Le soleil entrait par la grande baie vitrée d'Alice 'York. Elle le contemplait sans réfléchir. Et elle savourait cette instant qui était tellement rare, dans son emploie du temps. Cette permission exceptionnel était dut à un rendez-vous annulé grâce, ou à cause de l'éruption d'un volcan en Europe. Son rendez-vous étant un Ecossais pure souche, n'avait donc put prendre son vol. Alice avait eut alors deux bonnes heures devant elle. Le jeune princesse s'assit à son bureau et regarda au travers des vitres de du gratte ciel. Et puis finalement le soleil avait commencé à se coucher. Elle observait ses couleurs chaudes se dessiner sur ce bleu lisse et rêvé d'évasion, de temps pour elle et rien que pour elle. Pouvoir le matin se faire dire malade pour ne pas rencontrer ces bigleux de chefs d'entreprises qui n'en finissaient plus de lui lécher les bottes. Mais elle ne le pouvait pas, et ne le pourrait jamais. Elle représentait le meilleurs côté de la famille royale et ne devait pas détruire cette image. De plus être choyé ne la déranger pas, c'était se stresse permanent qui était en train de la ronger. Être princesse avait donc ses avantages tous comme ses défauts.
C'est en pensant à tous cela que quelqu'un vint frapper à sa porte. Elle attendit une dizaine de minutes avant de répondre, savourant cette instant une dernière fois, gravant se tableaux de couleur et de forme dans sa mémoire et y fixer une étiquette où il serait inscrit : A ne pas oublier dans les moments longs et pénibles. Et puis elle invita la personne à entrer. Rien et personne d'autre que sa secrétaire qui lui délivrait son emploie du temps de la soirée. Son spectacle à 20h30, et un dîner à 22h avec un PDG d'une maison de disque. Quelle idée d'avoir un dîner aussi tard ...
Alice souffla et congédia sa secrétaire. Elle attendit quelques instants, les yeux fixer sur un photo de famille sur son bureau, puis elle se leva, récupéra sa veste assortie à son tailleur et sortie. Dans l'ascenseur elle eut droit à toute les banalités possibles et imaginables auxquels elle répondait par de grands sourires et un grand intérêt, ou plus ou moins grand. Son chauffeur l'attendait devant le building avec ses deux gardes du corps. Pas forcément des grands baraqués comme on aurait put le croire de part le stéréotype. Non, ils étaient de stature normale, la carrure ne contait pas après tous selon son père... Elle les appréciait beaucoup mais elle savait qu'ils étaient là plus pour le protocole que pour assurer la sécurité de la princesse. Car elle savait très bien se défendre toute seule, même si elle n'avait aucune compétence physique particulière ni de technique de combat. Seule sa génétique lui en donnait le pouvoir.
La voiture patriotique où flottaient des petits drapeaux du Royaume-Unis se dirigea vers le quartier le plus huppé de New York : Upper East Side. Le jeune princesse retournait à son hôtel afin de se préparer pour la longue soirée qui s'avançait. Il lui reste environs 3 heures avant le début de sa représentation. Elle n'avait toujours pas trouvé d'appartement, non par caprice, mais plutôt par manque de temps. Pas le temps d'en visiter, pas le temps d'en choisir un. Et il lui semblait que c'était une tache qu'elle devait faire elle même, et non a déléguer à un "ami" de la famille afin de choisir là ou elle allait vivre.
Le temps de réfléchir à tous cela, et elle arriva devant l'hôtel. Elle le toisa de derrière la vitre teintée et attendit qu'un des gardes du corps ne vienne lui ouvrir la porte. Elle sortie. Tous se passait comme dans une infernale routine. Elle allait se diriger vers l'entrer, le portier allait la saluer, puis le réceptionniste, puis le personnels qu'elle croiserait jusqu'à prendre l'ascenseur et entrer dans sa chambre où elle refermerait la porte dernière elle, derrière cette porte où se tiendrait deux gardes. Inlassablement, son retour dans sa "maison" new-yorkais se passait ainsi. Mais l'engrenage se brisa, et la routine avec elle.
Lorsqu'elle sortie, elle regarde autour d'elle, il y avait là des jeunes gens normaux, sortant du boulot, amoureux transis, ados turbulents. Et d'entre toutes ces personnes banales, il y avait un homme qui se détachait. Seul, arborant des lunettes de soleil à une heure aussi tardive et qui plus était, de couleur violette. Alice observa ce fameuse individus et posa sa main devant sa bouche pour retenir et cacher un sourire. L'homme pourtant élégant dans son costume trois pièces, donnait cette sensation singulière à la jeune princesse qu'il était un clown potentiel c'est à dire, ce genre de personne de qui on rigole de bon coeur, et qui possède un sens de l'humour assez naturel. Mais aussi quelqu'un d'assez exceptionnelle et peut commun.
L'homme qui semblait marcher à la recherche de quelque chose arrêta tout à coup son cheminement et fixa notre princesse. La jeune femme se figea. L'avait il vue rigoler ? Elle en aurait était tout gêné si cela avait était le cas. De ce fait elle détourna immédiatement son regarde de lui, rouge comme une pivoine ... Et puis elle ne put s'empêcher de rejetait un coup d'oeil. Il semblait que se dernier se dirigeait droit vers elle. Alerté, un garde du corps se mit sur son chemin et lui demanda assez poliment :
_ "En quoi puis je vous aider monsieur ?"
Ce qui déclencha le rire de la jeune princesse qui aperçut le visage de l'homme élégant au lunette violette devant son garde du corps imposant pour un sou, voire maigrichon et plus petite que son interlocuteur. On aurait dit un minus de CP qui allait chercher des noises à un grand de CM2. Elle observa la scène avec avidité. Pour une fois qu'une chose rigolote se passait dans sa blanche journée. Une tache de couleur violette semblait-il...