion. Il venait de solliciter sa mémoire de nouveau. La température augmente encore de quelques degré. Il ne ressent pas la fatigue en tant que telle, mais juste un insuffisance neuronale. Trop solliciter son cerveau fatiguait la partie humaine, qui bloquait le processus de la machine. Bien entendu ce dernier ignorait totalement la cause, songeant juste que pas dormir c'est mauvais pour la santé. Etre enduit de crasse aussi. Voila sa chère et tendre qui recommençait sur le discours quelle connaissait le mieux: Tu n'es qu'un abruti. Il poussa un soupire en laissant couler. Quelle idée absurde de vouloir trouver des tas d'infos sur un virus meurtrier, et trouver le remède inutile, ou tout du moins secondaire. Stryker ne voulait il donc pas créer un monde meilleur? De plus, connaitre le remède permettrait de connaitre et la molécule souche du virus, et ses faiblesses. Bref, le bonheur des biologistes. Il ne releva donc pas la tirade de Mask, ne préférant pas faire durer la conversation plus longtemps sur un sujet qui plus est glissant.

Mais voila quelle partait sur Cyclope. Un sourire quelque peu carnassier étira les lèvres du brun alors qu'il se levait. S'il avait rencontré cet emmanché de tarlouze nevrosé? Bien entendu. Et dès le premier regard il ne l'avait pas supporté. Ce côté hautain qu'il portait à tous. Et puis surtout, Marcus avait fait une fixette sur les lunettes. quel manque de goût évident! On avait beau lui avoir expliqué que Scott n'avait pas le choix, que ses yeux lui pourrissaient la vie, l'androïde le trouvait juste ... Faible? Oui, c'était le mot. Ce n'était rien de plus qu'un gamin pourri gâté, sans conscience de sa propre faiblesse. Mais bien entendu, Liam l'aimait bien. Et même si Scott avait ressenti la même aversion, il avait feinté l'hypocrisie à merveilles. Il secoua la tête, toujours avec ce sourire mauvais, comme pour chasser toutes ces pensées de son crâne. Malheureusement, cela ne suffisait pas.
    - Oui, je l'ai croisé. Savoir que ce type est chef me donne la gerbe.

Il marqua un temps de pause, visiblement suivit par Mask. Le silence faisait du bien. Il leva alors les bras en joignant les mains et s'étira comme un chat, en poussant un grognement de satisfaction. Il adorait être chez lui, même si cette soirée n'aurait pas été aussi posée que prévue. M'enfin il n'allait pas commencer à ce plaindre alors qu'assit sur son canapé il y avait la plus belle femme des alentours? Mais d'un certain point de vu, plus charnel celui ici, voir Francky - typique proie facile - sur ce canapé ne l'aurait pas déplu non plus. Après tout, mi robot mi HUMAIN. Et comme un homme, il avait certains désirs à assouvir. Il se seccoua la tête et se répéta que devenir pédophile ruinerait sa réputation à jamais.

Il fit quelques pas, et entra dans la salle de bain, et retira son pantalon. Il ne ferma pas la porte, trouvant inutile de cacher ce qui n'était pas visible du canapé. Il retira aussi son sombre boxer, et alluma l'eau. Le glouglou se dit alors entendre, comme sonnant le glas de la paix intérieur. Il augmenta la température de son halo, ce qui fit que même froide elle était bouillante une fois sur son corps. Et celui ici ne se plaignait pas, c'était d'ailleurs le but. Il se dit que prévenir pour prendre une douche chez soit, fallait pas déconné. Aussi ne l'avait il pas fait. Mais il y ne fit qu'un allé et retour presque. Quelque chose manquait cruellement. Il ressortit presque instantanément, s'enroula une serviette rouge foncée autour de la taille, et alla chercher ce qui lui manquait lors de sa douche: Sa bière. Une douche avec la bière, c'était le summum. Trempé, dégoulinant d'eau brulante, il bu quelques gorgées fraiches. Au fond de lui la fraicheur agissait comme ... Une drogue nocive. Et c'était rigolo. Mais une fois de nouveau face à la créature de rêve, il fut prit d'une pulsion. Pourquoi devait il toujours appelée Mask une fille?
    - Tu veux pas me donner un faux prénom? Mask, ca fait 'Captain América'.

Niveau franchise, et avec cette femme, il y'avait du progrès a faire. Mais ce n'était jamais méchant. Juste si elle l'appelait Marcus ou agent Wright, c'était toujours mieux que lui à répéter Mask Mask Mask. Après tout, il n'avait même pas exigé le vrai, juste demandé la possibilité de l'appeler par un autre nom. C'était peut être trop osé ...
Mais ce qui ne le choquait pas du tout, c'était qu'il se balade à moitié à poil devant elle, l'air de rien. Et c'était parfaitement sincère, il ne pensait à rien de mal. Et puis après tout, c'est pas comme s'il était désagréable à la vue. Un homme musclé, dans la force de l'âge, plein d'eau ... C'était plutôt sympa comme vision, non?
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeLun 25 Jan - 10:19


    Hm... Like that.



    Il ne répond pas délibérément à la tirade sur le virus. Pourquoi? Vexé? Qu'importe, le message est passé et il fera de son mieux -elle en est certaine- pour combler ses attentes. Elle l'observe se lever, sourire avec.. un petit air prédateur?! suite à la boutade sur Cyclope. En même temps, il est tellement facile de classifier Scott Summers. Mais visiblement, son tableau semble lui plaire. Elle hausse vaguement un sourcil à sa réponse.

      _ J'ose espérer que je ne provoque pas le même dégout...


    On ne sait jamais, hein! Il vaut mieux bien s'entendre dans une équipe sinon ça part trop facilement en live. Elle le sait. Elle a déjà vu ça. Non, pas elle personnellement, mais chez d'autres chefs d'équipe. Il ne faut pas être ami mais pas non plus passer son temps à rabaisser ses sous-fifres. D'ailleurs, quand elle y repense, personne ne s'est jamais plains de son attitude. Bien souvent, elle donne les consignes, on applique, on est féliciter ou récompensé. Si ce n'est pas le cas, une remontrance et puis on passe à autre chose, on recommence. L'erreur est humaine. L'erreur est acceptable.. Une fois. Deux fois peut-être. Cela dépend de la mission. En ce qui concerne Marcus, la marge d'erreur n'a pas vraiment lieu d'être sans quoi, les mutants risqueraient de mal prendre l'infiltration de l'armée dans leur "chez eux". Et ils auraient raison. Mais elle est certaine que l'androïde est conscient que sa marge n'est que minime, voir infime.

    McCoy n'est pas plus présent à l'Institut que ne l'est Xavier. Une lettre? Elle hoche un peu la tête. Non, c'est sans doute une lettre que Hank a envoyé à Xavier pour lui dire qu'il avait une idée sur l'origine de virus? Peut-être mais ça n'est pas plus important que ça. La peluche n'est pas là et le chef non plus. Marcus a plus la possibilité d'agir comme ça. Avec Hank qui est méfiant de nature et un télépathe d'un niveau incroyable.. Quoique, Grey doit être là-bas. A moins qu'elle n'accompagne aussi le cul et la chemise? Qu'importe, Marcus se débrouillera. Ce n'est pas un novice. Il y arrivera. Elle ne peut pas lui mâcher tout le travail, lui déblayer le terrain. Cela serait mettre ses compétences en doute. Et cela serait surtout insultant. Elle le prendrait comme ça si elle le découvrait. Et elle le saurait.

    Elle sort de ses pensées en le voyant quitter la pièce et.. ah.. Bien sur, la douche. Et la porte ouverte? Invitation ou simple acte de non pudeur? Elle hausse un sourcil. Qu'importe. Elle se redresse pour faire quelques pas dans le salon. Elle attrape son téléphone pour rapidement y noter quelque chose dedans. Elle tourne ensuite rapidement la tête vers l'homme en serviette. Qu'est-ce qu'il fabrique encore?! Ah.. Sa bière. Elle se retient de lever les yeux au ciel. C'est typiquement masculin, ça. Boire sous la douche. Qu'importe, elle n'est pas chez elle et elle n'a pas à juger plus que ça les habitudes des autres. Chez elle, Marcus serait sans doute aussi surpris qu'elle par ses habitudes et sans doute l'absence d'un tas de choses.. Comme la télévision. Pourquoi se nourrire d'informations erronées des médias alors qu'elle vit au cœur de ces informations? Inutile. Mais là, pour le moment, ce qui retient son attention c'est la plastique de l'androïde. Elle l'a vu de face, maintenant, c'est de dos et.. Le spectacle est bien plus que plaisant. Il est tentant.

    D'ailleurs, elle penche légèrement la tête sur le côté en observant ses pas, sa démarche, les muscles bouger sous l'effet des mouvements. Plaisant. Vraiment. Il est de dos, il est dans la salle de bain et elle pince un bref moment les lèvres. Charmant. Vraiment. Elle achètera un ballotin de pralines à Stryker pour le beau -très beau- cadeau qu'il lui a fait. Hm! Elle hoche un peu la tête avant de.. Un faux nom? Elle fronce légèrement les sourcils. Pourquoi tient-il à savoir? Oh. Quelque part, c'était inévitable. C'est son plus proche subalterne et il posera sans doute plus de questions dans l'avenir.

    Elle reste d'ailleurs un moment silencieuse avant de s'approcher de la porte de la douche. Non pas par voyeurisme mais plus par.. non envie d'hausser la voix. Elle ne l'a jamais fait alors pourquoi commencerait-elle? Et puis, la porte est ouverte, il doit bien se douter que... Elle s'adosse au chambranle de la porte mais ne regarde pas ce qui se passe dans la douche. Quoique la vision humaine lui permet d'en voir quelques morceaux... assez sympathiques d'ailleurs. Mais bon. Elle regarde son téléphone plus qu'autre chose. Pour le moment du moins.

      _ Non je ne veux pas mais est-ce que j'ai vraiment le choix? Tu ne me lâcheras pas avec ça avant de m'avoir baptisé d'un nom absolument horrible. Je me trompe?


    Elle reste à nouveau un petit moment silencieuse. Quel nom lui donner? Elle en a utiliser tellement. Ah.. Mais bien sur. Le nom qu'il y a sur son matricule. Autre que Mask. Elle sourit légèrement. Un nom qui veut dire inconnue. Ça lui convient parfaitement et puis.. C'est un nom comme un autre.

      _ Jane.


    Court mais en même temps son véritable prénom l'est tout autant. Et.. quelque part, elle est persuadée que même Stryker l'a oublié. Tant mieux. Quand.. il sera temps, elle pourra plus facilement le réutiliser. Ainsi que son visage, son image. Elle replace son téléphone dans la poche de sa veste. Elle regarde un instant le sol. Miteux ou pas, Marcus a l'air content de rentrer chez lui.. C'est le principal quelque part. Non? Elle ne rentre que pour dormir, se changer. Et encore, son bureau à la base peut faire office de chambre aussi. Elle redresse légèrement la tête pour jeter un bref coup d'oeil à Marcus et sa douche. Hm.. Cela vaudra un ballotin d'un kilo. Elle hausse légèrement un sourcil, souriant légèrement en coin avant de commencer à se détourner de la pièce. Ne nous faisons pas passer pour ce qu'on est pas, hein! Mais... C'est plus que tentant. C'est pour ça qu'elle préfère prendre ses distances avec cette.. maudite pièce.

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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeSam 30 Jan - 14:35


    - Toi tu as le mérites de pas être hautaine comme le fait l'autre gland.

C'était bien entendu un message qui se voulait rassurant. Mask et Scotty étaient incomparable. Sur tous les plans. Bière dans la main, regard perdu dans ses pensées, Marcus s'envola alors. Il n'était plus vraiment là. Non, il était de nouveau au près de son petit frère, Sam. Son cher petit frère. Un voile de tristesse obscurci ses yeux de saphir alors qu'il ramenait la bière jusqu'à ses lèvres. Bière presque pleine. Une gorgée, deux. La cannette fut vidée, et le sentiment de manque dans l'androïde n'avait pas pour autant été rempli. Son estomac lui indiqua clairement que boire autant de boisson fraiche d'un coup était dangereux. La douleur lui résonna dans la tête. Evidemment, c'était sans compter que Sam était la seule personne qui lui manquait. La seule chose qui le faisait se sentir vide. Et une bière ne comblait pas ce sentiment. Une bière, mais aussi la plus belle femme de cette planète n'arrivait pas à le faire se sentir mieux.

Il baissa les yeux, et écrasa ladite canette dans ses doigts comme si c'était de la pâte à modeler. La dureté des pointes de féraille dans sa chaire ... Tout cela était très subjectif pour Marcus. Sa paume s'ouvrit d'ailleurs, laissant s'échapper un sang rouge et tiède le long de ses doigts. Il se dirigea vers la cuisine, où il jeta la canette à la poubelle et passa sa main sous l'eau. Il devait avoir l'air ridicule. Le rinçage sous l'eau n'étant que purement symbolique, il stoppa vite et s'approcha du buffet. Là, il ouvrit les portes, qui révélèrent une chaine hifi. Il l'alluma, et une chanson raisonna dans la pièce. Il ne mit pas le son trop fort afin de ne pas casser les oreilles à Mask. Mais suffisamment pour qu'il en profite. Cette chanson, c'était Rooster de Alice in Chains. Il ne l'avait jamais vraiment aimé, mais malgré lui il la connaissait par coeur et l'avait toujours en tête. C'était la chanson préférée de Sam.

Marcus se retourna alors vers sa chef, assisse alors sur canapé. Elle était vraiment d'une beauté à couper le souffle. De plus, elle était rousse. Et Marcus, au risque de se répéter, adorait les rousses. Il retourna alors vers la douche, où il allait frotter un peu plus cette main ensanglanté plutôt que de foutre de son sang partout dans l'appart. Pour des blessures peu profonde comme celle ci, Marcus avait l'air du plus banal des humain. Il saignait et cicatrisait. Pour des blessures plus profonde, son réseau de fils électriques et de métal se faisaient voir. Et pour le coup ca faisait sacrément tâche sur son côté humain. Il ressentait la douleur, mais à moindre échelle. En faite, il était suffisamment résistant pour que si on lui arrache la peau de son ventre il puisse être capable d'observer son corps sans s'évanouir de douleur. Sa peau, sa chaire ... Ce n'est que superflu, il peut continuer a exister qu'avec son corps mécanique, qui prendra soin du reste de ses organes.

Bref, il enleva sa serviette et la jeta sur le lavabo. Puis il ralluma l'eau gelée, qui tombait sur son corps brûlante. La vapeur émise s'envolait éparses, et sortait de la pièce. Il observa sa paume, bien entaillée tout de même. Il risquait une septicémie a faire ce genre de conneries. Marcus se fit un sourire personnel, blasé par son propre comportement. Il frotta un peu, n'hésitant pas à maltraiter sa chaire. Un peu de savon, et c'est reparti pour un frottage express. Tient, il entendit les pas de Mask se rapprocher. Il l'entend alors bidouiller son téléphone. En tournant la tête, il l'aperçoit juste devant soit. Décidément, si Marcus à un manque cruel de pudeur, on peut en dire autant de la part de son chef. La voila qui lui répond.

Marcus éclate de rire. Il aime ce côté faussement généreux qu'elle se donne. Il aime l'intonation de sa voix lorsqu'elle est blasée. Et sa rapidité d'esprit qui fait qu'elle choisit toujours ce qui la fatiguera le moins dans le futur. Et pour le moment, ne pas subir un caprice de l'androïde en faisait parti. La musique sonnait ses dernières notes. La mélancolie du robot avec. Il resta un instant sous l'eau, à contempler la plaie qui arrêtait de saigner. Cette femme ... Elle était vraiment extraordinaire. Un mélange explosif de toutes les pires qualités et des meilleurs défauts. Évidemment, il ne la connaissait presque pas. Et surement beaucoup moins qu'elle ne le connaissait, vu qu'elle avait lu son dossier et non l'inverse. Savait elle alors? Qu'il avait tué son frère, et deux flics. Qu'il avait fait de la prison pour homicide. Et que s'il était là, devant ses yeux, il n'avait aucunes idées de comment cela c'était passé? Savait elle qu'il n'avait aucune idée de ce qu'il avait fait, ou de ce que l'on avait fait de lui, et ce depuis 10 ans.

Les 10ans qu'il a passé en cryogénisation afin d'être bidouillé et retapé. Savait elle d'ailleurs que son pouvoir n'était apparu que quelques jours après son réveil. Il se secoua la tête. Penser de trop à ça lui filait la gerbe. Il éteignit l'eau, et sortit de la douche. Il reprit la serviette pour l'image, qu'il enroula le long de ses hanches. Puis il se rapprocha de la déesse devant lui. Là, il se baissa de manière à ce qu'elle, tête baissée sur son téléphone, puisse le voir. Il était assez près d'elle, suffisamment près pour qu'elle sente son souffle brûlant sans aucuns relents de bière. Suffisamment pour qu'elle ressente la force qui émanait de son coeur puissant. Suffisamment pour qu'elle apprécie la simplicité de ses traits, et la complexité de ses expressions. Il souriait, et ses yeux pétillaient de vie et de malice. Elle disait vouloir le nom de Jane, à défaut d'autre chose. C'était en effet un prénom qui lui allait bien, mais il se devait de clarifier les choses.
    - Jane ... C'est mignon comme tout, et j'avoue que je n'y aurais pas songé une seconde. Pour moi, je t'aurais appelé Isis. Comme le nom de la déesse mère protectrice de l'Égypte antique, qui a fascinée tous les plus grands peuples par son masque de fer.

Son sourire s'adoucit, et ses yeux observèrent tout son visage par saccade. La forme de son nez se devinait à travers le masque. Il s'attarda aussi sur ce dernier, qui était d'une perfection miraculeuse. Ses yeux ... Encore des lentilles. Marcus tiqua de la lèvre très légèrement. Une rousse aux yeux verts, c'était vraiment le top, dommage. Il se rendit compte que la pâleur de sa peau n'était pas fausse. Et que rien qu'au regard, elle avait l'air d'être aussi douce que de la soie. D'aussi près, les traits fins et raffinés de Mas... De Jane la rendait presque fragile. Comme une poupée de porcelaine, si délicate que le simple regard de Marcus risquait de l'abimer. Malgré qu'il soit mi humain mi robot, il était... Terriblement humain. Et Jane était loin de le laisser indifférent.

De part son physique, son corps largement valorisé, son côté tranchant aussi. Mais aussi parce que au fond, elle était pour le moment la seule personne auquel il pouvait vraiment se confier. La seule avec laquelle il n'y avait pas de mensonges, de cachoteries. Et là, juste là, prit dans la frénésie du moment et la fatigue de sa journée, Marcus voulait terriblement l'embrasser. Pour lui montrer sa reconnaissance, pour la remercier, mais aussi pour gouter à ce fruit défendu. Parce qu'il en avait envie, et après tout, cette simple précision l'expiait de justification. Ses traits changèrent. Ils se durcirent très légèrement. Son regard se fit plus brûlant. Il se rapprocha subrepticement d'elle. Le silence était a peine brisé par le ploc ploc de la douche et le vroum vroum des voitures au loin. Comme d'habitude, sous l'exitation, un halo se fit lentement voir. Mais cette fois ci, c'était très léger, et Marcus contrôlait largement pour ne pas devenir une cuisinière brûlante. Il était juste ... Chaud.

Évidemment ce genre d'histoire ne se finit bien que dans les contes de fées, et là on y est pas. Toutes les lumières s'éteignirent alors. Par la fenêtre, les immeubles tombaient dans l'ombre les uns à la suite des autres. Les coupures de courant dans cette partie de New York n'étaient pas rares, loin de là même. Au fond, toute l'énergie allait du côté riche, qu'importe si les pauvres sautaient. Marcus se redressa, et prit donc une tête de plus que sa patronne. Sa carrure massive se découpait dans l'ombre, comme celle d'un prédateur à l'affut. Il passa une main derrière sa tête et poussa un profond soupir de dépit. Il ouvrit alors sa paume, celle en sang, et se figea. Un point lumineux se créa en suspension dans l'air. D'abord minuscule, la petite bille croisa rapidement. Sa luminosité se développa encore et encore. Jusqu'à devenir une boule scintillante dans la noirceur de l'appartement. Marcus recommença, encore. Des gouttes de son sang se mettaient à flotter à l'intérieur des boules luminescentes. Dès qu'il eu assez de lumière dans toutes les pièces pour satisfaire les yeux d'un humain, Marcus arrêta. Il fit un sourire appuyé à son patron.
    - Décidément, t'as vraiment perdue ta soirée en venant ici. Cloitré chez un idiot qui boit de la bière, et sans lumières désormais!

Il essayait de ne pas trop la devorer des yeux, car l'envie qui naissait en lui, cette envie de l'embrasser, cette envie de gouter ... Devenait presque viscérale. Surement dû à la fatigue. Mieux valait il qu'elle s'en aille avant qu'il ne dérape...
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeSam 30 Jan - 18:10


    Stupid boy? No.. Sexy boy! Attractive..



    Il éclate de rire. Pourquoi donc? Sa réponse est-elle si hilare que ça? Elle hausse légèrement un sourcil. L'eau cesse de couler. Elle fait un pas sur le côté pour dégager un peu plus la sortie de la salle de bain jusqu'à croiser le regard de Marcus qui est.. penché de manière à ce qu'elle puisse le voir, le sentir. Elle le fixe. Non. Il n'y a pas de lentilles à ses yeux. Ils sont bels et biens d'un vert pâles avec une petite pointe de gris dedans. Jane semble plus ou moins lui convenir bien qu'il lui expose son idée. Une déesse. Carrément. C'est.. extrêmement flatteur bien qu'elle ne soit pas vraiment en accord avec l'explication qu'il lui donne. Mère protectrice? Elle ne l'est pas vraiment. Ou du moins qu'avec quelques rares personnes. Extrêmement rares personnes.

      _ Me draguerais-tu, Marcus?


    Ça, aussi, c'est flatteur. Surtout que dans cette tenue, elle ne peut pas être indifférente bien qu'elle en donne l'air. Elle lève ensuite les yeux vers les plombs qui ont sauté. Super.. De quoi les mettre encore plus dans une ambiance intimiste. Elle le fixe toujours. Droit dans les yeux jusqu'à ce qu'il se redresse pour... Elle plisse les yeux en le regardant faire. Il créé de la lumière à partir de son propre sang? Fascinant. Vraiment. Et surtout.. pratique bien que la lumière soit douce et donne une ambiance tamisée. Presque.. romantique faite exprès.

    Il recule un peu. Devient un peu plus distant. Pourquoi? Cette chaleur qu'il dégage est tellement agréable qu'elle en laisserait tomber la veste. Elle replace son téléphone dans l'une de ces poches d'ailleurs. Elle lâche un très léger soupire. Se calmer. C'est.. important. Mais c'est tellement déroutant d'être ainsi. Avec lui dans cet état et... dans cette semi-obscurité qui ne semble pas le gêner et.. elle encore moins. Même si la totale obscurité avait quelque chose de nettement plus.. attirant. Le savoir près d'elle et ne distinguer qu'une partie de sa silhouette avait quelque chose de nettement plus excitant.

    Elle replace une mèche rousse derrière son épaule avant d'en revenir à l'androïde et ses paroles. Un idiot? Elle hoche légèrement la tête en souriant en coin. Et pour montrer qu'elle ne compte pas partir de suite, elle retire sa veste pour la déposer près de celle de l'officier, sur le dossier du canapé. Elle glisse ensuite ses mains sur ses hanches tout en reposant son regard bicolore sur l'androïde.

      _ Je dispose de mon temps comme je l'entends. De plus, je n'emploie aucun idiot. Je n'aime pas perdre mon temps avec des gens qui n'en valent pas la peine.


    Ceci est éclaircit. Marcus n'est pas un idiot. Loin de là. Il est exceptionnel. S'il savait à quel point il peut l'être. S'il savait quel pouvoir magnétique il peut avoir en ce moment. Heureusement qu'il.. n'a pas une hyper-ouïe. Parce que sans nul doute qu'il pourrait entendre le tambourinement plus lourd de son corps ou la circulation un brin plus rapide dans ses veines à cause de ça. Il est.. parfait. Surtout dans cette légère lumière. Ses muscles, sa stature, son visage.

    Elle ne le quitte pas des yeux tandis qu'elle refait quelques pas vers lui. Le toucher.. savoir ce que ça fait que de le sentir, lui, cette peau, cette chaleur qu'il émet. Ce n'est pas autorisé mais.. personne ne sait qu'elle est ici. Personne ne la vue franchir cette porte et il n'y a aucune caméra ou autre dans son appartement. Elle a vérifié en rentrant. Elle s'arrête une fois face à lui, elle redresse lentement le visage vers lui. Pourquoi cette proximité? Si elle le savait elle-même.. Elle ne l'aurait sans doute jamais fait. Quoique.. Non. Elle n'est pas du genre à tout mélanger. Mais il est si.. incroyable qu'elle ne peut pas faire autrement que de rester, que de le fixer et que de le.. vouloir. Tout simplement.

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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeDim 31 Jan - 16:12

Dehors, la nuit est belle. Les gens l'ont sûrement oublié, depuis le temps qu'ils ne regardent plus le ciel. Ils ont surement oublié que la nuit n'était pas seulement synonyme de peur, mais bien d'un magnifique mystère. Avec la pollution lumineuse des grandes villes, il devient rare d'apercevoir les étoiles le soir. Et encore plus ici, dans la ville qui ne dors jamais. Le ciel n'est jamais vraiment noir, mais plus jaune très foncé, et les étoiles sont peu nombreuses à pouvoir percer cette lumière. L'obscurité totale régnant soudain sur N.Y., elles devinrent alors une à une visible. Comme un feu d'artifice à l'éclat magique, s'allumant tour a tour, comme des princesses timides, ne voulant se montrer qu'au tout dernier moment. Toutes plus belles et scintillantes de forces. Certaines brillent plus fort, certaines scintillent plus joliment. Comme des fleurs non éclosent, qui s'évanouissent soudain en poussière de diamant. La voûte celeste se dévoile alors, comme une femme se mettant nue. La voie lactée se dessine lentement, et trace un chemin dans le ciel, doux et délicat. Par la fenêtre, n'importe qui aurait pu apprécier ce spectacle extraordinaire. N'importe quel être doté d'une âme pourrait s'extasier devant cette nouveauté. Mais pour cela, il faudrait déjà regarder dehors. Et pour le moment, Marcus à autre chose à faire que de regarder le ciel. L'androïde - pour qui les étoiles sont pourtant comme des sœurs - observe l'humaine avec ses yeux lapis.

Cette humaine ... Est sublime. Et pour le moment, elle a marqué un point, qui n'était pas difficile à comprendre pourtant. Touché donc. Oui, Marcus - bien qu'inconsciemment - est entrain de faire ce que la moral réprouve le plus. Il charme - ou tout du moins essaye - son chef, son supérieur direct. Sans méchancetés, sans arrières pensés malsaines. Non, il ne pense pas du tout à son statut et les avantages fantasques que Mask lui offriraient. Non, il ne pense même pas au travail, mais juste à la situation présente. Marcus vit dans le présent, bien que blessé et suivit par le passé. Il est impulsif, et fait ce qui lui passe par la tête, ce qui entraine bien souvent qu'il blesse son entourage. Et pour le moment, il ne pensait qu'a l'intérêt qu'il porte à la jeune femme, il ne pensait qu'a son physique engageant et le mystère qu'elle entretenait sur elle. Jane est une femme superbe, terriblement attirante et involontairement excitante. Et Marcus ne sait absolument pas se contenir. En faite, Marcus n'avait même pas encore comprit qu'il la draguait. Comme choqué, il n'ajouta rien. Évidemment neutre, il ne paraissait pas du moins du monde perturbé par la remarque de la jeune femme. Celle ci d'ailleurs précisa qu'elle n'était avec aucuns idiots, et à son comportement lui indiqua qu'elle avait prévue de rester.

Il fit un sourire, et la suivit dans le living room. Marcus trouvait qu'elle ne manquait pas de culot, n'étant pas chez elle et pas invité. Et c'était bien entendu cela qui le faisait sourire. Il adorait ce côté inquisiteur. Au fond, sans doute était il un peu masochiste. L'idée qu'elle l'attacha avec des chaines ne lui déplaisait pas. Il seccoua la tête, chassant ces pensées inutile de sa tête. Elle revient alors se mettre face à lui, les mains sur les hanches, dans une allure puissante. Comme d'habitude, n'est ce pas ? Ses yeux immensément bleu parcouraient l'émeraude des siens. D'abord neutre à ses paroles, il se contentait de la fixer. Son visage alors hermétique au moindre sentiments. Les deux âmes si différentes se sondaient alors, chacun le regard perdu dans celui de l'autre, cherchant à lire plus profond. Cherchant à briser cette carapace. Le mélange explosif des deux compères dans la même pièce avec cette ambiance désormais tamisée ... Ca promettant d'être chaud bouillant. Marcus était d'ailleurs entrain de bouillir, son bas ventre consumant entièrement le reste de son corps. Son désir ardent devenant de plus en plus incontrôlable. Il recula alors, et fit un sourire de dépit. Neutre de sentiment. Ses yeux voguèrent par la fenêtre.

    - Aaaah, c'est fort probable en effet!

Son sourire s'estompa, son visage prit une allure alors grave. Ses yeux étaient étincelants, rayonnant de vie et de puissance. Ils revinrent se planter dans ceux de Jane. Sa peau respirait la force. La chaleur qu'il dégageait n'évoquait que la vie. Il était magnétique de vie. Et pourtant ... Et pourtant il était mort. Qui aurait pu croire que derrière cette façade, il n'y avait que métal et circuits électroniques? Car si il y avait bien un point où Marcus était différent de tous les autres hommes, c'était qu'il respirait la vie et la persévérance plus que tout. Il était persuadé, du plus profond de son âme, qu'il était un être humain. L'entêtement et l'audace dont il faisait ouvre en était la preuve. Il était Humain. Son visage si expressif laissait percevoir une mine dure. Il se battait avec lui même, à grand coup d'arguments, mais il semblerait que la raison fasse place à la bestialité de la nature humaine. Ce qu'il voulait dire, ce qu'il ressentait, il commençait à le comprendre. Grace à Jane. Depuis quand il réfléchissait avant de parler? Depuis quand il hésitait avant d'agir? S'il devait perdre son travail, alors soit. Marcus savait intimement qu'il ne le regretterait pas. Qu'importe qu'elle ne se dévoile jamais. Qu'importe qu'il soit incapable de savoir qui elle est. Qu'importe qu'elle ne veuille pas enlever son masque. Qu'importe qu'il ne connaisse jamais son nom. Marcus était attiré vers elle, comme un papillon vers la lumière. Et il était conscient qu'il y risquait ses ailes.

    - En même temps, on peut pas dire que tu m'aides à faire autrement. En restant dans cette pièce. En me regardant comme tu le fais. Et surtout en étant aussi excitante!

Jane fit quelques pas. Elle brisa la distance qui les séparait. La distance - qui tenait encore la muselière de Marcus - disparue. Ces quelques pas n'étaient pas anodins. Le regard qu'elle lui portait n'était pas habituel. Il était plus profond, et en faite, leurs deux regards devaient se ressembler. Chacun dévorés par l'envie de toucher l'autre. Malgré les interdits, malgré les images, malgré le ressentiment que chacun éprouvait pour l'autre. Après tout, Jane était son patron, alors au fond Marcus avait une part de haine pour la hiérarchie. Et l'inverse devait être vrai. Mask devait au fond d'elle ressentir l'envie de le mater, de l'écraser comme tous les autres. L'envie de ne pas céder devant l'autre. De ne pas céder devant soit. Elle leva la tête, et vint planter ses yeux émeraudes dans le regard tourmenté de Marcus. Ils étaient si proche, si proche. Ce pourrait il que ce soit un test? Jouait elle avec lui? Ou bien était elle sérieuse? Ou peut être ne pensait elle à rien en se rapprochant de la sorte ... Non, Marcus n'y croyait pas. Il entendait ... Il entendait un cœur battre puissamment derrière la poitrine généreuse de la jeune femme. Marcus voulait croire qu'elle disait vrai. Il vint alors poser un doigt sur le masque de Jane, et le caressa très lentement, presque comme s'il ne le touchait pas. Il se rapprocha encore un peu plus. Ses lèvres s'entrouvrirent alors que ses yeux dévoraient son patron par saccade. Ne s'attardant jamais sur un détail, valsant d'un point à un autre. Finalement, il murmura.

    - Tu m'aides vraiment pas à me calmer ...

Il rapprocha encore son visage, se baissant afin de rompre lui aussi la distance qui les séparait. D'une délicatesse presque inimaginable, il déposa alors ses lèvres sur celles de Jane. Ce n'était pas vraiment un baiser, c'était plutôt ... Une caresse, terriblement sensuelle. Ses lèvres étaient chaudes, beaucoup plus chaudes que celles de n'importe quel autre humain, et il se contrôlait pour qu'elles ne soient pas brûlantes. Marcus avait tellement envie de gouter à Jane qu'il ne pouvait pas ne rien faire. Mais il a respectait aussi tellement, et il avait aussi terriblement ... peur qu'elle l'envoie bouler. Alors il essayait d'être le moins brutal possible, se disant qu'au moindre faux pas il risquait de la briser. Il ne la touchait à peine. Ses lèvres ne la touchait déjà plus, ca n'avait duré qu'un millième de seconde. Il ouvrit la bouche, comme pour parler, mais se résigna. Son visage était alors comme un livre ouvert sur le paradoxe qui l'habitait. Il posa son front contre le sien, ce disant qu'a choisir, ce geste était beaucoup moins personnel. La main qui caressait sa joue alla caresser presque sans toucher les hanches de la jeune femme, avant de s'y poser. Et Marcus ferma les yeux. Ce contact, cette proximité... C'était déjà largement suffisant. Pour le moment, il voulait juste reste ainsi. Encore quelques secondes.
Si Jane avait envie de rompre ce lien, alors il lui suffisait de le repousser. Marcus - malgré les apparences - n'était pas aussi direct et implorant sur tous les sujets. Le respect et la tendresse qu'il éprouvait pour Mask lui suffisait pour qu'il se contente de cela pour le moment. Les boules lumineuses qu'il avait crée s'éteignirent, sauf une, qui vint se mettre au dessus des deux âmes en peine. Puis finalement, elle s'éteignit. Les lumières ne revenaient toujours pas. C'était ... Comme si le temps c'était arrêté avec cette coupure de courant. Comme si le monde s'ouvrait, et qu'ils étaient libres de faire ce qu'ils voulaient pendant ce court laps de temps.
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeDim 31 Jan - 19:15


    Don't... leave me.


    L'aider à se calmer? Pourquoi le ferait-elle, hm? Elle n'en a pas l'envie et... Il doit sans doute s'en douter quelque part. Elle le fixe sans broncher, sans sciller, sans baisser les yeux. Il glisse un doigt sur son masque sans le lui retirer. Il... s'approche à nouveau. Et son cœur de s'accélérer un peu plus.

      _ Qui te dit que je veux que tu te calmes?


    Elle répond sur le même ton que lui. Oui. Un léger murmure, furtif, doux. Une caresse. Elle penche vaguement le visage sur le côté. Il effleure sa joue, il pose sa main sur ses hanches et.. elle? Elle pose une main sur le bras qui est posé sur ses hanches. Sa peau est.. chaude, douce. Si elle ne le savait pas, elle jurerait une vraie peau. Semblable à la sienne ou à des millions de personnes sur cette foutue planète. Elle sent son souffle sur ses lèvres. Chaud mais pas bouillant. Chaud mais pas étouffant. Juste ce qu'il faut pour... en être enivrant, entêtant. Elle le regarde un moment avant de fermer brièvement les yeux pour accueillir la légère caresse de ses lèvres contre les siennes. Douce, légère. Brève. Trop brève. Du moins, à son gout.

    Elle ré-ouvre les yeux. L'observe un moment.. Il ne bouge pas. La crainte d'aller plus loin sans doute. Elle reste un petit moment immobile. Ils ont déjà franchi l'interdit.. Un peu plus ou un peu moins maintenant, quelle différence? Elle porte son autre main à la nuque de Marcus avant de revenir l'embrasser.. un peu plus ouvertement, plus fougueusement aussi. Pourquoi y aller avec prude quand elle l'a vu pratiquement nu, hein? Elle le.. pousse légèrement contre le mur derrière lui, histoire qu'il ne puisse pas avoir d'échappatoire.

    Sa main à son bras glisse le long de celui-ci pour rejoindre l'épaule et ensuite sur son torse finement sculpté. Elle le parcourt légèrement afin de profiter de chaque détails qu'elle peut sentir. Ses pectoraux, ses abdominaux, la douceur et chaleur de sa peau. Le frisson qui la parcourt est... unique en son genre. Des hommes, elle en a déjà connu. Mais là, c'est différent. Ce que Marcus provoque avec sa douce et agréable chaleur est un niveau supérieur. Lentement, elle entrouvre les lèvres pour laisser glisser sa langue hors de celles-ci pour pouvoir approfondir le baiser et lui donner un peu plus de contenu, de forme. Sa main à sa nuque remonte doucement jusqu'aux cheveux courts de l'androïde.

    Lentement, le baiser se fait moins rapide, moins.. prenant jusqu'à ce que ses lèvres quittent celles du jeune homme en face d'elle. Elle lâche un léger soupire avant de reporter son attention sur Marcus. Ses yeux, ses lèvres... Elle.. y re-gouterait encore et encore... Il fait noir. Presque en totalité mais.. ce qu'elle voit lui suffit amplement. L'impression de la suspension de temps est extrêment agréable, tout comme le fait de se savoir.. seuls. rien que seule avec lui sans d'autres yeux pour les épier.



[désolée.. C'est un peu court.. éè]
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Marcus Wright
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeDim 7 Fév - 2:01

[HJ: T'inquiète les messages de ce style c'est dur d'en ecrire des tartines, je vais surement pas être top aussi! ]

Marcus était une étoile. Un astre stellaire, qui impressionne de par sa beauté, et charme de par sa grâce. Après tout, les étoiles captivent et hantent les esprits humains depuis la nuit des temps. Elles font que mutants et hommes travaillent mains dans la mains pour tenter de percer leurs secrets. Mais jamais personne ne les comprend, ne les dompte comme il faudrait. Dompter une étoile ... Qu'elle idée stupide, n'est ce pas? Ce sont les esprits du Ciel, elles sont la noblesse du monde. La voute céleste ne serait rien sans ces scintillant diamants. Les mythes, les légendes et autres fantasmes basés sur l'astrologie n'auraient pas lieu d'être sans ces points lumineux. Elles renversent toutes les lois de la physique et de la biologique. Du temps, de l'espace. Oui, sans les étoiles, le monde d'en bas serait bien morne, et triste. Mais en faite, à le regarder de près, il n'avait rien d'une étoile. A proprement parlé, biologiquement parlé même, il en avait la structure interne et le mode de fonctionnement. Il rayonnait lui aussi. Mais physiquement, il y avait des questions à se poser. Il n'était pas svelte, fin et élancé, avec ce physique androgyne très à la mode. Il n'était pas scintillant de milles feux, même si son regard possédait cette étrange flamme de vie qui ne trompe pas. Non, à le regarder, le discours panégyrique actuel ne lui convenait pas. Il était terriblement humain, et pire que tout, terriblement masculin.

Une étoile évoque la pureté féminine, alors que lui évoquait l'homme et tous ses vices. La luxure, la gourmandise, l'envie, .... Tous ces horribles péchés se rassemblaient en lui, prenaient vie, et le rendaient presque enivrant tant il respirait le besoin charnel. Oui, Marcus avait ce côté magnétique. Peut être - sans doute - cela était il du à sa condition de non humain, de non mutant, de non étoile et de non robot. Il était le mélange de tous ces ingrédients, sans en être un en particulier. Et peut être que l'indécision de son destin, l'abération de son existence, tout cela provoquait chez les êtres vivants normaux une envie de le connaitre. Une envie de l'approcher. Ses traits forts pouvaient marqués et heurtés les gens sensibles à la beauté. Mais ils s'adoucissaient sous son regard de braise, et devenaient soudain doux et raffinés. La courbe légèrement musclée de son dos pouvait dégouter les gens préférant des corps plus haltérophiles - ou au contraire plus efféminés - mais il n'en était rien. Tout semblait parfait, tout était beau sans l'être. Tout était trop grand, trop petit, trop large, trop à droite, trop à gauche. Sans l'être. Marcus était à lui même une négation. Il était tant de chose qu'il n'était pas. Il ressemblait à tant de chose qu'il pourrait être. Qu'il avait été. Oui, Marcus était un homme perdus qui ne le savait pas lui même.

Contact, proximité. Silence, obscurité. Revenons donc au présent, et arrêtons les descriptions farfelues et inutiles. Envolé, la pulsion naturaliste. Après tout, décrire un être qui n'existe pas vraiment, c'est un concept étrange, non? Pour le moment, dans le présent de l'action, c'était comme si le temps s'était arrêté. Comme si - pendant un cour laps de temps - tout leur était permis. D'abord hésitant - et presque timide - Marcus n'osait rien. Il n'osait pas poser ses mains de manières trop fortes - et possessives - sur Jane. Il n'osait pas donner à leur baiser une teinte de passion fugace. Il n'osait pas non plus la regarder avec ce regard enflammé qui lui allait pourtant si bien. Il n'osait pas glisser un doigt dans ses cheveux, et caresser la douceur de la vie. En faite, il n'osait profiter de la jeune femme présente, sans que celle ci ne lui réponde. Oublié, la hiérarchie et la peur de dépasser les bornes. Après tout, au point où ils en étaient, c'était déjà trop tard. Tout était dit, le pire était fait, la barrière renversée et les limites franchies. Alors qu'elles soient franchies de 10 cm ou 10m, quelle différence? Et puis ... Et puis avouons le, la déesse entre ses bras n'avait pas l'air de refuser ou de trouver le temps long. Ses mains viennent se poser sur la peau tendre et chaude de l'androïde. Un sourire dessina d'ailleurs le visage de ce dernier. Et puis la main délicate qui s'était glissée derrière sa nuque devint plus pressante, et soudain, il sentit de nouveau sur ses lèvres la douceur de nacre de celles de Mask. Marcus se contracta d'un coup lorsqu'elle le plaqua contre le mur.

Pas de surprise, pas de refus, non! Mais de concentration. Il se laissa tomber le long du mur, les épaules d'abord puis ensuite le dos plaqué contre, s'appuyant entièrement sur ce dernier. Il était cambré, de sorte qu'il enveloppait Jane de sa présence. Puis il ferma les yeux et se concentra. Car son bas ventre n'était plus qu'un tas de flammes de désir, et son cerveau s'embrumait lui aussi. Les mains baladeuses qui caressaient son corps ne l'aidait pas du tout à penser à autre chose le temps de ce calmer. L'envie le dévorait littéralement. Et dans ce genre de situation, si il lâchait la bride trente secondes, il cramait tout le Bronx, et Manhattan avec surement. En faite, s'il lâchait la bride, New York serait réduit en tas de cendre. En temps normal il en serait incapable. Car l'énergie pure, la lumière, le feu pur ... C'est mortel et terriblement dur à créer. Et Marcus n'étant plus humain, son corps peut supporter beaucoup plus que qu'un mutant normal possédant sa force. La plaie de sa paume se refermait alors qu'il se concentrait sur canaliser ses pulsions. Après tout, il ne fallait pas oublier qu'il n'était qu'un jeune mutant. Il ne maitrisait presque pas ses pouvoirs, et l'énergie de son corps encore moins. Oh, il avait déjà eu diverses liaisons et relations charnelles. Mais jamais encore il n'avait ressenti ce désir et cette bestialité charnelle en lui. Ce besoin d'en avoir plus. Plus, encore plus. C'était .... C'était mortellement fort. C'était terriblement bon. Marcus orienta la chaleur de son corps vers la pièce, en calmant la chaleur de son corps. La température augmenta d'un coup. Mais il faisait surement meilleur près de lui, où il tentait de gérer la température pour ne pas être bouillant. Non, il était tout simplement chaud. Adorablement chaud.

Le baiser prit fin. Marcus était resté presque comme pendant toute sa durée. Sa main était allée se longer dans les cheveux roux, qu'il avait involontairement serrés. Sans douleur, non, il était suffisamment délicat pour gérer ce genre de chose. C'était plus ... Plus comme pour la pousser à rester encore un peu. Et pour la faire reculer. Le paradoxe même qui l'habitait, en quelque sorte. Son autre main, celle posée sur ses hanches, et était passé au milieu du dos fin et harmonieux de Jane. Il prit une profonde inspiration, le souffle coupé par tout cet "amour". Par toute cette passion. La respiration presque haletante, son visage se dessina d'un sourire conquérant. Comme celui d'un gamin auquel on venait de donner une sucette. Il rouvrit ses yeux bleus, qui scintillaient comme des étoiles, et qu'il planta dans ceux verts de la jeune femme. Puis il émit un petit rire, et vint coller son front contre le sien. Comment avait il pu se tromper? Comment avait il pu faire une erreur d'observation aussi faible!? Sans doute ... Sans doute n'avait il pas vraiment regardé. Car pour l'instant, il regardait Jane comme il n'avait jamais regardé quelqu'un. Un regard brûlant. Sa voix - comme un souffle - s'éleva lentement.

    - ... Finalement, c'est tes vrais yeux.

Sa main libéra ses cheveux, et fit une caresse tendre pour remettre tout d'aplomb. Il la posa ensuite a plat sur l'arrière de sa nuque, et poussa lentement sa tête pour retrouver encore ses lèvres si tendres. D'abord délicat, son baiser s'accentua de nouveau. Il perça l'accès, et de sa langue alla goûter au palais chaleureux de la jeune femme. Celle ci pouvait être heureuse qu'il soit un androïde: Sans que sa bouche n'est le gout de la menthe fraiche, elle avait au moins le mérite d'être neutre. Aucuns arrières gouts de bière !! Son autre main glissa le long de ses hanches, descendit la courbe de ses fesses et s'arrêta à mi cuisse. Là, il s'en saisit, et la remonta le long de son bassin. La main qui tenait sa tête descendit vers son dos, où il exerça une faible pression. En faite, il la portait presque, car elle était étonnement légère. Il la serrait contre lui. Il avait besoin de sa présence, encore plus près. Encore plus. Encore. Encore.

Il la collait tout contre lui. La main qu'il avait posée dans le dos de la jeune femme descendit encore, puis passa sous la tunique noire et remonta. II touchait sa peau, et non plus le tissu. Il la caressait alors, comme on caressait le plus beau des objets. Sa bouche devenait de plus en plus langoureuse et farouche. Presque brutale, mais l'ensemble de son être était trop tendre pour ça. Soudain, le pire arrivait. Les lumières de dehors se rallumaient les unes après les autres. Les immeubles d'en face reprenaient lentement leurs teintes. Doucement, la vie et le temps semblaient revenir. Et donc, lentement, l'instant magique qui unissait les deux êtres allait se rompre. Bien malgré lui, Marcus se fit une raison et accepta l'idée qu'ici aussi le courant allait revenir. Mais dès qu'elle fut allumée, il en aspira involontairement la lumière. La clarté ne dura pas. Et l'obscurité retomba dans la pièce. Le mal était fait, et la magie était brisée. De plus, les lumières de dehors éclairaient la scène de nouveau. Il poussa un soupir résigné, et stoppa son absorption involontaire. La lumière - devenue étrangement faible - revint. Le silence ce fit aussi. Il réajusta la main qui tenait la cuisse de la déesse, et resserra l'étreinte de l'autre. Malgré le retour à la réalité, il ne voulait pas que tout s'arrête. Son bas ventre lui faisait mal tellement le feu qui l'habitait était intense. Et il savait que si tout s'arrêtait là, s'en était fini. Plus jamais cela ne ce reproduirait. Mask ne reviendrait plus chez lui. Et lui n'irait pas chez elle. Il fut contraint de stopper leur baiser, et décolla très doucement ses lèvres. Son visage marquait la souffrance infligée par l'idée que tout s'arrête. Ses yeux étaient si intensément plantés dans ceux de Jane ... C'était comme s'ils les transperçaient. Et sa voix, lentement, brisa le silence mortuaire.

    - Alors ... On fait quoi?


Après tout, c'était elle le chef. Elle le patron, et ce depuis le début. La serviette de Marcus tenait par on ne sait quel miracle, même si sa ténacité était mise à rude épreuve. Marcus, pour le moment, avait besoin de Mask. De Jane. Peu importe son nom. Peu importe son visage. Il avait vu un morceau de son coeur dans l'obscurité, et cela lui suffisait. Si elle ne voulait jamais lui montrer son visage, Marcus s'en fichait. Pareil si elle refusait de lui dire son vrai nom. Tous ces principes n'étaient que superflus. Ce n'était que des indications sociales et physiques. Ce que Marcus voulait ce n'était pas la coquille, c'était l'âme elle même. C'était tout ce dont il avait besoin.
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeDim 7 Fév - 13:28

    Take me


    Depuis que les hommes ont levé les yeux vers le ciel, ils observent les astres. Ces mêmes astres ont eut plusieurs significations. Ces sont des gardiens, des guides. Un moyen d’avoir des points de repère. On les prie, on les supplie, on les chérit. Une étoile est un être cher, vivant ou mort. Une étoile est un point lumineux dans l’obscurité. Un moyen de ne pas sombrer. De ne pas tomber. Une étoile est une idée fixe, une pensée. Les étoiles… Sont des millions de choses, toutes plus personnelles les unes que les autres. Leur saveur, leur couleur, leur… préférence n’est qu’une interprétation purement personnelle.Marcus était une idée, un point fixe pour ses créateurs. Quelque chose que l’on devait acquérir à tout pris. Une arme ultime. Parfaite. Et il l’est. Abouti, terminé, il est aussi humain qu’une étoile est brillante et belle. Il est aussi robot qu’il n’est humain. Aussi mutant qu’il n’est androïde. Une amalgame de toute chose qui fait de lui, un être aussi unique et tout bonnement parfait. Et cette perfection, est pour elle. Il le lui donné. Confié. Et pour l’heure, elle est dans ses bras à l’observer, le sentir, le toucher.

    Elle observe chaque parcelle de son visage. A la fois brute et délicat. Robustesse et douceur. Douceur accentuée quand il se met à sourire puis à rire. Qui a-t-il de si drôle au fait ? Oh… Ses yeux. Hm… Oui, ce sont… ses véritables yeux. Et ça semble lui plaire. Encore plus que sa froideur dans son bureau qu’il avait qualifié d’excitant. Que peut-elle bien répondre à ça, hm ? Qu’il a raison ? Il le sait. Non, elle ne dit rien et de plus, il revient poser ses lèvres sur les siennes. Elle referme les yeux afin d’apprécier au mieux cette sensation qu’il lui offre. Douceur, tendresse. Chaleur. Enivrante. Stupéfiante. Et… lentement, la profondeur s’installe. La fougue, aussi. Elle répond. Ne relâche rien. Il la touche, la caresse, lui relève une jambe. Elle se calle contre lui. Se serre contre lui. Elle veut le sentir. Elle doit le sentir. Sa main qui était à sa nuque remonte dans les cheveux de l’androïde. Elle est pratiquement portée mais qu’importe, la proximité est plus importante comme ça. Le baiser devient bestial. Excitant. Et… elle ne compte pas l’arrêter là. Elle soupire un peu. Cette chaleur qu’il dégage. C’est… terrible. Il s’emballe, son cœur. Il est empreint à une frénésie pratiquement incontrôlée. Le magnétisme qu’il a est dangereux. Trop dangereux. Mais bon. Tellement bon.

    Elle ne peut pas se détacher de lui, le laisser. Il est captivant, attractif et, il faut l’avouer, terriblement irrésistible. Surtout dans cette pauvre tenue qu’il arbore.Elle fronce les sourcils quand la clarté refait son apparition. Il recule la tête, elle revient un instant lui mordiller la lèvre inférieure avant de reculer la tête. Que faire ? Ils sont déjà trop loin que pour reculer. C’est son avis du moins. Elle reprend… son calme. Son cœur doit cesser d’être aussi emballé. Elle reste immobile à le fixer avant de se détacher de lui pour aller éteindre les lumières –pour tenter de retrouver cette atmosphère si particulière- et de tirer les rideaux pour que le moins de luminosité possible ne pénètre dans les lieux. Elle se pince un bref instant les lèvres avant de se replacer devant lui.

      _ On oublie cette interruption… Et on avance.


    Ou on continue. A son choix. Elle reste plantée face à lui à le toiser de haut en bas et de bas en haut avant de revenir contre lui. Il offre une certaine impression de sécurité quand elle est dans ses bras que s’en est agréable. Extrêmement agréable. Elle le regarde encore un moment avant de passer un doigt sur les lèvres du mutant. Des lèvres pleines, roses et légèrement chaudes. Elles aussi. Elle sourit légèrement avant de lui voler un baiser puis de reculer à nouveau la tête.

    Un sourire –le premier d’ailleurs- léger, en coin pour ensuite se reculer vers le canapé. Autant être mieux installés, non ? Enfin, elle trouve. La revoilà assise à son point de départ, dans le canapé. Elle tourne la tête vers lui en lui intimant de la rejoindre. Sauf s’il ne le veut pas, mais au vu du dernier baiser, il serait plutôt pour. Et puis, les 10 m vont être un peu plus loin. A quoi bon se retenir maintenant qu’ils ont déjà été si loin ? Elle finit par… s’avachir un peu plus dans le canapé. Non pas de manière intempestive mais de manière plus… sexy.
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Marcus Wright
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeLun 8 Fév - 2:58

Jane n'était pas prude, et elle n'était pas contre l'idée qu'ils soient ensemble. Elle poussait, elle se collait contre lui, et en demandait encore. Sa peau diaphane respirait l'envie, la pureté souillée. Elle était presque plus sauvage que ne l'est notre homme, et celui ici était par instant déstabilisé devant tant de prestance. Après tout, elle jouait le rôle du robot! Celui du mâle qui viole la femelle. A regarder la scène, on jurait que c'était l'inverse, ce qui était plutôt comique vue la carrure de Marcus. Mais cela n'était pas pour lui déplaire, loin de là. Il profitait, souriait, et en rajoutait. Il n'était contre le masochisme, et la soumission devant la femme. Surtout dans ce genre de situations. Lui aussi en redemandait, à sa manière. Le regard de Jane le transperçait. Elle semblait lire à l'intérieur de lui. Et pendant un cour instant, Marcus fut persuadé qu'elle savait qui il était. Qu'elle savait des choses à son sujet que lui même ignorait. Quoi, evidemment il n'en savait rien. Sans doute des choses bénignes. Mais elle semblait parfois presque compatir... Son désir n'était peut être rien d'autre que de la pitié?! Ridicule. Ces idées mises de côté, il était fasciné par la grâce des traits de Mask. Jamais - au grand jamais - n'aurait il l'idée et l'audace de lui retirer son masque. De plus, ce côté mystérieux avait quelque chose de tellement excitant ... Il n'allait pas s'en priver !! Elle lui rendait ses caresses, elle lui rendait son baiser, elle le serrait tout contre elle...

Malgré toute sa bonne volonté, notre androïde avait du mal à rester maître de lui même. Et au moment où il allait craquer, elle se détache de lui. Ah .... C'était évident que le rêve devait s'arrêter. Malgré tout, le retour à la réalité était toujours douloureux. Mais ... Ce qu'elle faisait n'était pas vraiment ce dont il s'attendait. Il la voyait prendre son manteau et claquer la porte. Non, elle éteint les lumières, ferme les rideaux. Elle réinstalle enfaite l'ambiance d'avant, bien que brisée. Leur monde revenait au galop, chargé d'envies inassouvies et de pensées intimes. Ou bien voulait elle juste s'expliquer, après tout, si elle le frappait mieux valait il que les voisins ne voient rien. Marcus se secoua la tête et se détacha du mur. Depuis quand se considérait il comme une victime?! Il fit quelques pas et s'arrêta. Elle s'était plantée devant lui. Et elle parla. Et ce qu'elle avait explicitement dit en gestes se retrouvait dit en mots. Ces derniers résonnaient encore, encore et encore. A n'en plus finir. Ils tapaient les tympans, secouaient l'encéphale bionique. Le cerveau de Marcus était comme en mode pause. Il analysait la phrase, l'enregistrait, la découpait, la repassait. On avance. On continue. On en veut encore plus, et on s'autorise à plus. S'il y avait eu une image pour décrire la pensé générale de Marcus, un gamin sortant de sa jambe et découvrant que son jardin était entièrement mangeable serait la bonne. Son jardin. Mangeable. Rapidement, un sourire carnassier - et disons le satisfait - déchira son visage. Rien de méchant, juste ... La satisfaction masculine. La satisfaction de savoir que tout n'était pas fini. Non. Ca ne faisait que commencer.

Jane recula, s'installant sur le canapé. Mais pas comme avant, non. D'une manière aguicheuse remplie de sous entendus. Ce même sourire aux lèvres, Marcus s'avança. Il posa une main sur le canapé, près d'un côté de la jeune femme. Car la règle numéro un était de stabiliser son équilibre, élémentaire, n'est ce pas? Sa main gauche alla se poser sur l'épaule de son amante - disons les choses telles quelles sont - qu'il posa gentiment à s'allonger plus. Son genou enjamba la taille fine de Mask et se posa de l'autre côté de sa jambe. Il était alors à quatre pattes sur elle, à l'intérieur de ses jambes, et sa serviette ne servait désormais plus à rien. Encore un peu humide, sa peau était presque à 35°. Dans la pièce, les objets métalliques commençaient à rougir, et le frigo redoublait son régime pour garder les bières au frais. Brave bête, hein? Autour du canapé il y avait une bulle qui protégeait le petit couple. Et surtout la donzelle, vu que les soucis pour la santé n'était pas forcément très utiles à Marcus. Après l'avoir allongée et s'être installé, il lui retira son haut de manière aussi douce qu'il pouvait. De ses mains habiles il dégrafa le soutient gorge, qu'il déposa avec la tunique. De ses lèvres, il l'embrassa tendrement, mais sans s'attarder. Puis il descendit lentement. Il longea la jugulaire, descendit le long de la clavicule, puis termina sa chute près des seins. Il alla jouer avec l'un deux, presque trop délicatement, pour qu'elle en redemande. Ne s'attardant pas, il descendit encore, longeant des abdos délicatement dessinée, titillant un nombril raffinée et s'arrêtant devant un pantalon... bien encombrant. Pendant ce temps, sa main caressaient sa cuisse et parfois s'énervaient en la serrant. Il lui retira alors le pantalon, le tout de manière tendre et pas brute comme on pourrait s'y attendre. Puis une fois qu'elle fut presque aussi nue qu'il l'était, il retourna vers sa tête.

Ses yeux verts, son masque blanc, sa peau diaphane... Il aurait voulu voir son visage. A tout les coups, s'imaginait il, elle devait avoir le haut des joues roses par l'excitation. Son coeur - il l'entendait - battait à toute allure. Et le sourire de Marcus se transforma. Son visage entier prit une expression tendre à n'en plus pouvoir. Un sourire léger rendait le tout plus chaud. Il déposa un baiser doux du bout de ses lèvres. Puis il en rajouta, et enfin un plus langoureux et passionné. Pendant ce temps, il collait son torse contre la poitrine généreuse de la déesse. Il essayait d'être le plus proche d'elle, de se nourrir de sa présence et de la nourrir par la sienne. Marcus allait de mieux en mieux, même si le feu de son bas ventre était loin d'être assouvi. Il était même de plus en plus attisé, et impatient. Mais Marcus contrôlait. Et ce sentiment le rendait presque invulnérable. Puis soudain, il descendit un peu le long de son torse. Et là, il colla son oreille contre son coeur. Son autre main était sur le sein opposé, comme par pudeur. Comme s'il ne voulait pas voir ce qu'il avait déjà vu. Il ferma les yeux, et se laissa bercer par le soulèvement et l'abaissement de la poitrine de Jane.

    - Chuut .... Respire. J'adore ce son. Le son de la vie.

Ce n'était le bom bom pressant et violent de son coeur. Non, c'était le bom bom de la vie. Marcus savait qu'il y avait un différent entre le sien et celui de Mask. Tout était différent. Il resta ainsi, se nourrissant de ce son plein de sens. Peut être aurait il l'air idiot, mais l'androïde était un nouveau né. Et malgré toutes les façades qu'il pouvait afficher, il y avait au fond de lui un gouffre qui ne terminait pas. Et cela le blessait plus qu'il n'osait se l'admettre. Marcus était un enfant auquel il fallait tout apprendre. Qui avait besoin d'un peu de recule sur sa vie. Et il avait besoin d'un peu de tendresse afin de ne pas se perdre lui même. Ou plutôt perdre la seule chose qu'il lui restait: Son âme. Et encore, après les expériences de Stryker, celle ci était déchirée, transformée, abimée, souillée! Qu'il respire, qu'il émette un raisonnement, qu'il bouge ... Ce n'était pas miracle. Le fait qu'il arrive encore à penser par lui même, et ressentir des choses ... Ça c'était le vrai miracle de son existence. Mais c'était aussi cela qui le conduisait à une non compréhension des choses. Et surtout de lui même. Et cela ... Son âme fragile ne le supportait pas. Pour ne pas sombrer dans la folie et dans la haine, il devait user de persuasions et d'objectifs. Se vider la tête, penser à une mission ... Alors là, aussi près de la vie elle même, il était de nouveau perdu. Il ressentait ce besoin d'exister, cette envie bestiale de commencer à vivre.
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeMer 10 Fév - 18:04

    Breath me.


    En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, et le comprendre, elle se retrouve pratiquement entièrement nue et allongée sur son canapé. Lui au dessus d’elle. Son souffle contre sa peau. Une chaude et douce caresse qui lui provoque un léger frisson tout au long de son échine. Elle a une main nichée dans les cheveux pratiquement secs de l’androïde et l’autre plantée sur son dos. Elle l’observe un instant, ses traits, sa tendresse exprimée avant de clore les yeux sous le baiser offert. Son cœur s’emballe, il bat à l’unisson. Et doucement, elle replie une jambe sur le côté pour lui laisser plus de place et accès à son corps. Elle est fébrile, sensible. Il recule la tête ? Elle se remet à l’observer. Elle lui sourit légèrement avant de le laisser parcourir son corps. Elle ferme légèrement les yeux sous ses furtives effleurassions. C’est à croire que Marcus à peur de la toucher, de la briser. Elle sourit en coin à cette idée avant de reposer ses prunelles claires sur son amant qui a à présent la tête posée sur sa poitrine à écouter son cœur devenir fou. Elle ne comprend pas de suite son geste jusqu’à ce qu’il parle. C’est vrai qu’elle… S’emballe légèrement. Doucement, instinctivement, elle se met à lui caresser la tête, les cheveux.



    Elle respire, calmement afin de détendre les battements de son palpitant. Elle referme un instant les yeux pour apprécier cette pause. Sa chaleur corporelle, tout ce qui rend ce moment tout simplement beau. Lentement, la main dans le dos du jeune homme descend le long de sa colonne vertébrale pour se stopper à la frontière de tissus de sa serviette. Elle reste un instant immobile, profitant de cette trêve pour se calmer en tout point. Non pas que le désire ne soit plus là mais… disons que la sauvagerie s’estompe. Sa main dans ses cheveux s’immobilise un bref moment pour ensuite rejoindre sa comparse près de la dernière barrière qui lui reste. Elle vient embrasser légèrement le haut du crane de Marcus avant de se rallonger et de le laisser encore un instant pour apprécier ce qu’il sent et… ressent. Après quoi, aidée de ses jambes, elle lui soulève doucement le bassin pour lui retirer la serviette humide. C’est désagréable cette sensation d’humidité chaude. De plus, il pourrait « tomber » malade. Enfin, ce n’est que pour se donner bonne conscience que de lui hotter son dernier habit. Si on peut prendre ça pour un habit. Ses mains remontent lentement le long du dos agréablement musclé du mutant pour s’arrête à sa tête qu’elle soulève doucement, attire précautionneusement vers elle pour déposer un baiser sur les lèvres de jeune homme. D’abord lent, presque fainéant et ensuite plus présent, plus appuyé et avouons-le, plus envieux. A nouveau, elle entrouvre la bouche pour laisser glisser sa langue hors de la barrière de ses lippes pour offrir un baiser plus profond et lourd de sens. Non, son cœur ne se remet pas à battre la chamade… Pas pour le moment en tout cas. Une jambe vient doucement s’enrouler autour d’une de celles du robot. Elle vient légèrement presser son bassin contre celui de son amant. Une simple accolade pour… être plus offerte à lui. Elle recule lentement la tête tout en emprisonnant la lèvre inférieure de Marcus entre ses dents, un bref instant. Elle finit par le libérer et par planter son regard dans le sien d’un bleu incroyable.

      _ Viens.


    C’est tout ce qu’elle dira. Il n’y a pas non plus besoin d’un discourt de vingt minutes pour comprendre le sens de ce simple mot. Elle lui vole un baiser avant de reposer sa tête contre le coussin moelleux du canapé et de reposer une main sur la nuque du jeune homme au dessus d’elle.
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Marcus Wright
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeVen 14 Mai - 21:22

[HJ:: C'pas top top, mais au moins ça à le mérite d'être là, après tout ce temps! ENJOY! ]

Tellement … étrange. Oui, étrange, c’est le mot. L’humain est tellement étrange.
Vous vous doutez bien que cela n’est pas les pensées de notre éphèbe. Non, après tout, ce dernier est humain. Ou en tous cas, il le croit tellement au point de pouvoir mettre sa vie en jeu pour sa foi. Mais tout cela est vain. Ces efforts pour une si inutile cause… C’est vain. Et cela n’en vaut pas la peine. Car, quoi qu’il en soit, quoi qu’il fasse, Marcus n’est pas humain. Marcus est fait de métal, de tissus synthétiques, de sang synthétique et de fils conducteurs. Il est fait d’écrous et de vis. Il est fait de feu et de rage. Il a été crée par des mains minutieuses et une intelligence supérieure jouant à dieu. Alors, non, il n’est pas humain. Il n’a rien d’humain, si ce n’est cette vague silhouette. Tout du moins, biologiquement parlant. Puisque - au fond - qu’est-ce que c’est que, que d’être Humain?

Est-ce que c’est d’avoir deux bras, deux jambes, une tête, un tronc? Est-ce avoir du sang dans les veines, un cœur qui bat, et des yeux brillants? Après tout, dans ces cas là, Marcus correspond à la définition. Mais est-ce seulement physique? Est-ce que ce ne pourrait pas être une façon de penser, commune à tous et admise par tous? Alors pourquoi il y aurait il toutes ces guerres, tout ce sang versé dans ces nobles causes? Etre humain … Est-ce une façon de concevoir le monde, commune aux humains dans sa généralité mais variant dans des détails? Cela expliquerait les guerres, après tout. Est-ce le fait de posséder une âme, ou pas? L’âme … Est elle propre à l’Homme? L’humain est si … Variable. Il n’est ni totalement noir, ni totalement blanc. Le fou sera toujours capable d’un acte héroïque, et le sage sera toujours enclin de tuer une personne. Pourquoi tant de différence? Pourquoi - et même - comment tant de sentiments peuvent ils se mêler, fusionner, se fondre et former cet être complexe? On ne peut jamais être sur de rien, tous les calculs les plus savants du monde seraient bien incapables de dire précisément ce qu’un humain va faire. Faire, dire, ou penser. La pensée …. N’est -ce pas merveilleux comme idée? Après tout, qu’elles étaient les probabilités que Mask soient dans l’appartement de Marcus ce soir? Qu’elles étaient les chances qu’il l’embrasse? Qu’elles étaient les chances qu’il y est cette coupure de courant? Et , par-dessus tout, qui aurait put prévoir que Mask - malgré son enseignement et sa rigueur militaire - finirait par se donner à l’homme qu’elle sait non humain? Non-humain, humain, se mêlant avec une tendresse et une passion infinie.

Marcus est donc entre les cuisses de sa Jane, sur son canapé, dans son appartement (devenu bien sombre malgré le retour de la lumière). La seule lumière de la pièce est émise par lui-même, lumière qu’il ne peut contrôler. Il se redresse, afin de la regarder. Marcus est ainsi, il est physique. Il a besoin de voir, de toucher, de ressentir. Sans quoi il ne comprend pas, sans quoi il n'a pas de consistance pour exister. Celle-ci s’approche et l’embrasse. Il sourit. Sous lui, il la sent s’agiter, devenir plus pressante avec son bassin. Il se contente de la regarder, son visage fermé et neutre. Son amante est d’une beauté à couper le souffle. Sa chevelure enflammée tombe un peu partout sur ses épaules, couvrant même ses seins. Son regard émeraude de braise brille de mille feux, comme une flamme divine. Est-ce l’intensité de son regard ou bien ce feu violent lui déchirant les reins, qui est entrain de le consumer? Elle murmure, ce que par des gestes, elle lui avait fait comprendre. Elle le veut. Il la veut. Ils se veulent. Marcus - de toutes manières - ne tient plus. Sur son œil droit, l’ouroboros apparait soudain, rougeoyant comme la braise. Le serpent se mordant la queue entoure alors sa pupille, puis se met à tourner paisiblement. Ceci est un sceau, une marque de fabrication, un signe qui apparait quand il est très en colère, ou en proie à un sentiment intense et incontrôlable. Contrôler. Voila son but. La verge du robot gonflée d’excitation et d’envie vient alors chercher délicatement l’entrée. Rapidement, il la trouve. De sa bouche, il dévore sa reine de baisers passionnés et envieux. Il demande lentement l'entrée, afin de ne pas être douloureux.

Le feu le déchirait littéralement. Pour son corps robotique, c'était la première fois qu'il avait une relation charnelle. Et bien que dans son ancienne vie, il avait des heures de vol en ce domaine (d'où il ne se souvenait pas, mais dont son subconscient se souvenait) son nouveau corps lui offrait de toutes nouvelles sensations. Une sorte de cocktail complétement incontrôlable. Qui l'eut cru, un robot capable de ressentir le plaisir le plus tactile qui soit. En faite, c'est même parce qu'il ressent mieux le plaisir que quiconque, que cela le rendait si difficile à gérer. L'Ouroboros accélérait sa rotation, et la luminosité de son corps ainsi que la chaleur de la pièce allaient en crescendo. Il passa ses bras sous les reins de Jane, et l'empala violemment sur lui. D'une manière brute, sèche, mais clairement non douloureuse. Il la tenait, sans aucunes difficultés. Bestialité, passion, rancoeur, colère, désir... Tout se mêlait en lui, sans qu'il ne puisse l'assimiler. Il commença des vas et viens lents, et langoureux. Puis la vitesse alla croissante, encore et encore. Il ne fallait en aucuns cas que la barrière entre sa force 'humaine' et sa puissance robotique ne se rompe, sans quoi la poupée entre ses bras serait vite désarticulée. Plaisir, encore. Encore plus. Encore. Plus fort! L'ouroboros n'était presque plus visible, tant sa vitesse était rapide. Et malgré la bestialité de ses manières, Marcus restait parfaitement dans la norme humaine. Pas de violences désorganisées. Juste, la passion et la douceur s'entremêlant pour ne former plus qu'un. Au bout de quelques minutes, il sentait qu'il ne contrôlait presque plus rien, et que le désir était là.

    - Je viens, attends


Il sorti délicatement de la jeune femme, ne voulant la souiller d'avantage. Puis il se détendit, ne retenant plus rien. Un liquide orangé, aux reflets rouges, en sorti. Ce liquide était brûlant, mais froid à la fois. Heureusement cela se contenta de brûler les draps légèrement, sans blesser quiconque. Mais cela inquiéta drôlement l'androïde. Qu'est ce que c'était? De la poussière d'étoile, tout simplement. La plus douce des drogues, le plus cher des minerais, la plus impossible chose sur la planète Terre. Marcus, fatigué, s'effondra presque sur Jane, se lovant contre elle.

    - Désolé, j'ai dû te faire mal.
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MessageSujet: Re: Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ]   Wat's up? [ Marcus: Très.. pv ! ] Icon_minitimeLun 17 Mai - 10:25


    So strange. So exciting. So lovely.


    Sa chaleur est enivrante, presque étouffante et pourtant tellement agréable. Elle replie doucement une jambe. Sa main à sa nuque glisse lentement dans les cheveux courts de l'androïde afin d'y trouver une prise tandis que ses lèvres, sa langue ne quittent celles de son amant. Elle soupire légèrement. Ce n'est pas vraiment une première puisque des amants, elle en a connu.. Mais c'est une première dans le sens que c'est avec des sensations, des réactions, des gestes différents. Marcus... Tellement humain et tellement inhumain. Un mélange incroyablement attirant, excitant et dire qu'il est à elle. A elle.

    Elle recule légèrement la tête en ouvrant les yeux au moment où il la prend. Elle en lâche un léger gémissement pour la peine. C'est brusque, bestiale mais tellement agréable et doux à la fois. Un cocktail irrésistiblement bon. Elle resserre légèrement la prise dans les cheveux du soldat alors qu'elle le fixe droit dans les yeux un instant pour ensuite venir poser son front contre une des épaules du robot. Elle se mordille légèrement la lèvre inférieure tout en accentuant les mouvements de son partenaire en joignant les siens. Son autre main a trouvé refuge dans le dos de jeune homme. Sa jambe repliée vient lentement se placer autour de la taille du robot. Elle revient un moment lui prendre les lèvres, lui mordiller l'inférieure pour ensuite reposer sa tête contre le coussin et le fixer à nouveau.

    Une poupée. Elle a l'impression de n'être qu'une petite chose dans ses grands bras puissants. Elle ferme brièvement les yeux pour soupirer à nouveau. C'est incroyable tout ce qu'elle ressent. Toutes ces choses sur lesquelles, elle a du mal à poser des mots. Elle apprécie, savoure jusqu'au moment le plus intense. Elle se crispe légèrement, resserre plus l'étreinte de ses cuisses autour du bassin de son amant avant d'entrouvrir les lèvres pour laisser échapper un profond soupire d'extase. Elle revient lui voler un baiser avant de reposer l'arrière de son crane sur le coussin. Elle se pince les lèvres pour conserver ce moment de pure et simple bonheur. Elle desserre ses jambes, sa main dans ses cheveux pour ensuite ouvrir une nouvelle fois les yeux pour le fixer un instant. Il vient contre elle, s'y lover, s'y blottir. Elle sourit légèrement avant de l'accueillir dans ses bras. Son cœur bat la chamade. C'est normal, quand on fait l'amour, le cœur s'emballe, la pression artérielle augmente.. Un peu comme si tout allait exploser à l'intérieur. Il faut maintenant que cette "pression" redescende. Elle reste un moment silencieuse en laissant ses mains glisser légèrement, lentement, le long du dos de l'androïde afin de ne pas couper ce moment de tendresse après l'acte passionné. Elle tourne légèrement la tête sur le côté pour fixer un point devant elle.

    Un regret? Un remord? Non.. Elle ne pense pas. Pas pour l'instant, elle se contente de rester contre lui et de le sentir contre elle. Sa respiration, sa chaleur et.. Et maintenant sa voix. Elle sourit un peu avant de retourner la tête pour le regarder. Elle hoche négativement la tête.

      _ Pas du tout. Loin de là. T'en fais pas, je ne suis pas en porcelaine.. Il en faut plus pour me blesser.


    Elle sourit, amusée, par la crainte qu'il a. Elle hésite un petit moment avant de.. lui déposer un petit baiser sur le front et de soupirer à nouveau. Une de ses mains vient à quitter le dos du soldat pour aller dégager quelques mèches rousses de son front. Elle fixe un instant le plafond.

    Et maintenant? Si ça s'apprend, elle est bonne pour être virée purement et simplement. Quant à Marcus.. Ça pourrait être pire. A qui serait-il confié? Qui pourrait l'utiliser et à quelle fin? Elle fronce légèrement les sourcils. La revoilà en train de cogiter à tout ce qu'elle doit faire. Elle réprime un soupire tandis que sa main rejoint sa jumelle dans le dos de Marcus. Elle ferme à nouveau les yeux. Il faudra se montrer prudent. Très. Elle se pince un peu les lèvres avant de le regarder à nouveau. Peut-on vraiment s'attacher à quelqu'un qui n'est, au fond, pas humain? A quelqu'un qui est quelque chose? Elle cesse ses lentes caresses pour garder ses mains plaquées sur la "chair" du robot. A nouveau, elle fronce légèrement les sourcils.

    Que va-t-il se passer maintenant?

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