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 allentours de Salem " Perrydale"

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2 participants
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Rémy Etienne Lebeau
Modérateur - Papy Rémy
Rémy Etienne Lebeau


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Carnet de Santé
Âge du personnage: indéterminé grâces aux diverses manipulations du Dieu Stryker.
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MessageSujet: allentours de Salem " Perrydale"   allentours de Salem " Perrydale" Icon_minitimeJeu 11 Fév - 23:54

Music with it
première rencontre, Jenna R. Larking

allentours de Salem " Perrydale" Cascada2 allentours de Salem " Perrydale" Gambit1


Et ainsi va la vie, lourde et somnolente comme une lente digestion, un matin d'été.

éblouit par quelques rayons desséchés, Rémy se tenait allongé, dans une position de détente exceptionnel. Sa cadence respiratoire lui offrait les plus douces envies de robustes chevauchés matinale. Dalleur, qu'est-ce qui lui retirait cet envie de partir? Il n'était attaché à aucuns illustres matériels ici bas.
Il était étouffé des parfums féminins, de leurs dessous de vêtements trop colorés ou trop superficiels. Il détestait prendre son temps à faire tel ou tel chose pour les couveuses qu'il attirait. Il lui arrivait de penser à sa Malice une fois allongé sur le dos comme maintenant, les yeux fermés, remplit d'une douleur sucrée qui se rependait jusque dans son cou. Il se levait alors et la minute qui suivait était celle qui lui permettait de s'évader de son esprit amèrement mélancolique et éreintant. Il s'habillait, choppait ses clefs, son sac à dos et déguerpissait, tout cela dans une vague de terreur qui allait, il le savait pertinemment, le coller jours après jours.

Rémy n'était pas fou. S'il l'était, il n'aurait plus à se poser de question, il n'aurait plus de but à atteindre, il serait pertinemment perdu. Cette pensée lui permettait de se servir de la modeste présence des femmes et ainsi, de compenser son manque de relations avec elles le temps d'une nuit.
Jamais plus d'une nuit se convainquait il. Ses récits étaient bien plus dangereux qu'elles ne le pensaient savoir.

Il posa un main délicate sur la femme qui se dressait à coté de lui, lui caressant légèrement l'épaule, lui effleurant sa fine peu odorante. Elle remuait la bouche d'un air satisfait, elle ne semblait pas vouloir se réveiller Il prit un air doux et serein, lui caressant alors le dos jusqu'à sa hanche, lui murmyrant ces mots doux digne des meilleurs promesses d'amour premiers:

«  je part chercher quelque chose à boire. »

Ainsi, il savait qu'elle n'aurait rien à lui reprocher, il ne lui avait pas promit de revenir ni de repasser, juste un «  je part » simple et définitif. Il se pencha alors sur le lit d'un rose parme écœurant, parfumé de sueurs et de poussières. Touchant ses genoux, il s'étira un instant, restant là un moment, le temps d'oublier ce qu'il venait de ce passer, cette nuit mouvementée et cette incessante peur qui le talonnait tel un homme en proie d'un mal incolore.

Gambit Posait un pied sur le sol, l'autre, farfouillant ses chaussettes quelque part, il les amena à ses mains, tout en continuant ses gestes d'une façon très simple et lente, cadencé par les dictions de son coeur meurtri. Il les mis de grès, cherchant son t-shirt d regard, perdu, exaspéré par ces tourments incessants. Boomerang de l'éternel mortalité. En finissant de s'habiller, il jeta un dernier coups d'œil vers cette jeune femme qu'il allait sans doute mettre à fleur de remords.
Il ouvrait la porte finalement décidé à partir, emprunta l'escalier de bois et renonça impérativement à revenir à cette étage. Il demanda à l'office d'apporter une formule petit déj' pour une personne et de l'apporter dans sa chambre. Il paya la note et les frais de cette nouvelle dépense, prit la main de la caissière, la baisa, les yeux frolants celle-ci et partit dans un élan d'allégresse.

Comme à son habitude, il observa le paysage qui s'offrait à lui, Gris monotone, sans aucuns reflets attendus, froid, lugubre et inacceuillant. Il prit son morceau de ferraille entre ses doigts, le chargea de force cinétique et l'enfonça dans la fente de sa bécane. Elle rugissait comme ses autres mornes matins. Il n'avait aucunes idées de ce qui allait se passer cette journée là, ci ce n'est qu'il allait s'arrêter dans un casino en fin d'après midi afin de gagner quelques sous, se payer de quoi subsister ces prochains jours. Gagner un hôtel bien a chaud! Seul cette fois pour se reposer de toutes ces nuits agitées.
Il pressait l'accélération et passa vite fait bien fait à une vitesse folle qu'il pouvait poursuivre ainsi jours après jours sans perdre de gazole: l'énergie cinétique chargé dans le vulgaire morceau de fer apportait l'énergie nécessaire à la moto pour avancer. Elle était poussé par cette même formidable énergie que Gambit utilisait pour faire ses tours de magies et gagner au poker.

Il s'envolait loin au dessus des vert pâturages à la recherche d'une ville quelconque, il fut quoiqu'il en pensait, bientôt arrivé à la ville de Perrydale. Contre sa volonté, il avait été vers l'ouest et non vers le nord, mais cette information, il ne savait pas, et ne devait pas le savoir: Son destin était de faire partit d'un temps très court de la confrérie et de maudire ces humains nus et assoiffés d'un progrès sans victoire... mais pour le moment, il était libre à l'attache d'aucune personne ni d'aucun mutant: Il conduisait vite, trop vite pour que les forces de l'ordre puissent le poursuivre et encore moins relever la plaque de Scott.

Le soleil se morfondait sans ses molletonneux nuages célestes tandis que midi sonnait à l'horloge de la ville de Salem. Il était temps pour Gambit de faire un arrêt et de mordre dans un sandwich réellement frais et peu coûteux.
Il décélérait sa bécane, passait contre un arbre ou quelques étudiants venait passer un bon temps entre eux., les observait un moment et continua sa route vers le nord de la ville. Ici, personne ne le connaissait, encore une nouvelle ville de départ. Rémy posa sa moto contre la palissade d'un commerce « proxy » et marcha lourdement vers le starbuck coffee le plus proche.


Dernière édition par Rémy Etienne Lebeau le Mar 20 Juil - 13:37, édité 1 fois
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Jenna R. Larking
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Jenna R. Larking


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MessageSujet: Re: allentours de Salem " Perrydale"   allentours de Salem " Perrydale" Icon_minitimeVen 12 Fév - 4:30

    Ciel gris, un ciel d’amertume assombrissant les esprits des humains, attristant tout être humain sur cette terre à se retrouver à l’extérieur. Temps maussade, un temps gris, un temps névrosé, un temps si froid, si lugubre, si irréel. Le temps était à coucher dehors, les chats n’osaient même pas mettre leur bout de nez à l’extérieur, les chiens, si vite sortit, si vite rentrer. Les enfants pleuraient afin de retrouver leurs couvertures en polar chaud de leur lit. Les vieillards étaient encore en train de se chicaner avec le gars de la météo. Les clochards mendiaient un peu de sous et même de vêtements afin de pouvoir manger et de se réchauffer. Le temps était misérable, la vie l’était également. La brume dans le paysage de Salem s’apparaissait, elle devenait de plus en plus épaisse et grise, elle camouflait, cachait le paysage maussade de la ville, à n’en pu rien voir. S’en était triste de cette misère mélancolie.

    Du haut gratte-ciel où tenait le grand studio de la jeune mutante, elle voyait tout. Elle voyait se paysage si triste devenir un chagrin morose. Elle voyait de son haut perchoir les voitures minuscules circuler d’une vitesse affolante, presque alarmante. Elle apercevait de petits points dans la rue qui marchaient d’une rapidité foudroyante. Le monde était tous si pressé? Qu’avait-il de si intéressant à faire dans leur petite vie misérable? Des humains, ce n’était que des humains, à aller travailler, gagner leur petite vie, leur petite monnaie, leur argent de poche à donner au satané gouvernement. Ah, comme Jenna détestait le gouvernement, les personnes qui se croient tout permis et qui testaient des machineries sur des mutants. Jenna n’aimait pas être contrôlé et sait très bien que dans le gouvernement, ce prénommé Stryker était quelqu’un de cupide et sanguinaire, peut-on dire.

    L’air du haut ciel était plus légère que celle d’en bas, car la jeune mutante était sur son balcon, en train de contempler ce paysage en plongé avec presque compassion pour ces mutants si désolant. Puis tout d’un coup, comme l’envie lui chantait, elle décida de se lever et de quitter le balcon afin de se retrouver dans sa chambre. Elle sortit de sa commode un nouveau jean et une veste en cuivre. Elle ne sortirait tout de même pas en pyjama. Il était encore tôt le matin et Jenna s’était levé quand même tard. Les effets de son pouvoir de manipulation de la dernière fois l’avait affaiblis et elle avait du reprendre des forces avec son sommeil. Son ventre commençait à gargouiller et elle se dirigeait vers ces armoires, mais ces derniers étaient vides, elle devrait faire une commande, mais elle n’avait jamais le temps et elle passait la plupart de son temps à l’extérieur de chez elle et à souper dans des grands restaurants.

    Après s’être habillée, elle sortit de son studio et se dirigea vers les ascenseurs. Les émotions se chamboulaient comme une foule qui essayait de voir plus loin. La colère se répandit sur l’étage et Jenna recherchait l’endroit d’où cela provenait. Elle attendait l’ascenseur patiemment. Elle voyait la lumière dérouler au premier étage, ensuite monter au deuxième, au troisième jusqu’à arriver au onzième étage. La porte s’ouvrit, il eut trois adolescents qui ressemblaient à des délinquants. Boucles d’oreilles partout sur leur visage les rendaient presque effrayant, mais la jeune mutante n’avait pas peur. Ils sortirent de l’ascenseur et bousculèrent de façon à faire exprès la jeune blonde. Cela fit don de la choquer.

      Jenna : « On peut s’excuser, voyou. »


    La voix mélodieuse tintait dans les oreilles des trois adolescents, ceux-ci s’arrêtèrent et se regardèrent. Ils avaient l’air surpris que celle-ci ait osé répondre à leur confrontement. Ils se retournèrent vers elle, un gros sourire sur les lèvres, l’agressivité prônait dans celui qui se tenait au milieu, mais il ne ferait pas le poids en fasse de Jenna.

      Pouilleux : « Comment ose-tu me parler, sa****. »


    Dit-il en employant un mot insultant, mais ce qui fit sourire la jeune femme, ce dernier eut un recul, mais ne le laissa pas paraître, mais elle l’avait deviné par l’émoi qui le précédait.

      Jenna : « On ne sait pas parler aux femmes, on dirait! On n’aime pas se faire répondre on dirait. »


    Dit-elle de sa voix qui sonnait pourtant si faux à leur oreille. Les trois garçons se regardèrent encore un moment et Jenna les observait. Celui du milieu s’avança froidement et agressivement devant elle et sortit de son dos un couteau. Sans même avoir le temps de bouger, il réussit à entailler la veste de cuivre de la jeune femme et toucha son bras. Un liquide chaud et épais coulait maintenant sur son bras. Elle le regardait et releva la tête.

      Jenna : « C’était ma veste préféré. »


    Répondit-elle à cela en serrant son poing. Elle regarda l’homme droit dans les yeux. Ce dernier commençant à ressentir une douleur intense en lui. Elle s’approcha de lui avant de lui insuffler dans l’oreille de l’homme un souffle de sa bouche.

      Jenna : « Je crois que vous ne savez pas à qui vous avez affaire, chéri. »


    S’exclama-t-elle d’une voix si mélodieuse qu’on aurait cru qu’elle chantait. Elle se retourna puis partit dans l’ascenseur qui allait se refermer. Elle n’avait rien fait? Certes, c’était ce que l’on pouvait croire. Son bras saignait toujours, mais elle en avait l’habitude avec les cicatrices de ses pouvoirs. Rendu au rez-de-chaussée, elle jeta un coup d’œil vers le gardien de sécurité affolé et quelques autres locataires des appartements. Sur la caméra, on voyait l’homme qui avait écorché Jenna, tuer ces propres confrères et asséner des infinis coups dans leur corps. Jenna eut un sourire avant de sortir du gratte-ciel.

    Elle n’avait qu’à faire deux pas avant de se retrouver vers le petit café le plus proche. Les émotions se trimbalait de partout et Jenna se sentait étourdit, elle aimerait bien contrôler son pouvoir de ressentiment et de connaître que quand elle le veut, mais elle n’était pas encore assez doué, au niveau 5, serait-elle capable de se rendre jusque là? Elle vit au loin, une silhouette familière, qu’elle connaissait un peu et le reconnu tout de suite, c’était celui que sa cousine Tabitha courtisait. Jenna s’approcha de celui-ci.

      Jenna : « Ne serait-ce pas le Rémy de Tabitha? »


    Dit-elle sans réellement savoir leur véritable situation. Un souffle émotionnel lui parut en elle lorsqu’elle fixa dans les yeux ce mutant, il était si triste, son cœur si briser, il ressentait la peine, la peine d’amour et Jenna le décelait chez lui. Ce n’était sûrement pas celle de sa cousine.

      Jenna : « Alors que vaut l’honneur de ta visite à Salem? »
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